LEPTICUR PARK 5 mg comprimés

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LEPTICUR PARK 5 mg comprimés

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 11/1/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COMPRIMES SECABLES

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : ROUSSEL DIAMANT

    Produit(s) : LEPTICUR

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 26/6/1989
    2. publication JO de l’AMM 28/10/1989
    3. mise sur le marché 15/1/1991

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 331691-0

    3
    plaquette(s) thermoformée(s)
    10
    unité(s)
    PVC/alu
    blanc

    Evénements :

    1. agrément collectivités 7/9/1990
    2. inscription SS 7/9/1990


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 13.12 F

    Prix public TTC : 21.60 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIPARKINSONIEN ANTICHOLINERGIQUE (PHENYLAMINOPROPAN.) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : N04A-A12.
      Pharmacologiquement, le lepticur présente des propriétés anticholinergiques centrales ; il entraîne aussi des effets périphériques parasympatholytiques, mais l’expérimentation animale à montré que ceux-ci n’apparaissaient qu’à des doses plus élevées.


    1. – Maladie de parkinson.
      – Syndromes parkinsoniens induits par les neuroleptiques (la forme dosée à 10 mg est mieux adaptée).

    1. EFFET ATROPINIQUE
      Les effets secondaires atropiniques observés cèdent rapidement soit de façon spontanée, soit après réduction de la posologie.
    2. SECHERESSE DE LA BOUCHE
      Les effets secondaires atropiniques observés cèdent rapidement soit de façon spontanée, soit après réduction de la posologie.
    3. TROUBLE DE L’ACCOMMODATION
      Les effets secondaires atropiniques observés cèdent rapidement soit de façon spontanée, soit après réduction de la posologie.
    4. HYPERTENSION OCULAIRE
      Les effets secondaires atropiniques observés cèdent rapidement soit de façon spontanée, soit après réduction de la posologie.
    5. TROUBLE DE LA MICTION
      Les effets secondaires atropiniques observés cèdent rapidement soit de façon spontanée, soit après réduction de la posologie.
    6. CONSTIPATION
      Les effets secondaires atropiniques observés cèdent rapidement soit de façon spontanée, soit après réduction de la posologie.
    7. TOXICOMANIE
      Aucun cas de pharmacodépendance au Lepticur n’a été signalé.

    1. ARRET DU TRAITEMENT
      L’interruption brutale du traitement anticholinergique peut comporter des risques de déséquilibre de la correction du syndrome parkinsonien.
    2. GROSSESSE
      En l’absence d’étude chez l’animal et de données cliniques humaines, le risque n’est pas connu.
    3. DEMENCE
      Risque d’aggravation d’une détérioration intellectuelle dans les démences en particulier chez les parkinsoniens.
    4. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      L’usage du Lepticur ne contre-indique pas la conduite automobile, sauf en cas de troubles de l’accomodation. Il faut toutefois remarquer que les indications du Lepticur concernent le plus souvent des malades pour lesquels la conduite de véhicules n’est pas recommandée.
    5. UTILISATEUR DE MACHINE
      L’usage du Lepticur ne contre-indique pas la conduite automobile, sauf en cas de troubles de l’accomodation. Il faut toutefois remarquer que les indications du Lepticur concernent le plus souvent des malades pour lesquels la conduite de véhicules n’est pas recommandée.

    1. GLAUCOME A ANGLE FERME
      Risque de glaucome par fermeture de l’angle.
    2. CARDIOPATHIE DECOMPENSEE
    3. TROUBLES URETRO-PROSTATIQUES
      Risque de rétention urinaire.

    Traitement

    – Symptômes : ceux de l’intoxication aiguë par les anticholinergiques (mydriase, agitation, confusion, hallucinations, convulsions, hyperventilation, tachycardie, hyperthermie).
    – Traitement : évacuation du toxique et traitement symptomatique :
    antidote
    proposée néostigminine 0.5 à 2.5 mg en injection IM ou IV lente.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – maladie de parkinson :
    La posologie sera lentement progressive, en commençant par un demi comprimé et en augmentant tous les trois à quatre jours d’un demi comprimé jusqu’à la dose utile qui s’établit le plus souvent entre deux et
    quatre comprimés par jour.
    – syndrome parkinsonien induit par les neuroleptiques :
    La posologie est variable et doit être adaptée à l’ancienneté et à l’intensité des troubles ainsi qu’à la susceptibilité individuelle, en moyenne quatre à six comprimés
    par jour.
    La forme à 10 mg est mieux adaptée.


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