BENYLIN 0,28% Sirop (arrêt de commercialisation)
BENYLIN 0,28% Sirop (arrêt de commercialisation)
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 25/8/1998
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Surdosage
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Autres dénominations :
code expérimentation – CI 266
Forme : SIROP
Etat : arrêt de commercialisation
Laboratoire : PARKE DAVISProduit(s) : BENYLIN
Evénements :
- mise sur le marché 15/12/1964
- octroi d’AMM 10/10/1966
- arrêt de commercialisation 1/3/1994
Présentation et Conditionnement
Numéro AMM : 301059-4
1
flacon(s)
125
ml
verreEvénements :
- inscription SS 28/11/1964
- radiation SS 2/2/1994
- arrêt de commercialisation 1/3/1994
Lieu de délivrance : officine
Etat actuel : arrêt de commercialisation
Conservation (dans son conditionnement) : 36
mois
Régime : aucune liste
Prix Pharmacien HT : 7.23 F
Prix public TTC : 12.80 F
TVA : 2.10 %
Composition
Expression de la composition : EXPRIME POUR :
Volume : 100
ml- DIPHENHYDRAMINE CHLORHYDRATE 280 mg
- CHLORURE D’AMMONIUM excipient
- CITRATE DE SODIUM excipient
- ALCOOL ETHYLIQUE A 95C excipient
- CITRIQUE ACIDE excipient
- SACCHAROSE excipient
- GLYCEROL excipient
- AROME aromatisant
- COCCINE NOUVELLE colorant (excipient)
- EAU PURIFIEE excipient
- PARAHYDROXYBENZOATE DE METHYLE conservateur (excipient)
- PARAHYDROXYBENZOATE DE PROPYLE conservateur (excipient)
- ANTITUSSIF (AUTRE) (principale)
Bibliographie : Classe ATC : R05D-B30.
Action antitussive par dépression des centres bulbaires de la toux.
Le chlorhydrate de diphénhydramine s’oppose au bronchospasme, entraîne une bronchodilatation et un effet sédatif. Le chlorhydrate de diphénhydramine possède un effet atropinique.
-
Proposé dans le traitement symptomatique des toux non productives gênantes, en particulier allergiques et irritatives.
- SOMNOLENCE
- HYPERVISCOSITE DES SECRETIONS BRONCHIQUES
- SECHERESSE DE LA BOUCHE
- TROUBLE DE L’ACCOMMODATION
- CONSTIPATION
- RETENTION D’URINE
- CONFUSION MENTALE
- EXCITATION PSYCHOMOTRICE
Chez le sujet âgé; chez l’enfant et le nourrisson en cas de surdosage. - ANOREXIE (RARE)
- NAUSEE (RARE)
- VOMISSEMENT (RARE)
- DIARRHEE (RARE)
- LEUCOPENIE (RARE)
- AGRANULOCYTOSE (RARE)
- MISE EN GARDE
– Les toux productives qui sont un élément fondamental de la défense broncho-pulmonaire sont à respecter.
– Avant de prescrire traitement antitussif, il convient de rechercher les causes de la toux qui requièrent un traitement étiologique propre (asthme, dilation des bronches, insuffisance ventriculaire gauche qu’elle que soit l’étiologie, embolie pulmonaire, toux du cardiaque, cancer, affections endobronchiques, vérification d’obstacles intrabronchiques); et si la toux résiste à un antitussif administré à une posologie usuelle on ne doit pas procéder à une augmentation des doses, mais à un réexamen de la situation clinique. - CONDUCTEURS DE VEHICULES
Risque de somnolence. - UTILISATEUR DE MACHINE
Risque de somnolence. - BOISSONS ALCOOLISEES
Comme pour tout dépresseur du système nerveux central, l’absorption de boissons alcoolisées pendant le traitement est déconseillée. - SUJET AGE
La posologie initiale sera diminuée de 50 pour cent et pourra éventuellement être augmentée du quart en fonction de la tolérance et des besoins. - DIABETE
Tenir compte de la présence de saccharose. - GROSSESSE
D’une manière générale, l’innocuité de l’administration des antihistaminiques n’a pas été établie chez la femme enceinte. - ALLAITEMENT
L’utilisation n’est pas recommandée pendant l’allaitement.
- INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
Quel que soit son degré (en raison de la nécessité de respecter la toux pour éviter l’encombrement bronchique). - GLAUCOME A ANGLE FERME
- RISQUE DE RETENTION URINAIRE
Liés à des troubles urétroprostatiques.
Traitement
– Signes :
. Chez l’enfant : les signes dominants comportent excitation avec agitation, hallucination, ataxie, incoordination, athétose et convulsions. Ces dernières surviennent par intermittence; tremblements et mouvements athétosiques peuvent en être
le prodrome.
Pupilles fixes et dilatées, rougeur des téguments (face) et hyperthermie sont des signes fréquents qui rappellent l’intoxication atropinique. La phase terminale s’accompagne d’un coma qui s’aggrave avec un collapsus cardio-respiratoire : la
mort peut survenir dans un délai de 2 à 98 heures.
. Chez l’adulte le tableau est différent : la dépression et le coma peuvent précéder une phase d’excitation et de convulsions.
Fièvre et rougeur des téguments sont plus rares.
– Traitement
symptomatique, éventuellement assistance respiratoire assistée ou artificielle, anticonvulsivants.
Voies d’administration
Posologie & mode d’administration
Posologie Usuelle :
-Adultes : 2 cuillérées à café 5 fois par 24 heures.
-Enfant de moins de 6 ans : 1/2 à 1 cuillérée à café 3 ou 4 fois par jour.
-Enfant de 6 a 12 ans : 1 cuillérée à café 4 à 5 fois par 24 heures.