
DICLOFENAC SODIQUE
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 6/4/2001
Etat : valid�e
Identification de la substance
Propriétés Pharmacologiques
Mécanismes d'action
Effets Recherchés
Indications thérapeutiques
Effets secondaires
Effets sur la descendance
Pharmaco-Dépendance
Précautions d'emploi
Contre-Indications
Voies d'administration
Posologie & mode d'administration
Pharmaco-Cinétique
Bibliographie
Spécialités contenant la substance
Identification de la substance
Formule Chimique :
2-[(2,6-dichloroph�nyl)amino] ph�nyl]ac�tate de sodium
Ensemble des dénominations
BANM : DICLOFENAC SODIUM
CAS : 15307-79-6
USAN : DICLOFENAC SODIUM
bordereau : 2051
code exp�rimentation : GP-45840
rINNM : DICLOFENAC SODIUM
sel ou d�riv� : DICLOFENAC DIETHYLAMMONIUM
sel ou d�riv� : DICLOFENAC EPOLAMINE
Classes Chimiques
Molécule(s) de base : DICLOFENAC
Regime : liste II
Remarque sur le regime : Exon�r� : en application sur la peau � 1%, 60 g/quantit� max. (JO 21/12/96)
- ANTIINFLAMMATOIRE (principale certaine)
- ANTIINFLAMMATOIRE NON STEROIDIEN (principale certaine)
- ANALGESIQUE (principale certaine)
- ANALGESIQUE PERIPHERIQUE (principale certaine)
- ANTIPYRETIQUE (principale certaine)
- ANTIAGREGANT PLAQUETTAIRE (secondaire certaine)
Cette propri�t� n'est pas � la base d'applications th�rapeutiques mais existe tr�s vraisemblablement chez l'homme.
- SUBSTRAT DU CYTOCHROME P450 2C9 (principale certaine)
- SUBSTRAT DU CYP 2C9 (principale certaine)
Mécanismes d'action
- principal
Les diff�rentes propri�t�s sont probablement la cons�quence de l'inhibition de la synth�se des prostaglandines au niveau de la cyclo-oxyg�nase.
Inhibition de la lipoxyg�nase avec diminution de la production des leucotri�nes par les leucocytes et les cellules synoviales, en stimulant la r�incorporation d'acide libre arachidonique en triglyc�rides:
- Am J Med 1986;80 Suppl 4B:18-23.
- Biochem Pharmacol 1989;38:3707-3711.
- ANTIINFLAMMATOIRE (principal)
- ANTALGIQUE (principal)
- ANTIPYRETIQUE (accessoire)
- RHUMATISME INFLAMMATOIRE (principale)
En particulier, traitement symptomatique de la polyarthrite rhumato�de, de la spondylarthrite ankylosante :
- Int J Clin Pharmacol 1976;13:292-297.
Traitement symptomatique des pouss�es aigu�s.
- POLYARTHRITE CHRONIQUE DE L'ENFANT (principale)
Traitement symptomatique.
- ARTHROSE (principale)
Traitement symptomatique des pouss�es aigu�s :
- Curr Ther Res Clin Exp 1983;33:793.
- ARTHRITE MICROCRISTALLINE (principale)
Traitement symptomatique de la crise de goutte.
- TENDINITE (principale)
Tendinite du membre inf�rieur. Efficacit� et tol�rance comparables � celles de l'acide niflumique (essai contr�l�) :
- Sem Hop Paris 1996;72:1017-1024.
- INFLAMMATION (principale)
Traitement symptomatique de courte dur�e des �tats inflammatoires aigus en pathologie ORL.
- DYSMENORRHEE (principale)
- COLIQUE NEPHRETIQUE (secondaire)
75 mg par voie intramusculaire aurait une activit� analg�sique sup�rieure � la p�thidine (100 mg par voie intramusculaire) :
- Br Med J 1986;292:257-258.
- COLIQUE HEPATIQUE (� confirmer)
Par voie intramusculaire, r�duirait la douleur et le risque d'�volution vers la chol�cystite aigu� en cas de lithiase v�siculaire (essai randomis� positif) :
- Gastroenterology 1997;113:225-231.
- MIGRAINE(TRAITEMENT DE LA CRISE) (� confirmer)
Disparition des sympt�mes chez 40 des 45 sujets trait�s par 75 mg en IM :
- Headache 1992;32:98-100.
- OSTEOPOROSE POST-MENOPAUSIQUE (� confirmer)
Serait aussi efficace que les estrog�nes (sel non pr�cis�) :
- Am J Med 1994;96:349-353.
- TUMEUR DESMOIDE (� confirmer)
Dans les formes non r�s�cables de l'enfant. Deux cas de r�gression apr�s traitement par l'association tamoxif�ne-diclof�nac :
- Cancer 1997;80:334-340.
