TAKETIAM 1 g IM pdre et sol pr us parent (arrêt de commercialisation)

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TAKETIAM 1 g IM pdre et sol pr us parent (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 6/8/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Examens Perturbés
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    nom ancien – PANSPORINE 1 g IM poudre pour préparation injectable


    Forme : POUDRE ET SOLVANT POUR SOLUTION INJECTABLE

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : TAKEDA

    Produit(s) : TAKETIAM

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 2/11/1982
    2. publication JO de l’AMM 23/1/1983
    3. mise sur le marché 15/12/1983
    4. arrêt de commercialisation 15/1/1999

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 558997-7

    20
    ampoule(s) de solvant
    3
    ml
    verre

    20
    flacon(s) de poudre
    verre

    Evénements :

    1. agrément collectivités 15/11/1983
    2. radiation collectivités 11/4/1999


    Lieu de délivrance : hôpitaux

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste I

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIBIOTIQUE VOIE GENERALE (CEPHALOSPORINE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : J01D-A19.
      Le céfotiam est un antibiotique bactéricide semi-synthétique de la famille des bêta-lactamines, du groupe des céphalosporines de troisième génération.
      Spectre d’activité antibactérienne :
      1 / Espèces habituellement sensibles (CMI < ou = 4 mg/l) :
      Plus de 90% des souches de l’espèce sont sensibles (ªSº).
      – Staphylocoques méti-S, Streptocoques, S. pneumoniae péni-S,
      – N. gonorrhoeae, H. influenzae, M. catarrhalis,
      – E. coli, P. mirabilis, C. diversus,
      – Peptostreptococcus, P. acnes, C. perfringens, Actinomyces,
      – M. morganii, Providencia sp.
      2 / Espèces résistantes (CMI > 32 mg/l) :
      Au moins 50% des souches de l’espèce sont résistantes (ªRº).
      – Staphylocoques méti-R, Entérocoques, L. monocytogenes,
      – Bordetella, Vibrio, Campylobacter,
      – Y. enterolitica, Pseudomonas sp., Acinetobacter sp., autres bactéries à Gram négatif non fermentaires,
      – Mycobactéries, Mycoplasma, Chlamydiae, Legionella, B. fragilis.
      3 / Espèces inconstamment sensibles :
      Le pourcentage de résistance acquise est variable. La sensibilité est donc imprévisible en l’absence d’antibiogramme.
      – K. pneumoniae, Clostridium sp., S. pneumoniae péni-I ou R,
      – K. oxytoca, C. freundii, E. cloacae, E. aerogenes, Serratia, P. vulgaris, Eubacterium, Fusobacterium.
      N.B. : certaines espèces bactériennes ne figurent pas dans le spectre en l’absence d’indication clinique.
      En France, en 1995, 30 à 40 % des pneumocoques sont de sensibilité diminuée à la pénicilline (CMI > 0.12 mg/l). Cette diminution de l’activité intéresse toutes les bêta-lactamines dans des proportions variables, et devra notamment être prise en compte pour le traitement des méningites en raison de leur gravité et des otites aiguës moyennes où l’incidence des souches de sensibilité diminuée peut même dépasser 50 %.


    1. – Chez l’adulte : elles sont limitées aux infections sévères dues aux germes sensibles au céfotiam dans leurs manifestations ORL, bronchopulmonaires, urinaires, des tissus mous, ostéo-articulaires, septicémiques à l’exclusion des affections méningèes.
      – Chez l’enfant : le céfotiam a été utilisé dans des infections ORL, bronchopulmonaires, urinaires, des tissus mous, ostéo-articulaires et septicémiques.

    1. REACTION ALLERGIQUE CUTANEE
      Manifestations cutanées d’origine allergique.
    2. TROUBLE DIGESTIF
    3. NAUSEE
    4. VOMISSEMENT
    5. DIARRHEE
    6. TROUBLE HEMATOLOGIQUE
      Transitoires.
    7. EOSINOPHILIE
      Transitoire.
    8. TRANSAMINASES(AUGMENTATION)
      Elévation transitoire (ASAT et ALAT).
    9. LDH(AUGMENTATION)
      Transitoire.
    10. PHOSPHATASES ALCALINES(AUGMENTATION)
      Transitoire.
    11. CREATININEMIE(AUGMENTATION)
      Transitoire.
    12. TOXICITE RENALE
      Des altérations de la fonction rénale ont été observées avec des antibiotiques du même groupe, surtout en cas de traitement associé avec les aminosides et les diurétiques puissants.
    13. ENCEPHALOPATHIE METABOLIQUE
      L’administration de fortes posologies de bêta-lactamines, en particulier chez l’insuffisant rénal peut entraîner des encéphalopathies métaboliques (troubles de la conscience, mouvements anormaux, crises convulsives).
    14. TROUBLE DE LA CONSCIENCE
      L’administration de fortes posologies de bêta-lactamines, en particulier chez l’insuffisant rénal peut entraîner des encéphalopathies métaboliques (troubles de la conscience, mouvements anormaux, crises convulsives).
    15. MOUVEMENT ANORMAL
      L’administration de fortes posologies de bêta-lactamines, en particulier chez l’insuffisant rénal peut entraîner des encéphalopathies métaboliques (troubles de la conscience, mouvements anormaux, crises convulsives).
    16. CRISE CONVULSIVE
      L’administration de fortes posologies de bêta-lactamines, en particulier chez l’insuffisant rénal peut entraîner des encéphalopathies métaboliques (troubles de la conscience, mouvements anormaux, crises convulsives).
    17. DOULEUR AU POINT D’INJECTION
      Injection intramusculaire.

