ATRIUM 100 comprimés sécables (arrêt de commercialisation)

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ATRIUM 100 comprimés sécables (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 13/1/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    code expérimentation – 10010 CERM


    Forme : COMPRIMES SECABLES

    Usage : adulte

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : RIOM LABORATOIRES-C.E.R.M.

    Produit(s) : ATRIUM

    Evénements :

    1. mise sur le marché 25/4/1967
    2. octroi d’AMM 21/10/1974
    3. publication JO de l’AMM 13/4/1976
    4. validation de l’AMM 15/11/1994
    5. arrêt de commercialisation 1/4/1997

    Présentation et Conditionnement

    Conditionnement 1

    Numéro AMM : 318097-1

    1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    30
    unité(s)
    PVC/alu
    jaune

    Evénements :

    1. inscription SS 15/4/1967
    2. agrément collectivités 27/4/1969


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 60
    mois

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Conditionnement 2

    Numéro AMM : 552265-4

    1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    150
    unité(s)
    PVC/alu
    jaune

    Evénements :

    1. agrément collectivités 27/4/1969


    Lieu de délivrance : hôpitaux

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 60
    mois

    Régime : liste I

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANXIOLYTIQUE (CARBAMATE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : N05B-C10.


    1. Manifestations mineures de l’anxiété

    1. SEDATION
      Condition(s) Favorisante(s) :
      DEBUT DE TRAITEMENT

      Inconstante en début de traitement, qui disparaît en quelques jours.

    2. DEPENDANCE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      USAGE PROLONGE
      POSOLOGIES ELEVEES

      L’usage prolongé ( en particulier à posologie élévée ) peut mener à un état physique de dépendance. L’arrêt du traitement conduit alors à un syndrome de sevrage.

    3. TOXICITE HEPATIQUE
      Des observations d’atteintes hépatiques (augmentation des transaminases, ictère, hépatites) ont été rapportées.
    4. DOULEUR ARTICULAIRE (EXCEPTIONNEL)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT CONTINU
    5. REACTION ALLERGIQUE CUTANEE (RARE)

    1. TRANSAMINASES(ELEVATION)
      le traitement doit être interrompu.
    2. ICTERE
      le traitement doit être interrompu.
    3. MISE EN GARDE
      DEPENDANCE : tout traitement par l’Atrium peut entraîner un état de Pharmacodépendance physique et psychique. Divers facteurs semblent favoriser la survenue de la dépendance :

      – durée du traitement,

      – dose,

      – association à d’autres médicaments : psychotropes, anxiolytiques, hypnotiques.

      – association à l’alcool,

      – antécédents d’autres dépendances médicamenteuses ou non.

      Cet état peut entraîner à l’arrêt du traitement un phénomène de sevrage. Les symptômes de sevrage sont : insomnie, céphalées anxiété importante, myalgies, tension musculaire, parfois irritabilité, agitation voire épisode de confusion. Dans des cas exceptionnels ont pu être observés : tremblements, phénomènes hallucinatoires, convulsions.

      Il peut être utile d’exposer d’emblée au patient la durée limitée du traitement, qui ne devrait pas être supérieure à 4 à 12 semaines et les modalités d’arrêt progressif de celui – ci ( quelques jours, voire quelques semaines ) .
    4. ALCOOL
      L’absorption d’alcool pendant le traitement est déconseillée.
    5. ARRET DU TRAITEMENT
      L’arrêt du traitement peut entraîner un phénomène de sevrage.

      Il convient d’en avertir le patient et de prévoir un arrêt progressif avec décroissance posologique sur quelques jours voir quelques semaines, en particulier après une utilisation prolongée ou lorsque l’on a des raisons de suspecter l’existence d’une pharmacodépendance.
    6. GROSSESSE
      Risque lié au phénobarbital

      – Début de grossesse :

      Chez l’animal, l’expérimentation met en évidence un effet tératogène; cependant, dans l’espèce humaine, les études prospectives n’ayant pas mis en évidence d’augmentation du nombre de malformations, le risque malformatif est par conséquent minime ou nul.

      – Fin de grossesse et période néo-natale :

      L’administration de barbiturique en fin de grossesse peut entraîner une dépression respiratoire et un syndrome de sevrage chez le nouveau-né avec hyper-irritabilité et des convulsions. Il survient dans un délai de un à quatorze jours après l’accouchement et peut persister pendant plusieurs mois. Une surveillance néo-natale est alors recommandée.
    7. ALLAITEMENT
      L’utilisation de ce médicament pendant la lactation n’est pas recommandée en raison du passage du phénobarbital dans le lait.
    8. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      Risque de somnolence attaché à l’emploi de ce médicament.
    9. UTILISATEUR DE MACHINE
      Risque de somnolence attaché à l’emploi de ce médicament.

    1. ETAT DE CHOC
    2. MYASTHENIE
    3. INSUFFISANCE RENALE
    4. INSUFFISANCE HEPATIQUE
    5. INSUFFISANCE CARDIAQUE
    6. INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
    7. PORPHYRIE
    8. HYPERSENSIBILITE AUX BARBITURIQUES
      antécédents.

    Traitement

    – Intoxication aiguë :
    Somnolence pouvant évoluer vers le coma.
    – Traitement :
    Diurèse osmotique alcaline.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Réservé à l’adulte.
    La posologie est de deux à quatre comprimés maximum par jour. Chez le sujet âgé, il est recommandé de la diminuer.
    La durée du traitement dépend de l’indication et ne devrait pas dépasser quatre à douze semaines y
    compris la période de diminution de la posologie.


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