GLIDO NEOMYCINE crème (arrêt de commercialisation)

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GLIDO NEOMYCINE crème (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 4/11/1998

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : CREME

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : LIPHA SANTE

    Produit(s) : GLIDO

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 20/9/1976
    2. publication JO de l’AMM 27/5/1977
    3. mise sur le marché 15/1/1982
    4. arrêt de commercialisation 1/3/1994

    Présentation et Conditionnement

    Conditionnement 1

    Numéro AMM : 320401-6

    1
    tube(s)
    15
    g
    alu verni

    Evénements :

    1. agrément collectivités 11/5/1981
    2. inscription SS 11/5/1981
    3. arrêt de commercialisation 1/3/1994
    4. radiation SS 31/1/1996


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 18
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES Régime : liste I

    Conditionnement 2

    Numéro AMM : 325115-1

    1
    tube(s)
    30
    g
    alu verni

    Evénements :

    1. agrément collectivités 11/5/1981
    2. inscription SS 11/5/1981
    3. arrêt de commercialisation 1/3/1994
    4. radiation SS 31/1/1996


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 18
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES Régime : liste I

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Par poids : 15
    g

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. DERMOCORTICOIDE D’ACTIVITE FORTE ASSOCIE A ANTIBIOTIQUE (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : D07C-C01.
      Dans la préparation, le corticoïde est le principe actif essentiel.
      La supériorité de l’association sur la corticothérapie locale isolée n’a pu être démontrée que pour les premiers jours du traitement et lorsque la population microbienne, en particulier de staphylocoques, est très importante.
      Le glido appartient à la classe II des dermocorticoïdes (activite forte).
      L’antibiotique traite une infection associée mais n’a pas d’indication dans sa prévention.
      Cependant, une impétigination franche relève d’une antibiothérapie par voie générale.


    1. Les dermatoses justifiables de la corticothérapie locale avec surinfection et pendant les 8 premiers jours de traitement, en particulier l’eczéma atopique en début de traitement.

    1. SECHERESSE DE LA PEAU
    2. ERUPTION ACNEIFORME
    3. ERUPTION CUTANEE
      Pustuleuse.
    4. HYPERTRICHOSE
    5. DEPIGMENTATION DE LA PEAU
    6. DERMATITE PERIORALE
      Particulièrement sur le visage.
    7. ACNE ROSACEE
      Apparition ou aggravation.
    8. VERGETURE
      – A la racine des membres peuvent apparaître avec les corticoïdes des classes I et II des les dix premiers jours de traitement.
      – Surviennent plus volontiers chez les adolescents.
    9. ECZEMA ALLERGIQUE DE CONTACT
      Condition(s) Favorisante(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE

      Essentiellement avec la néomycine et la staphylomycine.
      Survient aussi en cas d’utilisation sur les dermites de stase, notamment péri-ulcéreuses.
      Les lésions d’eczéma peuvent disseminer à distance des zones traitées.
      L’allergie à la néomycine est croisée avec celle des autres aminosides.

    10. EFFETS SYSTEMIQUES
      Possibilité d’effets toxiques systémiques, selon l’antibiotique, la surface cutanée traitée, la nature des lésions et le terrain (en particulier chez le nourrisson).

    1. TRAITEMENT PROLONGE
      Durée du traitement : ne doit habituellement pas dépasser 8 jours.

      En effet, l’intérêt de l’association n’est pas démontré au-delà de cette date.

      Un traitement prolongé par erreur sur des surfaces étendues peut donner lieu aux effets indésirables d’une corticothérapie générale.
    2. VISAGE
      Sur le visage, l’utilisation prolongée des corticoïdes expose à la survenue d’une dermite cortico-induite et paradoxalement cortico-sensible avec rebond apres chaque arrêt.

      Un sevrage progressif, particulierement difficile est alors nécessaire.
    3. SELECTION DE GERMES RESISTANTS
      En raison de la présence de l’antibiotique, il existe une possibilité de sélection des germes résistants.
    4. NOURRISSON
      Chez le nourrisson : il est préférable d’éviter les corticoïdes puissants (classe I et II). Il faut se méfier particulierement des phénomènes d’occlusion spontanée pouvant survenir dans les plis et sous les culottes imperméables.

    1. INFECTION BACTERIENNE PRIMITIVE
      L’utilisation de cette association risque de les aggraver ou de modifier leur symptomatologie rendant le diagnostic et le traitement ultérieur plus difficile.
    2. INFECTION VIRALE PRIMITIVE
      L’utilisation de cette association risque de les aggraver ou de modifier leur symptomatologie rendant le diagnostic et le traitement ultérieur plus difficile.
    3. INFECTION FONGIQUE PRIMITIVE
      L’utilisation de cette association risque de les aggraver ou de modifier leur symptomatologie rendant le diagnostic et le traitement ultérieur plus difficile.
    4. ULCERES DE JAMBES
    5. PLAIES ATONES
    6. ESCARRES
    7. ACNE ROSACEE
    8. HYPERSENSIBILITE
      En particulier à l’antibiotique.
    9. PANSEMENT OCCLUSIF
      En cas de dermatose surinfectée.

    Voies d’administration

    – 1 – APPLICATION CUTANEE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – Une à deux applications par jour, en couche mince, sans dépasser huit jours de traitement, et en limitant la surface traitée.
    .
    Mode d’Emploi :
    – Masser légèrement jusqu’à pénétration complète de la crème.
    – Ne pas dépasser huit
    jours de traitement.


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