    1. MISE EN GARDE
      – La survenue de toute manifestation allergique impose l’arrêt du traitement.

      – La prescription de céphalosporines nécessite un interrogatoire préalable.

      – L’allergie aux pénicillines étant croisée avec celle aux céphalosporines dans cinq à dix pour cen des cas :

      . L’utilisation des céphalosporines doit être extrêmement prudente chez les patients pénicillino-sensibles ; une surveillance médicale stricte est nécessaire dès la première administration.

      . L’emploi des céphalosporines est à proscrire formellement chez les sujets ayant des antécédents d’allergie de type immédiat aux céphalosporines. En cas de doute, la présence du médecin auprès du patient est indispensable à la première administration afin de traiter l’accident anaphylactique possible.

      – Les réactions d’hypersensibilité (anaphylaxie) observées avec ces deux types de substances peuvent être graves et parfois fatales.
    2. INSUFFISANCE RENALE
      Adapter la posologie en fonction de la clairance de la créatinine ou de la créatininémie.
    3. REGIME DESODE
      104 mg environ de sodium par gramme de cefotiam.
    4. GROSSESSE
      Bien que les études effectuées sur plusieurs espèces animales n’aient pas montré d’action ni tératogène, ni foetotoxique, comme tout médicament, le céfotiam doit être utilisé avec précaution chez la femme enceinte.
    5. ALLAITEMENT
      Cefotiam est retrouvé dans le lait maternel.

    1. HYPERSENSIBILITE AUX CEPHALOSPORINES
    2. ALLERGIE A LA LIDOCAINE
    3. ENFANT DE MOINS DE 30 MOIS

    1. INTERACTION AVEC LES EXAMENS PARACLINIQUES
      – Une positivation du test de Coombs a été obtenue en cours de traitement par les céphalosporines. Ceci pourrait également survenir chez les sujets traités par le cefotiam.
      – Il peut se produire une réaction faussement positive lors de la recherche du glucose dans les urines avec les substances réductrices, mais non lorsqu’on utilise des méthodes spécifiques à la glucose oxydase.

    Voies d’administration

    – 1 – INTRAMUSCULAIRE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – Adultes : 1 à 2 grammes par jour en 2 à 4 injections. Dans les infections sévères. Il convient d’administrer 4 à 6 g par jour en 3 ou 4 injections.
    – Enfants, nourrissons, nouveaux-nés : 50 à 100 mg/kg/jour en 3 ou 4
    injections.
    .
    .
    Posologie Particulière :
    Insuffisants rénaux : lorsque la clairance de la créatinine est inférieure à 25 ml/mn, il convient d’administrer 75% de la dose unitaire. Le cefotiam étant partiellement hémodialyse, il est conseillé
    d’administrer une dose unitaire en fin de séance.
    .
    .
    Mode d’Emploi :
    * Compatibilités :
    – la pansporine peut être ajoutée aux solutés suivants :
    glucose 5%, glucose 10%, dextran 10%, soluté de Ringer USP, NACL 9 pour mille.
    – s’assurer que les
    solutions préparées avec de la pansporine seule ou associée à d’autres produits sont limpides.
    – si des précipités ou une turbidite apparaissent, ne pas utiliser les solutions.
    – dans les cas de perfusions simultanée à l’aide d’une tubulure en Y de deux
    solutions, cesser provisoirement pendant la perfusion de pansporine l’administration de l’autre soluté.
    * On utilisera uniquement des solutions de pansporine fraichement préparées.
    – une fois reconstitué le cefotiam est stable au réfrigérateur (+4
    degrés), pendant 24 heures. A température ambiante (+23 degrés) la solution est stable pendant 8 heures.


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