- ASTHENIE (CERTAIN TRES RARE)
- POIDS(AUGMENTATION) (CERTAIN RARE)
Li� � la r�tention hydrosod�e.
- OEDEME (CERTAIN RARE)
Par r�tention hydro-sod�e.
- OLIGURIE (CERTAIN TRES RARE)
- POLLAKIURIE (CERTAIN TRES RARE)
- UREE SANGUINE(AUGMENTATION) (CERTAIN TRES RARE)
Mod�r�e.
- CREATININEMIE(AUGMENTATION) (CERTAIN TRES RARE)
- INSUFFISANCE RENALE AIGUE (CERTAIN TRES RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
SUJET AGE
DESHYDRATATION
CIRRHOSE DECOMPENSEE
SYNDROME NEPHROTIQUE
TRAITEMENT DIURETIQUE
INSUFFISANCE CARDIAQUE
NEPHROPATHIE PREEXISTANTE
LUPUS ERYTHEMATEUX DISSEMINE
Par trouble de la circulation intra-r�nale, peut-�tre d� � l'inhibition de la synth�se des prostaglandines, ou par n�phrite tubulo-interstitielle aigu� - dans ce cas, possibilit� d'association � un syndrome n�phrotique -, ou encore d'origine ind�termin�e.
Dans un cas observ�, les l�sions interstitielles comportaient une accumulation de mucine :
- Nephrol Dial Transpl 1991;6:595-598.
- NEPHROPATHIE INTERSTITIELLE AIGUE (CERTAIN TRES RARE)
Par m�canisme immuno-allergique. Souvent associ�e � un syndrome n�phrotique.
- SYNDROME NEPHROTIQUE (CERTAIN TRES RARE)
- N�phrologie 1988;9:283.
- GLOMERULONEPHRITE EXTRAMEMBRANEUSE (CERTAIN )
Un cas rapport� chez un sujet trait� pour une polyarthrite rhumato�de r�versible en un an. La ponction biopsie r�nale met en �vidence une glom�rulon�phrite extra-membraneuse :
- Neprologie 1980;1:143-144.
M�me cas d�crit dans :
- Presse Med 1980;9:387.
Un cas :
- Ann Med Nancy 1984;110:391-393.
- Sem Hop Paris 1987;63:1831-1832.
- Nephrologie 1988;9:283.
Autre r�f�rence :
- JAMA 1996;276:466-469.
- INFARCTUS RENAL (A CONFIRMER )
Un cas chez un patient ayant une lithiase r�nale:
- Nephrology Dialysis Transplantation 1997;12:2746-2749.
- ERUPTION CUTANEE (CERTAIN RARE)
A type d'�ryth�me diffus, par hypersensibilit�.
- URTICAIRE (CERTAIN RARE)
- ABCES AU POINT D'INJECTION (CERTAIN TRES RARE)
- NECROSE MUSCULAIRE (CERTAIN )
Six cas de l�sions au site d'injection apr�s intramusculaire (sel de diclofenac non pr�cis�) :
- Ann Pharmacother 1995;29:264-266.
Autre r�f�rence :
- Ann Intern Med 1992;117:1058.
- NAUSEE (CERTAIN FREQUENT)
- VOMISSEMENT (CERTAIN FREQUENT)
- DOULEUR EPIGASTRIQUE (CERTAIN FREQUENT)
Condition(s) Favorisante(s) :
ANTECEDENTS ULCEREUX
GASTRITE
HERNIE HIATALE
- RECTITE (CERTAIN TRES RARE)
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE RECTALE
Rectite �rosive ou ulc�r�e (sel de phenylbutazone non pr�cis�e) :
- Gastroenterol Clin Biol 1996;20:446-452.
- DIARRHEE (CERTAIN FREQUENT)
Condition(s) Favorisante(s) :
VOIE RECTALE
- ULCERE GASTRODUODENAL (CERTAIN TRES RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
ANTECEDENTS ULCEREUX
Risque de perforation et d'h�morragie digestive.
- GASTRITE (CERTAIN TRES RARE)
- HEMORRAGIE DIGESTIVE (CERTAIN TRES RARE)
A type d'h�mat�m�se ou de melena en rapport avec une gastrite ou un ulc�re gastroduod�nal.
Le risque d'h�morragie digestive haute serait inf�rieur � celui des autres AINS :
- Lettre du Pharmacologue 1995;9:23-29.
Quatre cas apr�s utilisation de pr�paration percutan�e (sel de diclof�nac non pr�cis�), 2 des patients avaient des ant�c�dents d'ulc�re gastroduod�nal :
- Am J Gastroenterol 1995;90:2032-2034.
- PROCTALGIE (CERTAIN RARE)
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE RECTALE
Li�es � un effet irritant local.
