AMPICILLINE DAKOTA PHARM 0,50 g poudre et solution injectable (Hôp)

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AMPICILLINE DAKOTA PHARM 0,50 g poudre et solution injectable (Hôp)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 6/8/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : POUDRE ET SOLVANT POUR SOLUTION INJECTABLE

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : SANOFI WINTHROP (DPT HOPITAL)

    Produit(s) : AMPICILLINE DAKOTA PHARM

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 11/6/1982
    2. publication JO de l’AMM 30/7/1982
    3. mise sur le marché 10/10/1982

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 554161-1

    25
    ampoule(s) de solvant
    5
    ml
    verre

    25
    flacon(s) de poudre
    verre

    Evénements :

    1. agrément collectivités 20/9/1987


    Lieu de délivrance : hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste I

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Volume : 5
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIBIOTIQUE VOIE GENERALE (PENICILLINE SPECTRE ELARGI) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : J01C-A01.
      L’ampicilline est un antibiotique bactéricide de la famille des bêta-lactamines, du groupe des pénicillines de type A.
      Spectre d’activité antibactérienne :
      A / Espèces habituellement sensibles :
      Plus de 90 % des souches de l’espèce sont sensibles (‘S’).
      Sreptocoques A, B, C, F, G ; non groupables
      S. pneumoniae pénicilline-sensibles
      E. faecalis, L. monocytogenes
      C. diphteriae, E. rhusopathiae, Eikenella
      N. meningitidis, B. pertussis
      Clostridium sp., P. acnes
      Peptostreptococcus, Actinomyces
      Leptospires, Borrelia, Treponema
      B / Espèces résistantes :
      Au moins 50 % des souches de l’espèce sont résistantes (‘R’).
      Staphylocoques, B. catarrhalis
      Klebsiella
      Enterobacter, Serratia, C. diversus, C. freundii
      P. rettgeri, M. morganii, P. vulgaris, Providencia, Y. enterocolitica
      Pseudomonas sp., Acinetobacter sp., Xanthomonas sp.,
      Flavobacterium sp., Alcaligenes sp.
      Nocardia sp., Campylobacter sp.
      Mycoplasmes, Chlamydiae
      Rickettsies, Legionella, Mycobactéries
      B. fragilis.
      C / Espèces inconstamment sensibles.
      Le pourcentage de résistance acquise est variable. La sensibilité est donc imprévisible en l’absence d’antibiogramme.
      E. faecium, S. pneumoniae peni I ou R
      E. coli, P. mirabilis, Salmonella, Shigella, V. cholerae
      H. influenzae, N. gonorrhoeae
      Fusobacterium, Prevotella.
      En France, en 1995, 30 à 40 % des pneumocoques sont de sensibilité diminuée à la pénicilline (CMI > 0.12 mcg/ml). Cette diminution de l’activité intéresse toutes les bêta-lactamines dans des proportions variables, et devra notamment être prise en compte pour le traitement des méningites en raison de leur gravité et des otites aiguës moyennes où l’incidence des souches de sensibilité diminuée peut dépasser 50 %.
      Certaines espèces bactériennes ne figurent pas dans le spectre en l’absence d’indication clinique.


    1. Elles procèdent de l’activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques de l’ampicilline. Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu le médicament et de sa place dans l’éventail des produits antibactériens actuellement disponibles. Elles sont limitées aux infections dues aux germes définis ci-dessus comme sensibles, notamment dans leurs manifestations :
      – respiratoires,
      – o.r.l. et stomatologiques,
      – rénales et uro-génitales,
      – gynécologiques,
      – digestives et biliaires,
      – méningées,
      – septicémiques et endocarditiques.

    1. REACTION ALLERGIQUE
    2. URTICAIRE
    3. EOSINOPHILIE
    4. OEDEME ANGIONEUROTIQUE
    5. GENE RESPIRATOIRE
    6. CHOC ANAPHYLACTIQUE (EXCEPTIONNEL)
    7. ERUPTION MACULOPAPULEUSE
      d’origine allergique ou non.
    8. TROUBLE DIGESTIF
    9. NAUSEE
    10. VOMISSEMENT
    11. DIARRHEE
    12. CANDIDOSE
    13. TRANSAMINASES(AUGMENTATION)
      Augmentation modérée et transitoire des transaminases sériques.
    14. ANEMIE
      Réversible.
    15. LEUCOPENIE
      Réversible.
    16. THROMBOPENIE
      Réversible.
    17. NEPHROPATHIE INTERSTITIELLE AIGUE
    18. ENTEROCOLITE PSEUDOMEMBRANEUSE

    1. MISE EN GARDE
      – La survenue de toute manifestation allergique impose l’arrêt du traitement.

      – Des réactions d’hypersensibilité (anaphylaxie) sévères et parfois fatales ont été exceptionnellement observées chez des malades traités par les pénicillines a.

      Leur administration nécessite donc un interrogatoire préalable.

      Devant des antécédents d’allergie typique à ces produits, la contre- indication est formelle.
    2. HYPERSENSIBILITE AUX CEPHALOSPORINES
      Tenir compte du risque d’allergie croisée avec les antibiotiques de la famille des Céphalosporines.
    3. INSUFFISANCE RENALE
      Adapter la posologie en fonction de la clairance de la créatinine ou de la créatininémie.
    4. GROSSESSE
      Tenir compte du passage placentaire.
    5. ALLAITEMENT
      Tenir compte du passage dans le lait maternel.

    1. HYPERSENSIBILITE AUX PENICILLINES
    2. MONONUCLEOSE INFECTIEUSE
      Infections par les virus du groupe herpès-virus, notamment la mononucléose infectieuse (risque accru d’accidents cutanés) .
    3. ASSOCIATION A L’ALLOPURINOL
      Risque accru d’accidents cutanés.

    Voies d’administration

    – 1 – INTRAVEINEUSE

    – 2 – INTRAVEINEUSE(EN PERFUSION)

    – 3 – INTRAMUSCULAIRE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – Forme injectable intra-musculaire : nourrissons – enfants : cinquante milligrammes par kilogramme par jour. Adultes : deux grammes par jour.
    – Forme injectable intra-veineuse : nourrissons – enfants : cent à trois cents
    milligrammes par kilogramme par jour. Adultes : deux à douze grammes par jour.


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