COQUELUSEDAL ENFANTS suppositoires (arrêt de commercialisation)

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COQUELUSEDAL ENFANTS suppositoires (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 9/3/2001

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : SUPPOSITOIRES

    Usage : enfant + de 30 mois

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : ELERTE

    Produit(s) : COQUELUSEDAL

    Evénements :

    1. mise sur le marché 15/4/1953
    2. octroi d’AMM 25/3/1958
    3. validation de l’AMM 6/8/1996
    4. arrêt de commercialisation 15/2/2001

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 302552-6

    2
    plaquette(s) thermoformée(s)
    6
    unité(s)
    PVC/PE

    Evénements :

    1. inscription SS 28/12/1961


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES Régime : liste II

    Réglementation des prix :
    remboursé
    35 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. PRODUIT BRONCHOPULMONAIRE (AUTRE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : R05X-A.
      Sédatif.

    1. ***
      Sédatif au cours des affections bronchiques aiguës bénignes.

    1. SOMNOLENCE
      En début de journée. Liée à la présence de phénobarbital.
    2. REVEIL DIFFICILE
      Avec parfois difficultés d’articuler. Lié à la présence de phénobarbital.
    3. ATAXIE
      Lié à la présence de phénobarbital.
    4. TROUBLE DE L’EQUILIBRE
      Lié à la présence de phénobarbital.
    5. VERTIGE (RARE)
      Lié à la présence de phénobarbital.
    6. CEPHALEE (RARE)
      Liée à la présence de phénobarbital.
    7. ERUPTION MACULOPAPULEUSE
      Scarlatiniforme : réaction allergique cutanée, chez 1 à 3% des sujets, plus fréquente chez l’adolescent que chez l’adulte.
      Liée à la présence de phénobarbital.
    8. TROUBLE DE L’HUMEUR
      Lié à la présence de phénobarbital.
    9. CRISE CONVULSIVE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      FORTE DOSE

      Liée à la présence des terpènes.

    10. IRRITATION ANALE
      En raison de la voie d’administration : risque de toxicité locale, d’autant plus fréquente et intense que la durée de traitement est prolongée, le rythme d’administration et la posologie élevés.

    1. MISE EN GARDE
      – En cas d’apparition d’une expectoration grasse et purulente, en cas de fièvre, ou de maladie chronique des bronches et des poumons, il conviendra de réévaluer la conduite thérapeutique.

      – Cette spécialité contient des terpènes qui peuvent entraîner des accidents neurologiques à types de convulsions chez les nourrissons et les enfants.

      Respecter les conseils d’utilisation.
    2. ALCOOL
      Pendant le traitement, la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l’alcool est déconseillée.
    3. GROSSESSE
      – Chez l’animal : l’expérimentation met en évidence un effet tératogène.

      – En clinique : les résultats des différentes études sont contradictoires. Cependant, en cas d’exposition au premier trimestre, le risque tératogène, s’il existe, apparaît très faible.

      En conséquence, si l’utilisation du médicament apparaît réellement nécessaire, le traitement sera de courte durée.

      – Nouveau-né : le phénobarbital a pu provoquer :

      . parfois, un sydrome hémorragique dans les 24 premières heures de la vie chez nouveau-né de mère traitée. Une prévention par la vitamine K1 (10 à 20 mg par 24 heures) chez la mère dans le mois précédant l’accouchement, et un apport adapté au moment de la naissance chez le nouveau-né (1 à 10 mg en injection IV) semblent efficaces.

      . rarement, un syndrome de sevrage modéré (mouvements anormaux, succion inefficace), des perturbations du métabolisme phosphocalcique et de la minéralistion osseuse.
    4. ALLAITEMENT
      La prescription de ce médicament est déconseillée en raison du passage dans le lait maternel.
    5. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      L’attention est attirée notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines sur les risques de somnolence diurne attachée à l’emploi de ce médicament.

    1. RECTITES(ANTECEDENTS)
      En raison de la voie d’administration : antécédents récents de lésions ano-rectales.
    2. PORPHYRIE
      En raison de la présence de phénobarbital.
    3. INSUFFISANCE RESPIRATOIRE SEVERE
      En raison de la présence de phénobarbital.
    4. HYPERSENSIBILITE AUX BARBITURIQUES
    5. ANTECEDENTS CONVULSIFS
      Fébriles. En raison de la présence de terpènes.
    6. ANTECEDENTS EPILEPTIQUES
      De crises. En raison de la présence de terpènes.
    7. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      – Estroprogestatifs et progestatifs :
      Ce médicament est généralement déconseillé en association avec les estroprogestatifs et les progestatifs (utilisés comme contraceptifs) : diminution de l’efficacité contraceptive (augmentation du catabolisme hépatique). Utiliser de préférence une autre méthode contraceptive, en particulier de type mécanique.

    Traitement

    La forme suppositoire rend cette éventualité pratiquement irréalisable.

    Voies d’administration

    – 1 – RECTALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Réservé à l’enfant de trente mois à quinze ans.
    Un à deux suppositoires par jour de trente mois à six ans.
    Deux à trois suppositoires par jour de six à quinze ans.
    .
    Mode d’Emploi :
    Voie rectale.
    Le choix de la voie rectale n’est
    déterminé que par la commodité d’administration du médicament.
    Durée d’administration : l’utilisation de la voie rectale doit être la plus courte possible.


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