BRONCHY ADULTES sirop

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BRONCHY ADULTES sirop

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 24/9/1998

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : SIROP

    Usage : adulte

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : BOUCHARA SANTE ACTIVE

    Produit(s) : BRONCHY

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 7/10/1954
    2. mise sur le marché 15/10/1954
    3. validation de l’AMM 15/4/1996

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 301570-0

    1
    flacon(s)
    180
    ml
    verre brun

    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    grand public

    Prix Pharmacien HT : 21.21 F

    Prix public TTC : 35.20 F

    TVA : 5.50 %

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Volume : 100
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTITUSSIF (OPIACE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : R05D-A20.
      La codéïne est un alcaloïde de l’opium : antitussif d’action central, ayant un effet dépresseur sur les centres respiratoires.

    1. ***
      Traitement symptomatique des toux non productives gênantes.
    2. TOUX SECHE

    1. CONSTIPATION
      Aux doses thérapeutiques les effets indésirables de la codéine sont comparables à ceux des autres opiacés, mais ils sont plus rares et modérés.
    2. SOMNOLENCE
      Aux doses thérapeutiques les effets indésirables de la codéine sont comparables à ceux des autres opiacés, mais ils sont plus rares et modérés.
    3. VERTIGE
      Aux doses thérapeutiques les effets indésirables de la codéine sont comparables à ceux des autres opiacés, mais ils sont plus rares et modérés.
    4. NAUSEE
      Aux doses thérapeutiques les effets indésirables de la codéine sont comparables à ceux des autres opiacés, mais ils sont plus rares et modérés.
    5. VOMISSEMENT
      Aux doses thérapeutiques les effets indésirables de la codéine sont comparables à ceux des autres opiacés, mais ils sont plus rares et modérés.
    6. BRONCHOSPASME
      Aux doses thérapeutiques les effets indésirables de la codéine sont comparables à ceux des autres opiacés, mais ils sont plus rares et modérés.
    7. REACTION ALLERGIQUE CUTANEE (RARE)
      Lié à la présence de codéine.
    8. DEPRESSION RESPIRATOIRE
      Aux doses thérapeutiques les effets indésirables de la codéine sont comparables à ceux des autres opiacés, mais ils sont plus rares et modérés.
    9. SYNDROME DE SEVRAGE
      Lié à la présence de codéine. A des doses supra-thérapeutiques, il existe un risque de dépendance et de sevrage à l’arrêt brutal, qui peut être observée chez l’utilisateur et chez le nouveau-né de mère intoxiquée à la codéine.

    1. MISE EN GARDE
      – Un traitement prolongé à fortes doses peut conduire à un état de dépendance.

      – Les toux productives, qui sont un élément fondamental de la défense broncho-pulmonaire, sont à respecter.

      – Il est illogique d’associer un exceptorant ou mucolytique à un antitussif.

      – Avant de prescrire un traitement antitussif, il convient de rechercher les causes de la toux qui requiérent un traitement spécifique.

      – Si la toux résiste à un antitussif administré à une posologie usuelle, on ne doit pas procéder à une augmentation des doses, mais à un rééxamen de la situation clinique.
    2. SPORTIFS
      L’attention des sportifs sera attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
    3. HYPERTENSION INTRACRANIENNE
      Prudence en cas d’hypertension intracrânienne qui pourrait être majorée.
    4. BOISSONS ALCOOLISEES
      La prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l’alcool, pendant le traitement est déconseillée.
    5. DIABETE
      En cas de diabète, tenir compte de la teneur en saccharose : 11.8 g par cuillère à soupe.
    6. REGIMES HYPOCALORIQUES
      En cas de régimes hypoglucidiques, tenir compte de la teneur en saccharose : 11.8 g par cuillère à soupe.
    7. GROSSESSE
      Les données épidémiologiques actuelles n’ont pas mis en évidence un effet malformatif particulier de la codéine dans l’espèce humaine.

      Cependant en fin de grossesse, des posologie élevées de codéine sont susceptibles d’entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.

      De plus, il existe un risque de syndrome de sevrage chez le nouveau-né de mère toxicomane.

      Compte tenu de ce données, il est possible d’utiliser ce médicament chez la femme enceinte pendant les deux premiers trimestres.

      Pendant le troisième trimestre, la codéine peut être administrée ponctuellement en cas d’indication formelle.
    8. ALLAITEMENT
      La codéine passe dans le lait maternel.

      Quelques cas d’hypotonie et de pauses respiratoires ayant été décrits chez des nourrissons, après ingestion par les mères, de codéine à des doses suprathérapeutiques.

      Par conséquent, si le traitement doit être entrepris chez une femme qui allaite, elle devra être informée de ce risque afin d’éviter un usage abusif.
    9. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      L’attention est appelée, notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les risques de somnolence attachés à l’emploi de ce médicament.

    1. INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
    2. TOUX DE L’ASTHMATIQUE
    3. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
      En particulier aux parabens (parahydroxybenzoate de méthyle sodé, parahydroxybenzoate de propyle sodé).

    Signes de l’intoxication :

    1. DEPRESSION RESPIRATOIRE
    2. CYANOSE
    3. BRADYPNEE
    4. SOMNOLENCE
    5. RASH
    6. VOMISSEMENT
    7. CRISE CONVULSIVE
    8. COMA
    9. MYOSIS
    10. OEDEME DE LA FACE
    11. URTICAIRE
    12. RETENTION D’URINE
    13. COLLAPSUS CARDIOVASCULAIRE

    Traitement

    Signes chez l’adulte :
    – dépression aiguë des centres respiratoires (cyanose, bradypnée), somnolence, rash, vomissements, convulsions, coma.
    Signes chez l’enfant :
    (seuil toxique : 2 mg/kg en prise unique)
    – bradypnée, pauses respiratoires
    – myosis

    convulsions
    – flush et oedème du visage, éruption urticarienne, rétention d’urine, collapsus
    Traitement
    – assistance respiratoire
    – naloxone en cas d’intoxication massive.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    – Réservé à l’adulte : une cuillère à soupe (quinze ml) contient onze mg sept de codéine.
    * Chez l’adulte : une cuillère à soupe par prise à renouveler au bout de six heures en cas de besoin, sans dépasser quatre cuillères à soupe
    par jour.
    – En l’absence d’autre prise médicamenteuse apportant de la codéine ou tout autre antitussif central, la dose quotidienne de codéine à ne pas dépasser est de cent vingt milligrammes chez l’adulte.
    .
    Posologie particulière :
    * Chez le sujet âgé
    ou en cas d’insuffisance hépatique :
    – La posologie initiale sera diminuée de moitié par rapport à la posologie conseillée chez l’adulte, et pourra éventuellement être augmentée en fonction de la tolérance et des besoins.
    .
    Mode d’emploi :
    – Le
    traitement symptomatique doit être court (quelques jours) et limité aux horaires où survient la toux.
    – Les prises devront être espacées de six heures au minimum.


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