STAPHYLOMYCINE poudre chirurgicale (arrêt de commercialisation)

Donnez-nous votre avis

STAPHYLOMYCINE poudre chirurgicale (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 4/8/1997

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : POUDRE POUR APPLICATION LOCALE

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : SMITHKLINE BEECHAM LABORATOIRES PHARMACEUTIQUES

    Produit(s) : STAPHYLOMYCINE

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 9/11/1961
    2. mise sur le marché 15/2/1962
    3. arrêt de commercialisation 1/6/1993
    4. retrait d’AMM 1/11/1996

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 309951-3

    1
    flacon(s) poudreur(s)
    2.50
    g
    plastique

    Evénements :

    1. inscription SS 25/7/1961
    2. agrément collectivités 12/1/1982
    3. arrêt de commercialisation 1/6/1993
    4. radiation SS 20/3/1996
    5. radiation collectivités 24/3/1996


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 60
    mois

    Régime : liste I

    Prix Pharmacien HT : 9.53 F

    Prix public TTC : 16.40 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Par poids : 100
    g

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIBIOTIQUE DERMIQUE (AUTRE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : D06A-X10.
      Apparenté à la famille des macrolides du type des synergistines.
      Son activité antibactérienne s’exerce essentiellement sur les coques et sur les bacilles Gram positif et sur certains bacilles Gram négatif :
      – espèces habituellement sensibles : staphylococcus aureus, streptococcus mitis, sanguis, streptococcus pyogenes, streptococcus pneumoniae, corynebacterium diphteriae, neisseria gonorrhoeae, neisseria meningitidis, bacillus anthracis, clostridium tetani, clostridium perfringens, bacillus subtilis, bordetella pertussis, haemophilus influenzae.
      – espèces inconstamment sensibles : streptocoques D, mycoplasmes.
      – espèces résistantes (CMI supérieure ou égale à 2 mcg/ml) :
      entérobactéries, pseudomonas, brucella.


    1. Surinfection des plaies superficielles et des brûlures superficielles.

    1. ECZEMA
      Condition(s) Favorisante(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE

      Allergique de contact, survenant plus fréquemment en cas d’applications sur des ulcères de jambes ou des dermites préulcéreuses.
      Les lésions d’eczéma peuvent disséminer à distance des zones traitées.

    1. MISE EN GARDE
      La sensibilisation par voie cutanée peut compromettre l’utilisation ultérieure par voie générale du même antibiotique ou d’un antibiotique antigéniquement apparenté.
    2. LESION ETENDUE
      Risque de résorption et de passage systémique de l’antibiotique.
    3. ULCERES DE JAMBES
      Risque de résorption et de passage systémique de l’antibiotique.
    4. TRAITEMENT PROLONGE
      La durée du traitement doit être limitée car l’antibiotique utilisé par voie locale peut sélectionner des germes résistants et favoriser une surinfection à germes résistant à l’antibiotique.

    1. HYPERSENSIBILITE
      A la virginiamycine.
    2. ALLAITEMENT
      En cas d’infection mammaire.

    Voies d’administration

    – 1 – APPLICATION CUTANEE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    2 à 3 applications par jour la durée du traitement est limitée à une semaine.
    .
    .
    Mode d’Emploi:
    En pulvérisation ou en application directe.


    Retour à la page d’accueil

Similar Posts