DULCICORTINE collyre (arrêt de commercialisation)

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DULCICORTINE collyre (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 13/8/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COLLYRE EN SOLUTION

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : ALLERGAN FRANCE S.A.

    Produit(s) : DULCICORTINE

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 24/6/1964
    2. publication JO de l’AMM 1/12/1964
    3. mise sur le marché 15/1/1965
    4. validation de l’AMM 30/12/1991
    5. arrêt de commercialisation 1/12/1994

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 303371-5

    1
    flacon(s)
    3
    ml
    verre

    Evénements :

    1. inscription SS 1/1/1964
    2. arrêt de commercialisation 1/12/1994


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 48
    mois

    Conservation (préparée, reconstituée ou déconditionnée) : 15
    jour(s)

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 5.68 F

    Prix public TTC : 10.50 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Volume : 100
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. PRODUIT OPHTALMOLOGIQUE CORTICOIDE ET ANTIINFECTIEUX (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : S01C-A03.
      Antibiotique de la famille des aminosides.
      Espèces habituellement sensibles :
      Staphylocoques, Gonocoques.
      Acinétobacter, Brucella, E.coli, Hæmophilus, Klebsiella, Salomella, Serratia, Shigella, Yersinia.
      Espèces habituellement résistantes :
      Streptocoques, Pneumocoques, Pseudomonas, germes anaérobies.
      Lorsque pour une espèce donnée, la notion d’une sensibilité constante des souches n’a pas été établie, seul un antibiogramme permet de confirmer si elle est sensible, résistante ou intermédiaire.


    1. – Uvéïtes.
      – Sclérites.
      – Episclérites.
      – Conjonctivites allergiques.
      – Kératites interstitielles.

    1. EFFETS SYSTEMIQUES
      Des instillations répétées et/ou prolongée du collyre peuvent entraîner un passage systémique non négligeable du corticoïde.
    2. IRRITATION LOCALE
      Possibilité d’irritation locale transitoire : gêne, larmoiement, brûlure, hyperhémie conjonctivale.
    3. REACTION D’HYPERSENSIBILITE
      Risque.
    4. HYPERTENSION OCULAIRE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      UTILISATION PROLONGEE

      Hypertension oculaire cortico-induite.

    5. CATARACTE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      UTILISATION PROLONGEE

      Opacification du cristallin due à la présence de corticoïde.

    6. KERATITE
      Kératite superficielle du à la présence de corticoïde.
    7. RETARD DE CICATRISATION
      En cas d’ulcération cornéenne ou slcérale, les corticoïdes peuvent retarder la cicatrisation.
    8. SURINFECTION
      En cas d’ulcération cornéenne ou slcérale, les corticoïdes peuvent favoriser la surinfection.

    1. MISE EN GARDE
      Des instillations répétées et/ou prolongée du collyre peuvent entraîner un passage systémique non négligeable du corticoïde.
    2. UTILISATION PROLONGEE
      Comme pour toutes les préparations ophtalmiques contenant un corticoïde, l’usage prolongé de ce collyre nécessite :

      – une surveillance ophtalmologique particulièrement attentive de la tension oculaire, de la cornée et du cristallin.

      – une surveillance médicale régulière, notamment en l’absence d’amélioration rapide, comportant des contrôles bactériologiques avec étude de la sensibilité du germe qui permet de dépister une résistance au produit et d’adapter éventuellement le traitement.
    3. HYPERSENSIBILITE
      En cas d’hypersensibilité, arrêt du traitement.
    4. TRAITEMENT ASSOCIE
      En cas de traitement concomitant par un collyre contenant un principe actif différent, instiller les collyres à 15 minutes d’intervalle.
    5. PORT DE LENTILLES DE CONTACT
      Le port de lentille doit être évité durant le traitement en raison du risque d’adsorption de l’hydrocortisone.
    6. SPORTIFS
      L’attention des sportifs sera attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopages.

    1. KERATITE HERPETIQUE
      Kératite herpétique épithéliale dendritique.
    2. KERATITE MYCOSIQUE
    3. TUBERCULOSE OCULAIRE
    4. ANTECEDENTS DE GLAUCOME
      Personnels ou familiaux.
    5. KERATOCONJONCTIVITE
      Kératoconjonctivites virales au stade précoce.
    6. HYPERSENSIBILITE
      Hypersensibilité à l’un des composants.
    7. NOURRISSON
      L’usage du produit doit être évité chez le nourrisson.
    8. INJECTIONS INTRA-OCULAIRES
      Le collyre ne doit pas être employé en injection péri ou intra-oculaire

    Voies d’administration

    – 1 – OCULAIRE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Une goutte dans le cul-de-sac conjonctival inférieur toutes les heures en début de traitement dans les affections aiguës sévères : trois à six fois par jour dans les autres cas pendant sept jours en moyenne.
    Un traitement plus long
    peut être prescrit sous surveillance ophtalmique stricte.


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