STERIMYCINE pommade ophtalmique en récipient unidose

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STERIMYCINE pommade ophtalmique en récipient unidose

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 12/3/2001

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    No de Dossier d’AMM – NL 9782


    Forme : POMMADE OPHTALMIQUE

    unidose

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : CIBA VISION OPHTHALMICS

    Produit(s) : STERIMYCINE

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 25/2/1974
    2. mise sur le marché 1/5/1978
    3. validation de l’AMM 5/12/1997
    4. rectificatif d’AMM 22/11/2000

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 316235-8

    1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    12
    unité(s)
    PVC/alu

    Evénements :

    1. agrément collectivités 18/3/1976
    2. inscription SS 18/3/1976


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Matériel de dosage : unidose

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES NE PAS REUTILISER Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 6.30 F

    Prix public TTC : 11.40 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. PRODUIT OPHTALMOLOGIQUE ANTIBIOTIQUE (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : S01A-A30.
      Association d’antibiotiques de la famille des polypeptides et des aminosides à usage ophtalmique.
      Spectre d’activité antibactérienne :
      – Espèces sensibles :
      Staphylococcus sp, Streptococcus sp, Corynebacterium sp, Enterococcus sp, Entérobactéries, Haemophilus sp, Neisseria sp, Moraxella sp, Bacillus cereus, Pseudomonas aeruginosa.
      – Espèces résistantes :
      Bactéries anaérobies à [G+] et à [G-].

    1. ***
      Infections bactériennes superficielles de l’oeil (conjonctivites, kératites) ou de ses annexes (blépharites, dacryocystites) dues à des germes sensibles.
      -Il convient de tenir compte des recommandations officelles concernant l’utilisation appropriée des antibactériens
    2. CONJONCTIVITE BACTERIENNE
    3. KERATITE
    4. BLEPHARITE
    5. DACRYOCYSTITE

    1. IRRITATION OCULAIRE
      Transitoire.
    2. REACTION D’HYPERSENSIBILITE

    1. MISE EN GARDE
      Ne pas avaler.
    2. PORT DE LENTILLES DE CONTACT
      En cas d’infection de l’oeil, le port de lentille de contact est déconseillé pendant toute la durée du traitement.
    3. HYPERSENSIBILITE
      En cas d’hypersensibilité, arrêt du traitement.
    4. SURVEILLANCE DU TRAITEMENT
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE

      En l’absence d’amélioration rapide ou en cas de traitement prolongé, une surveillance médicale régulière comportant des contrôles bactériologiques avec étude de la sensibilité du germe permet de dépister une résistance au produit et d’adapter éventuellement le traitement.

    5. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      En cas de gêne oculaire importante liée à l’infection bactérienne de l’oeil, il est recommandé d’attendre la fin des symptômes pour conduire un véhicule ou utiliser une machine.

    1. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
      Notamment à la polymyxine B (antibiotique de la famille des polypeptides) et la kanamycine (antibiotique de la famille des aminosides).
    2. GROSSESSE (relative)
      En cas d’administration oculaire, le passage systémique est non négligeable. Toutefois, par rapport à une forme collyre, le passage systémique à partir d’une forme pommade est vraisemblablement très faible.
      La présence de kanamycine conditionne la conduite à tenir en cas de grossesse.
      Les études effectuées chez l’animal ont mis en évidence une atteinte foetale de l’appareil cochléo-vestibulaire après administration parentérale de la néomycine.
      En clinique, quelques cas d’atteinte cochléo-vestibulaire foetale ont été décrits avec la kanamycine après administration parentérale.
      En conséquence, l’utilisation de ce médicament est déconseillé pendant la grossesse.
    3. ALLAITEMENT (relative)
      En cas d’administration oculaire, le passage systémique est non négligeable. Toutefois, par rapport à une forme collyre, le passage systémique à partir d’une forme pommade est vraisemblablement très faible.
      La présence de kanamycine conditionne la conduite à tenir en cas d’allaitement.
      Compte tenu des propriétés pharmacocinétiques de la kanamycine et de l’immaturité digestive du nouveau-né, la prescription de ce médicament n’est pas recommandé en cas d’allaitement.

    Voies d’administration

    – 1 – OCULAIRE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie :
    Voie locale.
    En application oculaire.
    1 à 3 applications oculaires par jour.

    Appliquer la pommade contenue dans le récipient unidose dans le cul-de-sac conjonctival inférieur de l’oeil malade ou des yeux malades et éventuellement sur le bord
    de la paupière.
    Pour ce faire, après s’être préalablement lavé les mains, couper l’extrémité effilée du récipient unidose avec une paire de ciseaux propres et appuyer légèrement sur le récipient unidose pour en extraire la pommade.
    Puis tirer la
    paupière vers le bas tout en regardant vers le haut et déposer la pommade entre la paupière et le globe oculaire.
    Cette pommade est présentée en récipient unidose.
    Le récipient unidose doit être jeté immédiatement après usage et ne doit pas être
    conservée en vue d’une réutilisation.


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