CETRAPHYLLINE 125 mg gélules (arrêt de commercialisation)

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CETRAPHYLLINE 125 mg gélules (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 26/5/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : GELULES (MICROGRANULES)

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : SCHERING PLOUGH

    Produit(s) : CETRAPHYLLINE

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 31/7/1981
    2. publication JO de l’AMM 22/9/1981
    3. mise sur le marché 9/5/1983
    4. arrêt de commercialisation 28/11/1994

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 324928-9

    3
    plaquette(s) thermoformée(s)
    10
    unité(s)
    PVC/alu

    Evénements :

    1. arrêt de commercialisation 28/11/1994
    2. radiation SS 12/3/2000
    3. radiation collectivités 12/3/2000


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : aucune liste

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIASTHMATIQUE V. GENER. (XANTHINE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : R03D-A04.
      Relaxation des fibres musculaires lisses. S’oppose aux effets de nombreux médiateurs bronchoconstricteurs. Relaxant des muscles lisses des voies urinaires et biliaires.
      Stimulant cardiaque, vasodilatateur coronarien augmentant les besoins en oxygène du coeur. La théophylline est considérée comme un coronarodilatateur malin.
      Analeptique respiratoire, psychostimulant, agent convulsivant à fortes doses.


    1. – Asthme.
      – La cétraphylline peut être utilisée dès la fin de la crise d’asthme en relais des formes injectables pour obtenir une action préventive sur la survenue de nouvelles crises. La durée d’action prolongée lui permet d’être utilisée comme traitement de fond de l’asthme, y compris dans l’asthme à dyspnée continue.

    1. EFFETS SECONDAIRES GENERAUX
      Variables d’un sujet à l’autre, doivent être distingués en mineurs disparaissant le plus souvent spontanément et majeurs, traduisant un surdosage.
    2. NERVOSITE
      cède le plus souvent spontanément
    3. EXCITATION PSYCHOMOTRICE
      Légère. Cède le plus souvent spontanément.
    4. INSOMNIE
      cède le plus souvent spontanément
    5. PESANTEUR EPIGASTRIQUE
      cède le plus souvent spontanément
    6. TACHYCARDIE
      – éphémère : cède le plus souvent spontanément
      – permanente: suspendre le traitement
    7. NAUSEE
      suspendre le traitement ou réajuster la posologie
    8. VOMISSEMENT
      suspendre le traitement ou réajuster la posologie
    9. DOULEUR EPIGASTRIQUE
      suspendre le traitement ou réajuster la posologie
    10. DIARRHEE
      suspendre le traitement ou réajuster la posologie
    11. CEPHALEE
      suspendre le traitement ou réajuster la posologie
    12. TREMBLEMENT
      suspendre le traitement ou reajuster la posologie
    13. CRISE CONVULSIVE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      SURDOSAGE

      L’apparition de convulsions est le signe d’intoxication confirmée mais elles peuvent être le premier signe, notamment chez l’enfant.

    1. ENFANT
    2. FIEVRE
      réduire la posologie
    3. INSUFFISANCE CARDIAQUE
      réduire la posologie
    4. INSUFFISANCE HEPATIQUE
      réduire la posologie
    5. INSUFFISANCE RENALE
      réduire la posologie
    6. SUJET AGE
      réduire la posologie
    7. ANTECEDENTS COMITIAUX
      administration prudente à posologie très progressive en début de traitement
    8. ADAPTATION DE LA POSOLOGIE
      – Un surdosage peut résulter de doses inappropriées (au besoin fractionner les présentations), de prises répétées à intervalles trop courts, par potentialisation par des médicaments associés.

      – En raison de grandes variations interindividuelles du métabolisme de la théophilline, il est nécessaire d’adapter les doses en fonction des réactions indésirables et/ou des taux sanguins.
    9. OBESITE
    10. INSUFFISANCE CORONARIENNE
    11. HYPERTHYROIDIE
    12. ULCERE GASTRIQUE
    13. ULCERE DUODENAL
    14. TABAGISME
      Le tabac modifiant la pharmacocinétique de la théophylline (demi-vie raccourcie) il peut être nécessaire d’augmenter les doses chez les fumeurs.
    15. GROSSESSE
      En cas d’administration en fin de grossesse, possibilité de tachycardie, hyperexitabilité chez le nouveau né.
    16. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      Ne pas administrer en même temps que d’autres xanthines.
    17. ALLAITEMENT

    1. INTOLERANCE A LA THEOPHYLLINE
    2. ENFANT DE MOINS DE 30 MOIS

    Traitement

    – Chez l’adulte : convulsions, hyperthermie et arrêt cardiaque.
    – Traitement : lavage gastrique ; réanimation en milieu spécialisé.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Réservé à l’adulte et à l’adolescent.
    La posologie sera adaptée a la susceptibilité individuelle en fonction de l’efficacité et des effets indésirables en commençant par des doses de sept à huit milligrammes par kilogramme et par
    vingt quatre heures.
    Compte-tenu de leur action prolongée, les gélules sont destinées à être administrées à raison de deux prises par jour (douze à treize milligrammes par kilogramme et par jour) permet d’obtenir des concentrations sériques efficaces et
    bien tolérées. Cette posologie doit cependant être atteinte progressivement en quelques jours.
    En pratique, et selon la morphologie et le poids du malade, il est possible de conseiller les posologies suivantes :
    – chez l’adulte maigre et l’adolescent
    (moins de cinquante kilogrammes) : une gélule à deux cent cinquante milligrammes matin et soir (cinq cents milligrammes par jour).
    – chez l’adulte de poids moyen (entre cinquante et soixante dix kilogrammes) : une gélule à deux cent cinquante
    milligrammes et une gélule à cent vingt cinq milligrammes matin et soir (sept cent cinquante milligrammes par jour).
    – chez l’adulte fort (plus de soixante dix kilogrammes) :deux gélules à deux cent cinquante milligrammes matin et soir (mille
    milligrammes par jour).
    – en cas d’obésité, adapter la posologie au poids idéal.


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