LUTRELEF 0.8 mg lyophilisat et solution pr us parentéral
LUTRELEF 0.8 mg lyophilisat et solution pr us parentéral
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 4/12/2000
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Surdosage
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Forme : POUDRE ET SOLVANT POUR SOLUTION INJECTABLE
Etat : commercialisé
Laboratoire : FERRINGProduit(s) : LUTRELEF
Evénements :
- publication JO de l’AMM 18/12/1985
- mise sur le marché 15/12/1986
Présentation et Conditionnement
Numéro AMM : 328438-6
1
flacon(s) de lyophilisat
verre
1
flacon(s) de solvant
10
ml
verreEvénements :
- inscription liste sub. vénéneuses 18/12/1985
- agrément collectivités 28/11/1986
- inscription SS 22/1/1994
Lieu de délivrance : officine et hôpitaux
Etat actuel : commercialisé
Conservation (dans son conditionnement) : 24
mois
CONSERVER A TEMPERATURE < 20 DEGRES Régime : liste IRéglementation des prix :
remboursé
100 %
Prix public TTC : 1199.20 F
TVA : 2.10 %
Composition
Expression de la composition : par unité de prise, soit pour :
Volume : 10
ml- GONADORELINE ACETATE 0.80 mg
- MANNITOL excipient
- CHLORURE DE SODIUM excipient du solvant
- EAU POUR PREPARATIONS INJECTABLES excipient du solvant
- CHLORHYDRIQUE ACIDE excipient du solvant
- HORMONE HYPOTHALAMIQUE (GNRH) (principale)
Bibliographie : Classe ATC : H01C-A01.
Pour le traitement de la stérilité dans les aménorrhées hypothalamiques.
-
Induction de l’ovulation pour le traitement de la stérilité dans les aménorrhées hypothalamiques.
- GROSSESSE MULTIPLE (EXCEPTIONNEL)
faible risque.
- MISE EN GARDE
Il a été rapporté dans la littérature que des médicaments utilisés dans le traitement de l’infertilité pourraient augmenter le risque de survenue de cancer de l’ovaire. Toutefois cette éventualité repose sur des bases épidémiologiques insuffisantes. - GROSSESSE
La gonadoréline est actuellement utilisée comme inducteur de l’ovulation en vue d’obtenir une grossesse. Elle n’est pas indiquée chez la femme enceinte.
Toutefois, l’expérience montre que certaines femmes, après induction de l’ovulation lors d’un précédent cycle, développent une grossesse sans en avoir connaissance et entreprennent de ce fait une nouvelle stimulation ovarienne.
Les données actuellement disponibles sur les effets de cette classe de produits au cours de la grossesse sont les suivantes :
– Chez l’animal, les études effectuées n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.
– En clinique, l’utilisation de ces produits, sur des effectifs limités de grossesses exposées, n’a apparemment révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier à ce jour. Toutefois, des études complémentaires sont nécessaires pour vérifier les conséquences d’une exposition en cours de grossesse. - SPORTIFS
Traitement
L’acétate de gonadoréline, à la posologie préconisée, peut provoquer de manière rare, pour des raisons soit de sensibilité individuelle, soit de surdosage, une hyperstimulation avec production de plusieurs follicules dominants. Il convient, dans ce cas,
d’interrompre le traitement et de le recommencer à une posologie inférieure.
Voies d’administration
– 1 – INTRAVEINEUSE
– 2 – SOUS-CUTANEE
Posologie & mode d’administration
Posologie Usuelle :
Cinq à vingt microgrammes par pulsation de une minute toutes les quatre vingt dix minutes.
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Mode d’Emploi :
– l’administration est pulsatile à l’aide de la pompe à hormone Zyklomat.
– par voie IV, le cathéter veineux est introduit
dans des conditions stériles dans une veine de l’avant-bras. Le lyophilisat est dissous à l’aide du solvant joint puis on ajoute mille unités internationales d’héparine.
Il convient d’exercer la surveillance d’usage.
– par voie SC, le cathéter est
introduit dans l’hypoderme entre la symphyse pubienne et le nombril. Le lyophilisat est dissous à l’aide du solvant joint. Ne pas ajouter d’héparine.
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Le produit se conserve entre huit et vingt degrés.