DOLCIDIUM 100 mg suppositoires
DOLCIDIUM 100 mg suppositoires
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 26/10/2000
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Forme : SUPPOSITOIRES
Etat : commercialisé
Laboratoire : GALEPHARProduit(s) : DOLCIDIUM
Evénements :
- octroi d’AMM 6/2/1985
- publication JO de l’AMM 7/4/1985
- mise sur le marché 15/3/1987
Présentation et Conditionnement
Numéro AMM : 327346-0
1
boîte(s)
10
unité(s)Evénements :
- agrément collectivités 18/2/1986
- inscription SS 18/2/1986
Lieu de délivrance : officine
Etat actuel : commercialisé
Régime : liste IRéglementation des prix :
remboursé
65 %
Prix public TTC : 21 F
TVA : 2.10 %
Composition
Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE
- INDOMETACINE 100 mg
- GLYCERIDES HEMISYNTHETIQUES excipient
- ANTIINFLAMMATOIRE NON STEROIDIEN (DERIVE ARYLACETIQUE) (principale)
Bibliographie : Classe ATC : M01A-B01.
L’indométacine est un dérivé de l’indol.
-
– Traitement symptomatique des poussées aigües des rhumatismes abarticulaires (tendinites, bursites…), arthrites microcristallines, arthroses.
– Traitement symptomatique des rhumatismes inflammatoires chroniques, notamment de la spondylarthrite ankylosante ou des syndromes apparentes tels que le syndrome de Feissenger-Leroy-Reiter, de la polyarthrite rhumatoïde, et des rhumatismes psoriasiques.
– Traumatologie.
– Traitement adjuvant des manifestations inflammatoires en rapport avec la chirurgie odontostomatologique, la chirurgie orthopédique, des dysménorrhées primaires.
Il s’agit d’une thérapeutique d’appoint d’affections non rhumatologiques ; les risques encourus, en particulier l’extension d’un processus septique concomitant, doivent être évalués par rapport au bénéfice attendu.
– Traitement symptomatique de certains états fébriles.
- NAUSEE
- VOMISSEMENT
- ANOREXIE
- DOULEUR EPIGASTRIQUE
- DOULEUR ABDOMINALE
- DIARRHEE
- ULCERE GASTRODUODENAL
- HEMORRAGIE DIGESTIVE
- CEPHALEE
- VERTIGE
- ACOUPHENE
- SOMNOLENCE
- INSOMNIE
- ICTERE
- HEPATITE
- OEDEME
- HYPERTENSION ARTERIELLE
- HEMATURIE
- PRURIT
- URTICAIRE
- VASCULARITE
- ERYTHEME NOUEUX
- ERUPTION CUTANEE
- ALOPECIE
- INSUFFISANCE RESPIRATOIRE AIGUE
- ASTHME
- OEDEME ANGIONEUROTIQUE
- LEUCOPENIE
- PURPURA
- ANEMIE APLASTIQUE
- ANEMIE HEMOLYTIQUE
- THROMBOPENIE
- BROUILLARD VISUEL
- DOULEUR ORBITAIRE
Et périorbitaires. - DEPOT CORNEEN
Et altérations rétiniennes après un traitement prolongé. - ACUITE AUDITIVE(DIMINUTION)
Risque d’aggravation d’une hypoacousie. - HEMORRAGIE VAGINALE
- GLYCEMIE(AUGMENTATION)
- GLYCOSURIE
- ULCERATION DE LA BOUCHE
- EPISTAXIS
- SENSATION DE BRULURE ANALE
De même que douleurs et prurits en de rares occasions. En cas d’intolérance rectale, il est conseillé d’interrompre le traitement.
- MISE EN GARDE
En raison de la gravité possible des manifestations gastro-intestinales notamment chez les malades soumis à un traitement anticoagulant, il convient de surveiller particulièrement l’apparition d’une symptomatologie digestive ; en cas d’hémorragie gastro-intestinale, interrompre le traitement.
Dolcidium doit être utilisé avec précaution dans les affections de nature infectieuse ou comportant un risque infectieux même bien contrôlé; en effet :
– l’indométacine pourrait être susceptible de réduire les défenses naturelles de l’organisme contre l’infection.
