ANGICALM collutoire

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ANGICALM collutoire

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 20/12/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    nom ancien – ANGISEPTYL
    nom ancien – BRIBAR COLLUTOIRE


    Forme : COLLUTOIRE

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : BRICHARD

    Produit(s) : ANGICALM

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 26/7/1973
    2. mise sur le marché 9/11/1973
    3. validation de l’AMM 5/1/1996

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 329251-7

    1
    flacon(s) pressurisé(s)
    60
    ml
    verre

    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 12
    mois

    A L’ABRI DE LA CHALEUR
    NE PAS PERCER NI BRULER MEME APRES USAGE

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    grand public

    Prix Pharmacien HT : 19.76 F

    Prix public TTC : 32.80 F

    TVA : 5.50 %

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Volume : 100
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTISEPTIQUE BUCCOPHARYNGE (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : R02A-A18.
      Préparation à usage buccal ou oropharyngé associant un antiseptique local de la famille de diamidines (Di-iséthionate d’hexamidine) et un anesthésique local (chlorhydrate de tétracaïne).
      Ce médicament contient des dérivés terpéniques qui peuvent abaisser le seuil épileptogène.

    1. ***
      Traitement local d’appoint antibactérien et antalgique limitées à la muqueuse buccale et à l’oropharynx.
      NB : devant les signes cliniques généraux d’infections bactérienne, une antibiothérapie par voie générale doit être envisagée.

    1. SENSIBILISATION
      A l’hexamidine et aux anesthésiques locaux avec risques de réaction anaphylactique.
    2. ENGOURDISSEMENT DE LA LANGUE
    3. FAUSSE ROUTE
    4. CRISE CONVULSIVE
      En raison de la présence de dérivés terpéniques et en cas de non respect des doses préconisées : risque de convulsions chez l’enfant et chez le nourrisson.
    5. EXCITATION PSYCHOMOTRICE
      En raison de la présence de dérivés terpéniques et en cas de non respect des doses préconisées : possibilité d’agitation et de confusion chez les sujets âgés.
    6. CONFUSION MENTALE
      En raison de la présence de dérivés terpéniques et en cas de non respect des doses préconisées : possibilité d’agitation et de confusion chez les sujets âgés.

    1. MISE EN GARDE
      Cette spécialité contient des dérivés terpéniques qui peuvent entraîner à doses excessives des accidents neurologiques à type de convulsions chez le nourrisson et chez l’enfant. Respecter les posologies et la durée de traitement préconisées.
    2. ENFANTS DE MOINS DE 12 ANS
      Possibilité de fausse route par anesthésie du carrefour oropharyngé :

      Utiliser ce médicament avec précaution chez l’enfant de moins de 12 ans.
    3. ANTECEDENTS COMITIAUX
      En cas d’antécédents d’épilepsie, tenir compte de la présence de dérivés terpéniques.
    4. FAUSSES ROUTES
      Possibilité de fausse route par anesthésie du carrefour oropharyngé : Ne pas utiliser ce médicament avant les repas ou avant la prise de boissons.
    5. ALLAITEMENT
      En cas d’allaitement, il est préférable de ne pas utiliser ce médicament du fait :

      – de l’absence de donnée cinétique sur le passage des dérivés terpéniques dans le lait,

      – et de leur toxicité neurologique potentielle chez le nourrisson.
    6. TRAITEMENT PROLONGE
      L’indication ne justifie pas un traitement prolongé au-delà de cinq jours d’autant qu’il pourrait exposer à un déséquilibre de la flore microbienne normale de la cavité buccale avec risque de diffusion bactérienne ou fongique.

      Un traitement répété ou prolongé au niveau de la muqueuse peut exposer aux risques d’effets systémiques toxiques des anesthésiques de contact (atteinte du système nerveux central avec convulsions, dépression du système cardio-vasculaire).
    7. PERSISTANCE DES SYMPTOMES
      En cas de persistance des symptômes au-delà de 5 jours et/ou de fièvre associée, la conduite à tenir doit être réévaluée.
    8. DIABETE
      En cas de diabète, tenir compte dans la ration journalière de la présence de 0.05 g de saccharose par pulvérisation.
    9. REGIME HYPOGLUCIDIQUE
      En cas de régime hypoglucidique, tenir compte dans la ration journalière de la présence de 0.05 g de saccharose par pulvérisation.
    10. SPORTIFS
      L’attention des sportifs est attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.

    1. ENFANT DE MOINS DE 6 ANS
    2. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS

    Voies d’administration

    – 1 – BUCCALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    * Adultes :
    – Une pulvérisation trois à six fois par jour.
    – Ne pas dépasser la dose de trois pulvérisations par prise et six prises par jour.
    * Enfants de douze à quinze ans :
    – Une pulvérisation deux à trois fois par jour.
    – Ne pas
    dépasser la dose de trois pulvérisations par prise et trois prises par jour.
    * Enfants de six à douze ans :
    – Une pulvérisation deux à trois fois par jour.
    – Ne pas dépasser la dose de une pulvérisation par prise et trois prises par jour.
    .
    Mode
    d’emploi :
    – Les prises doivent être espacées d’au moins quatre heures.


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