TETRALYSAL 150 mg gélules

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TETRALYSAL 150 mg gélules

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 7/5/1998

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Examens Perturbés
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : GELULES

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : GALDERMA

    Produit(s) : TETRALYSAL

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 3/6/1966
    2. mise sur le marché 16/1/1967
    3. validation de l’AMM 17/7/1992

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 310487-5

    1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    16
    unité(s)
    rouge/jaune

    Evénements :

    1. inscription SS 16/1/1967
    2. agrément collectivités 22/6/1983


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 18
    mois

    CONSERVER DANS UN ENDROIT FRAIS
    CONSERVER DANS UN ENDROIT SEC

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 16.93 F

    Prix public TTC : 26.75 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    • LYMECYCLINE 150 mg
      LYMECYCLINE, QUANTITE CORRESPONDANT A L’ACTIVITE DE TETRACYCLINE BASE:

    Principes non-actifs

    1. ANTIBIOTIQUE VOIE GENERALE (TETRACYCLINE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : J01A-A04.
      De la famille des tétracyclines (groupe des cyclines semi-synthétiques),
      Activité antibactérienne : le spectre antibactérien naturel de la lymecycline est celui des cyclines.
      – espéces habituellement sensibles :
      brucella, pasteurella, mycoplasma pneumoniae, chlamydia, rickettsiae, gonocoques, vibrio chlolerae, leptospires, treponema pallidum, haemophilus, proponibacterium acnés, uréaplasma uréalyticum.
      -espéces inconstamment sensibles : (10 à 40% de souches résistantes):
      staphylocoques, streptocoques ACG, pneumocoques, shigella, klebsiella, proteus morganii, escherichia coli, anaerobies (clostridium, bacteroides, fusobacterium), legionella pneumophila.
      -espéces résistantes (CMI supérieure ou égale à 16 mcg/ml):
      streptocoques BD, enterobacter, serratia, proteus rettgeri, providencia, pseudomonas, mycobacterium tuberculosis.
      lorsque, pour une espéce donnée, la notion d’une sensibilité constante habituelle des souches n’est pas établie, seule une étude in vitro de la souche peut permettre de savoir si elle est sensible, résistante ou intermédiaire.


    1. Elles procèdent de l’activite antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques de la lymécycline. Elles tiennent compte à la fois de la situation de cet antibiotique dans l’éventail des produits antibactériens actuellement disponibles et des connaissances actualisées sur la sensibilite des espéces bacteriennes.
      elles sont limitees aux infections suivantes :
      brucellose, pasteurelloses, infections pulmonaires, infections genito-urinaires et ophtalmiques à chlamydia, infections pulmonaires et genito-urinaires à mycoplasmes, rickettsioses, coxiella burnetti (fièvre Q), gonococcie, infections ORL et broncho-pulmonaires à haemophilus influenzae en particulier exacerbations aigues des bronchites chroniques, tréponèmes (dans la syphilis, les tétracylines ne sont indiquées qu’en cas d’allergie aux bétalactamines) spirochètes (maladie de lyme, leptospirose), choléra,
      acné (manifestations cutanées associées à propionibactérium acnés).

    1. DYSCHROMIE DENTAIRE
      Ou hypoplasie de l’émail dentaire en cas d’administration chez l’enfant au-dessous de huit ans.
    2. TROUBLE DIGESTIF
    3. DIARRHEE
    4. NAUSEE
    5. DOULEUR EPIGASTRIQUE
    6. GLOSSITE
    7. ENTEROCOLITE
    8. REACTION ALLERGIQUE
    9. URTICAIRE
    10. RASH
    11. PRURIT
    12. OEDEME ANGIONEUROTIQUE
    13. PHOTOSENSIBILISATION
    14. TROUBLE HEMATOLOGIQUE
      Décrits lors de traitements par les tétracyclines.
    15. ANEMIE HEMOLYTIQUE
      Décrite lors de traitements par les tétracyclines.
    16. THROMBOPENIE
      Décrite lors de traitements par les tétracyclines.
    17. NEUTROPENIE
      Décrite lors de traitements par les tétracyclines.
    18. EOSINOPHILIE
      Décrite lors de traitements par les tétracyclines.
    19. UREE SANGUINE(AUGMENTATION)
      Une hyperazotémie extrarénale en relation avec un effet antianabolique a été signalée avec les tétracyclines. Cette hyperazotemie peut être majorée par l’association avec les diurétiques.

    1. INSUFFISANCE HEPATIQUE
    2. INSUFFISANCE RENALE
    3. SURDOSAGE
      Le surdosage expose à un risque d’hépatotoxicité
    4. PHOTOSENSIBILISATION
      En raison des risques de photosensibilisation, il est conseillé d’éviter toute exposition directe au soleil et aux UV pendant le traitement, qui doit être interrompu en cas d’apparition de manifestations cutanées à type d’érythéme.
    5. DATE DE PEREMPTION
      L’utilisation des tétracyclines périmées peut entrainer l’apparition d’acidoses rénales rapidement reservibles.

    1. HYPERSENSIBILITE AUX TETRACYCLINES
      Allergie aux antibiotiques de la famille des tétracyclines.
    2. ENFANTS DE MOINS DE 8 ANS
      L’emploi de ce médicament doit être évité chez l’enfant de moins de 8 ans, en raison du risque de coloration permanente des dents et d’hypoplasie de l’email dentaire.
    3. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      Association avec les rétinoides par voie générale.
    4. GROSSESSE
      La tétracycline passe dans le placenta; son emploi doit être évité chez les femmes enceintes (risque d’anomalie du bourgeon dentaire ou de dyschromie dentaire chez l’enfant.
    5. ALLAITEMENT
      La tétracycline passe dans le lait maternel; son emploi doit être évité chez les femmes enceintes qui allaitent (risque d’anomalie du bourgeon dentaire ou de dyschromie dentaire chez l’enfant).

    1. GLUCOSE URINAIRE
      peut donner de faux résultats positifs dans le dosage du glucose urinaire (méthode de benedict, clinitest)
    2. CATECHOLAMINES URINAIRES
      Méthode :
      FLUORESCENCE

      Peut produire dans les urines une fluorescence interférant dans le dosage des catécholamines urinaires (méthode de Hingerty).

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    adultes : 600 mg/jour soit quatre gélules

    .
    Posologie Particulière:
    acné:
    300mg:jour soit deux gélules pendant dix a quinze jours puis 150mg par jour par jur (une gélule), ou 300mg (deux gélules) tous les deux jours en traitement
    d’entretien.
    .
    Mode d’emploi :
    en deux prises par jour de préférence en dehors des repas.


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