HYDROSOL POLYVITAMINE B.O.N. capsules

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HYDROSOL POLYVITAMINE B.O.N. capsules

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 26/2/2001

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : CAPSULES

    Usage : adulte, enfant + de 12 ans

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : DOMS RECORDATI

    Produit(s) : HYDROSOL POLYVITAMINE B.O.N.

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 1/1/1951
    2. validation de l’AMM 7/1/1997

    Présentation et Conditionnement

    Conditionnement 1

    Numéro AMM : 305190-8

    2
    plaquette(s) thermoformée(s)
    10
    unité(s)
    PVC/polychlorure de vinylidène/alu
    rouge

    Evénements :

    1. agrément collectivités
    2. radiation collectivités 30/1/1993


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES
    A L’ABRI DE LA LUMIERE

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    non remboursé

    Prix Pharmacien HT : 32.37 F

    Prix public TTC : 53.70 F

    TVA : 5.50 %

    Conditionnement 2

    Numéro AMM : 552315-1

    10
    plaquette(s) thermoformée(s)
    10
    unité(s)
    PVC/polychlorure de vinylidène/alu
    rouge

    Evénements :


    Lieu de délivrance : hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES
    A L’ABRI DE LA LUMIERE

    Régime : aucune liste

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. MULTIVITAMINES (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : A11B-A.

    1. ***
      Correction de troubles en rapport avec un régime alimentaire carencé ou déséquilibré chez l’adulte et l’adolescent.
    2. MALNUTRITION

    1. REMARQUE
      Tout effet indésirable est susceptible d’être une manifestation de surdosage et doit entraîner l’arrêt du traitement.

    1. SURCHARGE VITAMINIQUE
      Pour éviter tout surdosage, tenir compte des doses totales de vitamine A et vitamine D en cas d’association de plusieurs traitements contenant ces vitamines.
    2. SURCHARGE CALCIQUE
      En cas d’apport en calcium, un contrôle régulier de la calciurie est indispensable.

    1. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS (absolue)
    2. MALABSORPTION DES LIPIDES (absolue)
    3. MALABSORPTION DIGESTIVE
    4. HYPERCALCEMIE (absolue)
    5. HYPERCALCIURIE (absolue)
    6. LITHIASE CALCIQUE (absolue)
    7. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE (absolue)
      – Thérapeutique associée interférant avec l’absorption de la vitamine A.
      – Lévodopa : inhibition de l’activité de la lévodopa lorsqu’elle est utilisée sans inhibiteur de la dopadécarboxylase périphérique. Eviter tout apport de pyridoxine en l’absence d’inhibiteur de la dopadécarboxylase.
    8. GROSSESSE (relative)
      La vitamine A est tératogène chez l’animal sur plusieurs espèces.
      Dans l’espèce humaine, des cas de malformations ont été rapportés avec de fortes doses. Toutefois, à ce jour, l’absence d’étude épidémiologique fiable et le faible effectif des notifications isolées empêchent de conclure définitivement sur la réalité de ce risque malformatif.
      En conséquence, compte tenu de l’apport alimentaire quotidien, il est recommandé de ne pas dépasser une dose journalière de 5 000 UI de vitamine A apportée par des médicaments.
    9. ALLAITEMENT (relative)
      L’utilisation est déconseillée en cas d’allaitement du fait du risque de surdosage chez le nouveau-né.

    Traitement

    – Signes résultant de l’administration de doses excessives de vitamine D ou de ses métabolites :
    * Signes cliniques : céphalées, asthénie, anorexie, amaigrissement, arrêt de croissance ; nausées, vomissements ; polyurie, polydipsie, déshydratation ;
    hypertension artérielle ; lithiase calcique, calcifications tissulaires, en particulier rénales et vasculaires ; insuffisance rénale.
    * Signes biologiques : hypercalcémie, hypercalciurie, hyperphosphatémie, hyperphosphaturie.
    – Signes résultant de
    l’administration de doses excessives de vitamine A :
    * Aigu (doses supérieures à 150 000 UI) :
    Signes cliniques : troubles digestifs, céphalées, hypertension intracrânienne (se manifestant chez le nourrisson par le bombement de la fontanelle), oedème
    papillaire, troubles psychiatriques, irritabilité, voire convulsions, desquamation généralisée retardée.
    * Chronique (risque d’intoxication chronique lors d’un apport prolongé de vitamine A à des doses supraphysiologiques chez un sujet non carencé)
    :
    Signes cliniques : hypertension intracrânienne, hyperostose corticale des os longs et soudure précoce épiphysaire. Le diagnostic est généralement porté sur la constatation de gonflements sous-cutanés sensibles ou douloureux au niveau des extrêmités
    des membres. Les radiographies objectivent un épaississement périosté diaphysaire au niveau du cubitus, du péroné, des clavicules et des côtes.
    – Conduite à tenir :
    Cesser l’administration de ce médicament, réduire les apports calciques, augmenter la
    diurèse, boissons abondantes.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Réservé à l’adulte et à l’adolescent.
    Avaler avec un peu d’eau une capsule par jour.
    La durée de traitement ne doit pas dépasser vingt jours par mois.


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