STRIADYNE 20 mg/2 ml solution injectable
STRIADYNE 20 mg/2 ml solution injectable
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 21/1/2000
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Forme : SOLUTION INJECTABLE
Etat : commercialisé
Laboratoire : WYETH-LEDERLEProduit(s) : STRIADYNE
Evénements :
- octroi d’AMM 24/3/1950
- mise sur le marché 15/9/1950
- validation de l’AMM 28/1/1991
Présentation et Conditionnement
Numéro AMM : 310055-8
10
ampoule(s)
2
ml
verreEvénements :
- inscription SS 1/1/1962
- agrément collectivités 16/2/1962
Lieu de délivrance : officine
Etat actuel : commercialisé
Conservation (dans son conditionnement) : 18
mois
Régime : aucune listeRéglementation des prix :
remboursé
65 %
Prix Pharmacien HT : 12.18 F
Prix public TTC : 20.30 F
TVA : 2.10 %
Composition
Expression de la composition : par unité de prise, soit pour :
Volume : 2
ml- TRIPHOSADENINE 20 mg
ribosides phosphoryles purifies correspondant a atp
- PHOSPHATE DISODIQUE 12H2O excipient
- TRISHYDROXYMETHYLAMINOMETHANE excipient
- CHLORHYDRIQUE ACIDE excipient
- EAU POUR PREPARATIONS INJECTABLES excipient
- CHLORBUTOL conservateur (excipient)
- ANTIARYTHMIQUE AUTRE (principale)
Bibliographie : Classe ATC : C01B-X.
Action vagomimétique sur le noeud auriculoventriculaire.
– L’effet cholinergique induit réduit immédiatement les accès de tachycardie paroxystique par rythme réciproque de la jonction auriculoventriculaire, avec ou sans syndrome de Wolff Parkinson White par le jeu des modifications des périodes refractaires du noeud de Tawara.
– En cas de tachycardie à l’etage auriculaire (flutter, tachysystolie), la triphosadénine ne fait que provoquer un ralentissement très passager de l’activité ventriculaire qui facilite l’analyse de l’activité auriculaire anormale, non influencée par le produit.
-
– Tachycardie paroxystique par rythme réciproque de la jonction auriculo-ventriculaire (maladie de Bouveret).
– Utilisation diagnostique pour les autres tachycardies à l’étape auriculaire et/ou non ventriculaire.
- PAUSE SINUSALE
Post-critique pouvant durer 10 secondes. - BLOC AURICULOVENTRICULAIRE
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE INTRAVEINEUSE - BRADYCARDIE
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE INTRAVEINEUSEExpose à des troubles de l’excitabilité ventriculaire justifiant les précautions d’emploi.
- FLUSH
Peu intenses, transitoires, souvent associés et observés peu après l’injection. - CEPHALEE
Peu intenses, transitoires, souvent associés et observés peu après l’injection. - DOULEUR EPIGASTRIQUE
Peu intenses, transitoires, souvent associés et observés peu après l’injection. - NAUSEE
Peu intenses, transitoires, souvent associés et observés peu après l’injection. - BRONCHOSPASME (RARE)
- RECOMMANDATION
– En milieu hospitalier avec matériel de réanimation;
– équilibre métabolique préalable assuré;
– enregistrement ECG permanent pendant l’essai de réduction;
– maintien de l’aiguille en place de façon à pouvoir injecter de l’atropine en cas de besoin. - GROSSESSE
En l’absence d’étude chez l’animal et de données cliniques humaines, le risque n’est pas connu.
- BRADYCARDIE
Bradycardie alternant avec accès de tachycardie. - INSUFFISANCE CORONARIENNE
Etant donné le risque de troubles rythmiques graves liés à l’effet bradycardisant. - TACHYARYTHMIE
Antécédent de tachyarythmie auriculaire ou ventriculaire. - ASTHME
Voies d’administration
Posologie & mode d’administration
Posologie Usuelle :
– Adultes: une demi-ampoule soit dix milligrammes.
en cas d’échec, une ampoule, soit vingt milligrammes, deux à trois minutes plus tard.
– Enfants : un milligramme par kilogramme de poids.
.
.
Mode d’Emploi:
L’administration doit se
faire en milieu hospitalier disposant d’un monitorage et d’un matériel de réanimation cardio-respiratoire.
Un enregistrement électrocardiographique permanent doit être pratiqué pendant l’essai de réduction.
L’injection intraveineuse doit être rapide et
maintien de l’aiguille en place afin de pouvoir injecter de l’atropine en cas de besoin.