ANTALBY comprimés (arrêt de commercialisation)

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ANTALBY comprimés (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 3/1/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COMPRIMES ENROBES

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : BAILLY-SPEAB

    Produit(s) : ANTALBY

    Evénements :

    1. mise sur le marché 1/1/1948
    2. octroi d’AMM 1/10/1952
    3. publication JO de l’AMM 1/6/1970
    4. arrêt de commercialisation 2/1/1991
    5. retrait d’AMM 1/2/1997

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 300497-8

    1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    20
    unité(s)
    PVC/alu
    vert foncé

    Evénements :

    1. agrément collectivités 28/11/1960
    2. inscription SS 28/12/1961
    3. arrêt de commercialisation 2/1/1991
    4. radiation SS 31/1/1996
    5. radiation collectivités 24/3/1996


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : aucune liste

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIASTHMATIQUE V. GENER. (XANTHINE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : R03D-A04.
      Due à la théophylline :
      – bronchodilatateur par relaxation des muscles lisses.
      S’oppose aux effets de nombreux médiateurs bronchoconstricteurs.
      Relaxation des muscles lisses des voies urinaires et biliaires.
      – stimulant central : analeptique respiratoire, psychostimulant, agent convulsivant à hautes doses.
      – stimulation cardiaque, vasodilatation coronarienne, augmentation des besoin en oxygène du coeur, la théophylline est considérée comme un coronarodilatateur `malin`.


    1. Proposé dans :
      – asthme à dyspnée paroxystique
      – asthme à dyspnée continue
      – formes spastiques des bronchopneumopathies obstructives chroniques.

    1. NAUSEE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      POSOLOGIE ELEVEE

      Cet effet peut être l’un des premiers signes d’un surdosage.

    2. VOMISSEMENT
      Condition(s) Favorisante(s) :
      POSOLOGIE ELEVEE

      Cet effet peut être l’un des premiers signes d’un surdosage.

    3. DOULEUR EPIGASTRIQUE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      POSOLOGIE ELEVEE

      Cet effet peut être l’un des premiers signes d’un surdosage.

    4. TROUBLE NEUROLOGIQUE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      POSOLOGIE ELEVEE

      Cet effet peut être l’un des premiers signes d’un surdosage.

    5. CEPHALEE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      POSOLOGIE ELEVEE

      Cet effet peut être l’un des premiers signes d’un surdosage.

    6. INSOMNIE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      POSOLOGIE ELEVEE

      Cet effet peut être l’un des premiers signes d’un surdosage.

    7. EXCITATION PSYCHOMOTRICE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      POSOLOGIE ELEVEE

      Cet effet peut être l’un des premiers signes d’un surdosage.

    8. TACHYCARDIE
      Cet effet peut être l’un des premiers signes d’un surdosage.
    9. CRISE CONVULSIVE
      L’apparition de convulsions est le signe d’intoxication confirmée mais peut en être le premier signe chez l’enfant.

    1. INSUFFISANCE CARDIAQUE
      Au besoin réduire les doses.
    2. INSUFFISANCE HEPATIQUE
      Au besoin réduire les doses.
    3. OBESITE
      Adapter la posologie par rapport au poids idéal.
    4. INSUFFISANCE CORONARIENNE
    5. HYPERTHYROIDIE
    6. ANTECEDENTS COMITIAUX
    7. ULCERE GASTRODUODENAL EVOLUTIF
      Chez l’animal, des données expérimentales ont montré que la théophylline a un effet stimulant sur la secretion gastrique. Son administration doit ëtre prudente chez les sujets ayant un ulcère gastroduodénal en évolution.
    8. GROSSESSE
      Ne pas utiliser en fin de grossesse, possibilité de tachycardie, hyperexitabilité chez le nouveau né.

    1. INTOLERANCE AU GLUTEN

    Traitement

    – Signes chez l’enfant : agitation, logorrhée, confusion mentale, vomissements répétés, hyperthermie, tachycardie, parfois fibrillation ventriculaire, convulsions, hypotension, troubles respiratoires, hyperventilation puis dépression respiratoire,
    rarement ulcérations digestives avec hémorragies.
    – Chez l’adulte : convulsions, hyperthermie et arrêt cardiaque.
    – Traitement: lavage gastrique, réanimation en milieu spécialisé.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Enfant de plus de trente mois :
    – tâter la susceptibilité individuelle en fonction de l’efficacité et des effets indésirables en commençant par des doses de l’ordre de sept à huit milligrammes par kilogramme jusqu’à douze
    milligrammes par kilogramme et par jour en plusieurs doses espacées, soit un à trois suppositoires par jour.
    – des doses plus élevées peuvent être nécessaires notamment chez l’enfant, pour obtenir un taux efficace, mais sous contrôle de la
    théophyllinémie (dix à quinze microgrammes par millilitre : ne pas dépasser vingt microgrammes par millilitre) .

    .
    Mode d’Emploi :
    – Utiliser avec une grande prudence chez le jeune enfant qui est extrêmement sensible à l’action des xanthines.
    – En
    raison des grandes variations inter individuelles du métabolisme de la théophylline, il est nécessaire d’adapter les doses en fonction des réactions indésirables et/ou des taux sanguins (cf.posologie) .
    – Un surdosage peut résulter de doses
    inappropriées, de prises répétées à intervalles trop courts, ou d’une potentialisation par des médicaments associés (cf. interactions médicamenteuses) .


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