CATALGINE VITAMINE C poudre orale (arrêt de commercialisation)

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CATALGINE VITAMINE C poudre orale (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 12/3/2001

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    code expérimentation – 2176TH


    Forme : POUDRE POUR SOLUTION BUVABLE

    unidose

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : PHARMACIA-UPJOHN

    Produit(s) : CATALGINE

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 12/5/1966
    2. mise sur le marché 1/9/1969
    3. arrêt de commercialisation 1/11/1994

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 301925-3

    20
    sachet(s)

    Evénements :

    1. inscription SS 14/4/1969
    2. arrêt de commercialisation 1/11/1994


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Matériel de dosage : unidose

    Conservation (dans son conditionnement) : 18
    mois

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 7.15 F

    Prix public TTC : 12.70 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANALGESIQUE-ANTIPYRETIQUE (SALICYLE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : N02B-A51.


    1. SYNDROMES INFECTIEUX FEBRILES (EN COMPLEMENT DU TRAITEMENT SPECIFIQUE) COURBATURES FEBRILES ETATS GRIPPAUX

    1. BOURDONNEMENT D’OREILLE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      SURDOSAGE
    2. ACUITE AUDITIVE(DIMINUTION)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      SURDOSAGE
    3. CEPHALEE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      SURDOSAGE
    4. DOULEUR ABDOMINALE
    5. ULCERATION GASTRIQUE
    6. HEMORRAGIE DIGESTIVE
      PATENTE OU OCCULTE,POUVANT ETRE RESPONSABLE D’UNE ANEMIE FERRIPRIVE
    7. ANEMIE FERRIPRIVE
    8. SYNDROME HEMORRAGIQUE
      AVEC AUGMENTATION DU TEMPS DE SAIGNEMENT CETTE ACTION PERSISTE 4 A 8 JOURS APRES L’ARRET DE L’ASPIRINE ELLE PEUT CREER UN RISQUE HEMORRAGIQUE EN CAS D’INTERVENTION CHIRURGICALE
    9. EPISTAXIS
    10. GINGIVORRAGIE
    11. HEMATEMESE
    12. MELENA
    13. OEDEME
    14. URTICAIRE
    15. ASTHME
    16. REACTION ANAPHYLACTIQUE
    17. TRAVAIL PROLONGE

    1. ULCERE GASTRIQUE(ANTECEDENTS)
    2. HEMORRAGIE DIGESTIVE
    3. ULCERE DUODENAL(ANTECEDENTS)
    4. INSUFFISANCE RENALE
    5. ASTHME
    6. GOUTTE
      ASPIRINE DECONSEILLEE
    7. MENORRAGIE
      L’ASPIRINE RISQUE D’AUGMENTER L’IMPORTANCE ET LA DUREE DES REGLES.
    8. REGIME DESODE STRICT
      0,128 GRAMME D’ION SODIUM POUR 0,50 GRAMME D’ACIDE ACETYLSALICYLIQUE
    9. DEFICIT EN G6PD
      DES DOSES ELEVEES D’ACIDE ASCORBIQUE (SUPERIEURES A UN GRAMME) PEUVENT PROVOQUER UNE HEMOLYSE CHEZ LES SUJETS DEFICIENTS EN G6PD.
    10. ALLAITEMENT
      Déconseillé en cas de prises répétées d’aspirine en raison du risque toxique (acidose, syndrome hémorragique).