– l’indométacine pourrait être susceptible de masquer les signes et les symptômes habituels de l’infection. - TROUBLES PSYCHIATRIQUES
L’indométacine peut avoir tendance dans certains cas à aggraver ces affections. - EPILEPSIE
L’indométacine peut avoir tendance dans certains cas à aggraver ces affections. - SYNDROME PARKINSONIEN
L’indométacine peut avoir tendance dans certains cas à aggraver ces affections. - TRAITEMENT PROLONGE
Lors de traitement prolongé, au-delà d’un an, il est conseillé de faire pratiquer un contrôle ophtalmologique, des anomalies rétiniennes ayant été signalées. Dans ce cas, l’arrêt du traitement s’impose. - SUJET AGE
Réduire la posologie. - ULCERE GASTRODUODENAL(ANTECEDENT)
- CEPHALEES
Pour réduire l’incidence des troubles neurosensoriels (notamment céphalées), commencer la thérapeutique par de faibles doses qui seront augmentées par la suite. En cas de persistance des céphalées, suspendre le traitement. - CONDUCTEURS DE VEHICULES
Prévenir les malades de l’apparition possible d’étourdissements. - UTILISATEUR DE MACHINE
Prévenir les malades de l’apparition possible d’étourdissements. - SURVEILLANCE HEMATOLOGIQUE
Compte tenu des effets indésirables hématologiques. - INSUFFISANCE CARDIAQUE
En début de traitement, une surveillance particulière du volume de la diurèse et de la fonction rénale est nécessaire. - CIRRHOSE
En début de traitement, une surveillance particulière du volume de la diurèse et de la fonction rénale est nécessaire. - ATTEINTE RENALE
En début de traitement, une surveillance particulière du volume de la diurèse et de la fonction rénale est nécessaire. - INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
En début de traitement, une surveillance particulière du volume de la diurèse et de la fonction rénale est nécessaire. - CONTROLE MEDICAL
Avant d’envisager le traitement des dysménorrhées primaires, il est indispensable que les examens gynécologiques habituels aient été effectués dans le but d’éliminer toutes causes organiques nécessitant un traitement spécifique. - PORT DU STERILET
Il a été décrit une possibilité de diminution d’efficacité. - ALLAITEMENT
Les AINS passant dans le lait maternel, par mesure de précaution, il convient d’éviter de les administrer chez la femme qui allaite.
- ALLERGIE A L’INDOMETACINE
Et aux substances d’activité proche. La survenue de crises d’asthme a été observée chez certains sujets, notamment allergiques à l’aspirine. - ENFANT DE MOINS DE 15 ANS
Les indications, la posologie et par conséquent la sécurité d’emploi n’ayant pas encore été établies. - ULCERE GASTRODUODENAL EVOLUTIF
- INSUFFISANCE HEPATOCELLULAIRE SEVERE
- INSUFFISANCE RENALE SEVERE
- RECTITES
Antécédents récents. - RECTORRAGIES
Antécédents récents. - GROSSESSE
Dans l’espèce humaine, aucun effet malformatif particulier n’a été signalé. Cependant, des études épidémiologiques complémentaires sont nécessaires afin de confirmer l’absence de risque.
Au cours du troisième trimestre, tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines peuvent exposer :
– le foetus à :
. une toxicité cardio-pulmonaire (hypertension pulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel);
. un dysfonctionnement rénal pouvant aller jusqu’à l’insuffisance rénale avec oligohydramnios.
– la mère et l’enfant, en fin de grossesse, à un allongement éventuel du temps de saignement.
En conséquence, la prescription d’AINS ne doit être envisagée que si nécessaire pendant les 5 premiers mois de la grossesse.
En dehors d’utilisations obstétricales extrêmement limitées et qui justifient une surveillance spécialisée, la prescription d’AINS est contre-indiquée à partir du 6ème mois. - ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
L’indométacine ne doit généralement pas être utilisé en cas d’association avec :
– les anticoagulants oraux,
– d’autres AINS, y compris les salicylés à partir de 3 g/jour chez l’adulte,
– le diflunisal,
– l’héparine,
– le lithium,
– le méthotrexate à partir de 15 mg/semaine,
– la ticlopidine.
Voies d’administration
Posologie & mode d’administration
Posologie usuelle :
– Traitement d’attaque : 150 mg par jour.
– Traitement d’entretien : 50 à 150 mg par jour.