CLARIX SANS SUCRE sirop édulcoré au Lycasin

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CLARIX SANS SUCRE sirop édulcoré au Lycasin

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 26/3/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    nom ancien – LOBELYNE CHARRON


    Forme : SIROP

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : COOPERATION PHARMACEUTIQUE FRANCAISE

    Produit(s) : CLARIX

    Evénements :

    1. mise sur le marché 1/1/1951
    2. octroi d’AMM 4/2/1963
    3. validation de l’AMM 27/1/1997

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 342280-7

    1
    flacon(s)
    250
    ml
    verre jaune

    Evénements :

    1. mise sur le marché 5/12/1998


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Matériel de dosage : cuillère-mesure
    5
    ml

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    grand public

    Prix Pharmacien HT : 23.55 F

    Prix public TTC : 39.10 F

    TVA : 5.50 %

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Volume : 100
    ml

    Principes actifs

    • ERYSIMUM 0.15 g
    • PHOLCODINE 0.10 g
      Une cuillère – mesure (5 ml) contient 5 mg de pholcodine. 15 ml contiennent 15 mg de pholcodine.

    Principes non-actifs

    1. ANTITUSSIF (OPIACE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : R05D-A08.
      Pholcodine : dérivé morphinique antitussif d’action centrale. Son action dépressive sur les centres respiratoires est moindre que celle de la codéine.
      Erysimum : phytothérapie à visée antitussive.
      * Propriétés pharmacocinétiques :
      La pholcodine est complètement absorbée après administration orale.
      L’élimination s’effectue principalement dans les urines et 30 à 50% de la dose administrée sont retrouvés sous forme inchangée.

    1. ***
      Traitement symptomatique des toux non productives gênantes.
    2. TOUX SECHE

    1. CONSTIPATION
      Lié à la pholcodine.
    2. SOMNOLENCE
      Lié à la pholcodine.
    3. VERTIGE (RARE)
      Lié à la pholcodine.
    4. NAUSEE (RARE)
      Lié à la pholcodine.
    5. VOMISSEMENT (RARE)
      Lié à la pholcodine.
    6. BRONCHOSPASME (RARE)
      Lié à la pholcodine.
    7. REACTION ALLERGIQUE CUTANEE (RARE)
      Lié à la pholcodine.

    1. MISE EN GARDE
      Attention : le titre alcoolique de ce médicament est de 1.2% v/v soit 0.14 g d’alcool par prise de 15 ml.

      Les toux productives qui sont un élément fondamental de la défense bronchopulmonaire sont à respecter.

      Il est illogique d’associer un expectorant o mucolytique à un antitussif.

      Avant de prescrire un traitement antitussif, il convient de rechercher les causes de la toux qui requièrent un traitement spécifique.

      Si la toux résiste à un antitussif administré à une posologie usuelle, on ne doit pas procéder à une augmentation des doses, mais à un réexamen de la situation clinique.
    2. INSUFFISANCE HEPATIQUE
      La posologie initiale sera diminuée de moitié par rapport à la posologie conseillée, et pourra éventuellement être augmentée en fonction de la tolérance et des besoins.
    3. BOISSONS ALCOOLISEES
      La prise de boissons alcoolisées et d’autres médicaments contenant de l’alcool pendant le traitement est déconseillée.
    4. GROSSESSE
      Il n’y a pas d’étude de tératogenèse disponible chez l’animal.

      En clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique n’est apparu à ce jour. Toutefois, le suivi de grossesses exposées à ce médicament est insuffisant pour exclure tout risque.

      Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique de pholcodine par la mère, et cela quelle que soit la dose, peut être à l’origine d’un syndrome de sevrage chez le nouveau-né.

      En fin de grossesse, des posologies élevées, même en traitement bref, sont susceptibles d’entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.

      En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser la pholcodine pendant la grossesse.
    5. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      L’attention est appelée, notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les risques de somnolence attachés à l’emploi de ce médicament.

    1. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
    2. INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
    3. TOUX DE L’ASTHMATIQUE
    4. ALLAITEMENT
      La pholcodine passe dans le lait maternel ; avec la codéine, quelques cas d’hypotonie et de pauses respiratoires ont été décrits chez des nourrissons, après ingestion par les mères de codéine à doses suprathérapeutiques. En cas d’allaitement, et par extrapolation avec la codéine, la prise de ce médicament est contre-indiquée.

    Signes de l’intoxication :

    1. COMA
    2. DEPRESSION RESPIRATOIRE
    3. CRISE CONVULSIVE

    Traitement

    Traitement symptomatique :
    – en cas de dépression respiratoire : naloxone, assistance respiratoire.
    – en cas de convulsions : benzodiazépines.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    – Réservé à l’adulte et l’enfant de plus de trente kilogrammes (soit environ de dix ans).
    – Le traitement symptomatique doit être court (quelques jours) et limité aux horaires où survient la toux.
    – En l’absence d’autre prise
    médicamenteuse apportant de la pholcodine ou tout autre antitussif central, la dose quotidienne de pholcodine à ne pas dépasser est de quatre vingt dix milligrammes chez l’adulte et d’un milligramme par kilogramme chez l’enfant.
    – La posologie usuelle
    est de :
    * Chez l’adulte : cinq à quinze millilitres par prise (soit une cuillère – mesure à trois cuillères – mesure ou une cuillère à soupe par prise), à renouveler au bout de quatre heures en cas de besoin, sans dépasser six prises par jour.
    * Chez
    l’enfant : quatre vingt microgrammes par kilogramme à cent cinquante microgrammes par kilogramme par prise, soit à titre indicatif : enfant de trente à cinquante kilogrammes (environ dix à quinze ans) : cinq millilitres par prise (soit une cuillère –
    mesure), à renouveler en cas de besoin au bout de quatre heures, sans dépasser six prises par jour.
    – Les âges approximatifs en fonction du poids sont données à titre indicatif.
    – Les prises devront être espacées de quatre heures au
    minimum.
    .
    Posologies particulières :
    – Sujet âgé ou insuffisant hépatique :
    La posologie initiale sera diminuée de moitié par rapport à la posologie conseillée chez l’adulte et pourra éventuellement être augmentée en fonction de la tolérance et des
    besoins.


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