    1. ENFANT DE MOINS DE 6 ANS
      EN RAISON DE LA DOSE D’ASPIRINE PAR UNITE DE PRISE
    2. ULCERE GASTRIQUE
    3. ULCERE DUODENAL
    4. HYPERSENSIBILITE AUX SALICYLES
    5. MALADIE HEMORRAGIQUE
      CONSTITUTIONNELLE OU ACQUISE
    6. RISQUE HEMORRAGIQUE
    7. GROSSESSE
      Les études effectuées chez l’animal ont mis en évidence un effet tératogène de l’aspirine.
      1 / Données cliniques concernant l’aspect malformatif (premier trimestre) :
      – aspirine en traitement ponctuel : les résultats des études épidémiologiques semblent exclure un effet malformatif particulier de l’aspirine, prise au cours du premier trimestre.
      – aspirine en traitement chronique : il n’existe pas actuellement de données en nombre suffisant pour évaluer un éventuel effet malformatif de l’aspirine lorsqu’elle est administrée en traitement chronique au delà de 150 mg/j pendant le premier trimestre de la grossesse.
      2 / Données cliniques concernant l’aspect foetotoxique (deuxième et troisième trimestres) :
      * pendant les 4ème et 5ème mois, l’analyse d’un nombre élevé de grossesses exposées en traitement bref n’a apparemment révélé aucun effet foetotoxique particulier. Toutefois, seules des études épidémiologiques permettraient de vérifier l’absence de risque.
      * à partir du 6ème mois de la grossesse, l’aspirine à doses antalgiques, antipyrétiques ou antiinflammatoires (> ou = 500 mg/prise et par jour), comme tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines, peut exposer :
      – le foetus à :
      . une toxicité cardiopulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel et hypertension pulmonaire;
      . un dysfonctionnement rénal pouvant aller jusqu’à l’insuffisance rénale avec oligohydramnios.
      – la mère et l’enfant, en fin de grossesse, à un allongement éventuel du temps de saignement. Cet effet antiagrégant peut se manifester même à très faibles doses.
      En conséquence:
      – pendant les 5 premiers mois de la grossesse :
      . l’aspirine en traitement ponctuel peut être prescrite si besoin,
      . par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser l’aspirine en traitement chronique au delà de 150 mg/j.
      – à partir du 6ème mois de la grossesse :
      . en dehors d’utilisations cardiologiques ou obstétricales extrêmement limitées, et qui justifient une surveillance spécialisée, tout médicament à base d’aspirine est contre-indiquée à partir du 6ème mois.
    8. ALLAITEMENT
      L’aspirine passant dans le lait maternel, l’allaitement est déconseillé.
    9. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      1 / Associations contre-indiquées :
      – Méthotrexate :
      L’aspirine est contre-indiquée avec le méthotrexate, si celui-ci est utilisé à des doses supérieures à 15 mg/semaine.
      – Anticoagulants oraux :
      Lorsqu’elle est administrée à doses élevées (> ou = 3 g/j), l’aspirine est contre-indiquée avec les anticoagulants oraux.
      2 / Associations déconseillées :
      – anticoagulants oraux (pour des doses d’aspirine < 3 g/j chez l'adulte),
      – d’autres AINS (pour les doses élevées d’aspirine, soit > ou = 3 g/j chez l’adulte),
      – l’héparine,
      – la ticlopidine,
      – les uricosuriques.

    Traitement

    L’intoxication est à craindre chez les sujets agés et, surtout, chez les jeunes enfants (surdosage thérapeutique ou intoxications accidentelles fréquentes chez les tout-petits) ou elle est dramatique et peut être mortelle.
    – symptômes cliniques :
    .
    Intoxication modérée : bourdonnements d’oreille, sensation de baisse de l’acuite auditive, céphalées, vertiges, nausées, sont la marque d’un surdosage et peuvent être contrôlés par la réduction de la posologie.
    . Intoxication sévère : fièvre,
    hyperventilation, cétose, alcalose respiratoire, acidose métabolique, coma, collapsus cardio-vasculaire, insuffisance respiratoire, hypoglycémie importante.
    – Traitement :
    . Transfert immediat en milieu hospitalier specialisé,
    . Evacuation rapide du
    produit ingéré par lavage gastrique,
    . Contrôle de l’équilibre acidobasique,
    . Diurèse alcaline forcée, possibilité d’hémodialyse ou de dialyse péritonéale si nécessaire.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – Adulte : trois à quatre paquets en moyenne par jour.
    – Enfant de 6 à 10 ans : un paquet par jour en deux prises.
    – enfant de 11 à 15 ans : un paquet et demi à deux paquets par jour en deux à quatre prises.
    .
    Mode d’Emploi:
    Toujours
    utiliser diluée. verser le contenu du paquet dans un verre. Ajouter l’eau (ou soda, jus de fruit : utilisation aisée en pédiatrie).
    Agiter quelques secondes pour obtenir une dissolution parfaite. La catalgine 0,50 g à la vitamine C ne doit pas être
    administrée aux nourrissons et enfants de moins de 6 ans.


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