CHIBRO-CADRON Collyre
CHIBRO-CADRON Collyre
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 13/8/1999
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Autres dénominations :
code expérimentation – C 119 B
Forme : COLLYRE EN SOLUTION
Usage : adulte, enfant + de 30 mois
Etat : commercialisé
Laboratoire : MERCK SHARP & DOHME-CHIBRETProduit(s) : CHIBRO-CADRON
Evénements :
- octroi d’AMM 11/4/1962
- mise sur le marché 15/9/1962
- validation de l’AMM 2/9/1992
Présentation et Conditionnement
Numéro AMM : 302174-1
1
flacon(s) compte-gouttes
5
ml
PEEvénements :
- inscription SS 31/8/1962
- agrément collectivités 15/4/1963
Lieu de délivrance : officine
Etat actuel : commercialisé
Conservation (dans son conditionnement) : 24
mois
Conservation (préparée, reconstituée ou déconditionnée) : 15
jour(s)
Régime : liste IRéglementation des prix :
remboursé
65 %
Prix Pharmacien HT : 10.59 F
Prix public TTC : 18 F
TVA : 2.10 %
Composition
Expression de la composition : EXPRIME POUR :
Volume : 100
ml30 gouttes par ml
- DEXAMETHASONE PHOSPHATE 100 mg
Sous forme de sel sodique : 109,3 mg - NEOMYCINE SULFATE 350000 U.I.
- CITRATE DE SODIUM excipient
- BENZODODECINIUM BROMURE conservateur (excipient)
- POLYSORBATE 80 excipient
- HYDROXYETHYLCELLULOSE excipient
- HYDROXYDE DE SODIUM excipient
- CHLORURE DE SODIUM excipient
- EAU PURIFIEE excipient
- PRODUIT OPHTALMOLOGIQUE CORTICOIDE ET ANTIINFECTIEUX (principale)
Bibliographie : Classe ATC : S01C-A01.
Antiinflammatoire par la présence de dexaméthasone.
La Néomycine est un antibiotique bactéricide de la famille des aminosides.
Espèces habituellement sensibles :
– Staphylocoques, Gonocoques.
– Acinetobacter, Brucella, E. Coli, Haemophilus, Klebsiella, Salmonella, Serratia, Shigella, Yersinia.
Espèces habituellement résistantes :
– Streptocoques dont les pneumocoques, pseudomonas, germes anaérobies.
Lorsque pour une espèce donnée, la notion d’une sensibilité constante des souches n’a pas été établie, seul un antibiogramme permet de confirmer si elle est sensible, résistante ou intermédiaire.
-
– Uvéites.
– Sclérites.
– Episclérites.
– Conjonctivites allergiques.
– Kératites interstitielles.
- IRRITATION OCULAIRE
Transitoire. - GENE OCULAIRE
Transitoire. - LARMOIEMENT
Transitoire. - SENSATION DE BRULURE OCULAIRE
Transitoire. - HYPERHEMIE CONJONCTIVALE
Transitoire. - REACTION D’HYPERSENSIBILITE
Risque de réaction d’hypersensibilité cutanéo-conjonctivale. - HYPERTENSION OCULAIRE
Condition(s) Exclusive(s) :
UTILISATION PROLONGEECortico – induite.
- CATARACTE
Condition(s) Exclusive(s) :
UTILISATION PROLONGEE - KERATITE
Condition(s) Exclusive(s) :
UTILISATION PROLONGEESuperficielle.
- RETARD DE CICATRISATION
En cas d’ulcération cornéenne ou sclérale, les corticoïdes peuvent retarder la cicatrisation et favoriser la surinfection.
- MISE EN GARDE
– Utilisation prolongée :
Des instillations répétées et / ou de façon prolongée peuvent entraîner un passage systémique non négligeable du corticoïde.
– Sportifs :
L’attention des sportifs est attirée sur le fait que cette spécialité contient un princi actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors de contrôles antidopages. - TRAITEMENT PROLONGE
En cas de traitement prolongé ou en l’absence d’amélioration rapide, une surveillance médicale régulière comportant des contrôles bactériologiques avec étude de la sensibilité du germe permet de dépister une résistance au produit et d’adapter éventuellement le traitement.
Comme pour toutes les préparations ophtalmiques contenant un corticoïde, l’usage prolongé nécessite une surveillance ophtalmologique particulièrement attentive de la cornée, de la tension oculaire et du cristallin. - CONDITIONS D’UTILISATION DU PRODUIT
Le collyre ne doit pas être employé en injection péri ou intra-oculaire. - ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
En cas de traitement concomitant par un collyre contenant un principe actif différent, instiller les collyres à quinze minutes d’intervalle. - NOURRISSON
A éviter. - PORT DE LENTILLES DE CONTACT
Le port de lentilles de contact doit être évité durant le traitement en raison du risque d’adsorption.
- HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
- KERATITE HERPETIQUE
Epithéliale dendritique. - KERATITE MYCOSIQUE
- ANTECEDENTS DE GLAUCOME
personnels ou familiaux. - ATTEINTE OCULAIRE TUBERCULEUSE
- KERATOCONJONCTIVITE
Virale au stade précoce.
Voies d’administration
Posologie & mode d’administration
Posologie Usuelle :
Une goutte dans le cul de sac conjonctival inférieur toutes les heures en début de traitement dans les affections aiguës sévères ; trois à six fois par jour dans les autres cas, pendant sept jours en moyenne.
Un traitement plus long
ou des instillations plus fréquentes peuvent être prescrits sous surveillance opthalmologique stricte.