MARGENSONE pommade ophtalmique (arrêt de commercialisation)

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MARGENSONE pommade ophtalmique (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 24/9/1998

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : POMMADE OPHTALMIQUE

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : WYETH-LEDERLE

    Produit(s) : MARGENSONE

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 24/12/1984
    2. arrêt de commercialisation 1/2/1994

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 327556-5

    1
    tube(s)
    5
    g
    alu

    Evénements :

    1. inscription liste sub. vénéneuses 24/12/1984
    2. arrêt de commercialisation 1/2/1994


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    non remboursé

    Prix Pharmacien HT : 6.50 F

    Prix public TTC : 11 F

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Par poids : 100
    g

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. PRODUIT OPHTALMOLOGIQUE CORTICOIDE ET ANTIINFECTIEUX (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : S01C-A05.
      Gentamicine, antibiotique aminosidique.
      Bêtaméthasone, antiinflammatoire.


    1. Infections graves de l’oeil et/ou ses annexes :
      – à germes sensibles à la gentamicine,
      – et comportant une composante inflammatoire majeure.

    1. HYPERTENSION OCULAIRE
      Cortico-induite.
    2. ULCERATION CORNEENNE
      Aggravation d’une ulcération cornéenne et/ou sclérale d’origine virale, fongique ou autres (non microbiennes).
    3. RETARD DE CICATRISATION
      Possibilité d’un retard de cicatrisation au niveau de la cornée après chirurgie.
    4. REACTION ALLERGIQUE
      – La possibilité de réactions allergiques croisées a été envisagée, notamment avec la néomycine.
      – Les réactions allergiques rendent nécessaire l’interruption du traitement qui amène leur disparition.

    1. MISE EN GARDE
      – La présence du corticoïde n’empêche pas les manifestations d’allergie à l’antibiotique, mais peut modifier leur expression clinique.

      – La sensibilisation à l’antibiotique peut compromettre l’utilisation ultérieure par voie générale du même antibiotique ou d’un antibiotique antigéniquement apparenté.

      – Des applications répétées et/ou de façon prolongée, peuvent entraîner un passage systémique non négligeable de la bêtaméthasone.
    2. SURVEILLANCE OPHTALMOLOGIQUE
      Comme pour toutes les préparations ophtalmiques comportant un corticoïde, l’usage de cette pommade ophtalmique nécessite une surveillance ophtalmologique particulièrement attentive, en particulier de la pression intra-oculaire et du cristallin.
    3. PORT DE LENTILLES DE CONTACT
      Il est déconseillé, en raison du risque d’adsorption sur la lentille de certains composants de la pommade ophtalmique, de reprendre le port de lentilles de contact avant l’arrêt du traitement.
    4. SURVEILLANCE MEDICALE
      En raison de la présence de l’antibiotique, il existe une possibilité de sélection de germes résistants : si l’amélioration sous traitement n’est pas rapide, ou en cas de traitement prolongé, il est recommandé d’instaurer une surveillance médicale régulière comportant des contrôles bactériologiques pour dépister une résistance à la gentamicine et éventuellement adapter le traitement.
    5. NOURRISSON
      Chez le nourrisson : il est préférable d’éviter l’utilisation de phosphate disodique de bêtaméthasone.
    6. CONSERVATION DU MEDICAMENT
      Ne pas utiliser au-delà de 15 jours après ouverture du tube.

    1. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
    2. ***
      – Résistance à la gentamicine.
      – Etats contre-indiquant une corticothérapie locale :
      .sauf cas particuliers : kératite herpétique et d’une façon générale la plupart des affections virales de la cornée et de la conjonctive,
      .infections fongiques de l’oeil et/ou ses annexes,
      .atteinte oculaire tuberculeuse,
      .antécédents glaucomateux personnels ou familiaux,
      .scléromalacie et mise à nu de la sclère.

    Voies d’administration

    – 1 – OCULAIRE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – De préférence en complément du traitement par le collyre, en application locale, le soir avant le coucher.
    – La durée du traitement est en moyenne de 5 à 12 jours et peut être allongée dans certains cas.


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