- TOXICITE HEPATIQUE (CERTAIN )
- J Hepatol 1990;11:281.
La toxicit� vis-�-vis des h�patocytes pourrait �tre li�e � la production de m�tabolites hydroxyl�s associ�e � une importante consommation de NADPH:
- J Pharmacol Exp Ther1999;288:65-72.
- HEPATITE CYTOLYTIQUE (CERTAIN )
Cinq cas :
- J Hepatol 1990;10:85-89.
Sept cas dont un mortel :
- JAMA 1990;264:2660-2662.
Cent quatre-vingts cas rapport�s par la FDA (sel de diclof�nac non pr�cis�) :
- Hepatology 1995;22:820-827.
- TRANSAMINASES(AUGMENTATION) (CERTAIN TRES RARE)
Mod�r�e et transitoire le plus souvent.
- PHOSPHATASES ALCALINES(AUGMENTATION) (CERTAIN TRES RARE)
- ICTERE (CERTAIN TRES RARE)
Parfois inaugural, il peut �tre pr�c�d� d'une asth�nie, de naus�es et de vomissements.
- BILIRUBINEMIE CONJUGUEE(AUGMENTATION) (CERTAIN TRES RARE)
- HEPATITE MIXTE (CERTAIN TRES RARE)
A pr�dominance cholestatique, rarement grave, elle est impr�visible. R�versible � l'arr�t du m�dicament. M�canisme discut� : probablement hypersensibilit� :
- Br Med J 1982;284:1605-1606.
- CEPHALEE (CERTAIN RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
DEBUT DE TRAITEMENT
- MENINGITE ASEPTIQUE (A CONFIRMER )
Un cas chez un patient ayant pr�sent� la m�me r�action � la suite de la prise d'autres AINS (sel de diclof�nac non pr�cis�) :
- Postgrad Med J 1999;75:771-772.
- VERTIGE (CERTAIN RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
DEBUT DE TRAITEMENT
- SOMNOLENCE (CERTAIN TRES RARE)
- EXCITATION PSYCHOMOTRICE (CERTAIN TRES RARE)
- IRRITABILITE (CERTAIN TRES RARE)
- ACOUPHENE (CERTAIN TRES RARE)
- FLOU VISUEL (CERTAIN TRES RARE)
- MYOCLONIE (CERTAIN TRES RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
SURDOSAGE
- Sem Hop Paris 1979;55:679.
- ACCIDENT VASCULAIRE CEREBRAL (A CONFIRMER )
Un cas apr�s injection intramusculaire chez un gros fumeur :
- Angiology 1995;46:1145-1147.
- REACTION D'HYPERSENSIBILITE (CERTAIN RARE)
R�actions de type variable : cutan�es, h�patiques ou g�n�rales (choc). Elles n�cessitent l'arr�t d�finitif du m�dicament.
- HEPATITE CHRONIQUE ACTIVE (A CONFIRMER )
Un cas :
- J Hepatol 1990;11:281.
Trois cas :
- Dig Dis Sci 1993;38:744-751.
- SYNDROME DE LYELL (CERTAIN )
R�f�rences :
- Arch Dermatol 1990;126:37-42.
- N Engl J Med 1995;333:1600-1607.
- ENCEPHALOPATHIE MYOCLONIQUE (A CONFIRMER )
Un cas rapport� chez un patient en insuffisance r�nale :
- Presse Med 1978;7:1406.
- NECROSE PAPILLAIRE RENALE (A CONFIRMER )
- Br Med J 1986;292:1041.
- SYNDROME DE STEVENS-JOHNSON (CERTAIN )
R�f�rences :
- Acta Derm Venereol 1981;61:439.
- N Engl J Med 1995;333:1600-1607.
- CHOC ANAPHYLACTIQUE (A CONFIRMER )
- Br Med J 1983;286:1861.
- AGRANULOCYTOSE (A CONFIRMER )
Un cas :
- DICP Ann Pharmac 1989;23:507.
- THROMBOPENIE (A CONFIRMER )
Quelques cas signal�s dont l'imputabilit� reste douteuse.
R�f�rence :
- J Rheumatol 1990;17:1403-1404.
Un cas, apr�s quatre semaine de traitement, r�versible en trois semaines � l'arr�t (sel de diclofenac non pr�cis�) :
- Am J Health-Syst Pharm 1995;52:420-421.
Un cas d�crit, un autre aurait d�j� �t� rapport� (sel de diclofenac non pr�cis�) :
- Ann Pharmacother 1995;29:713-715.
- NEUTROPENIE (A CONFIRMER )
Un cas d�crit, un autre aurait d�j� �t� rapport� (sel de diclofenac non pr�cis�) :
- Ann Pharmacother 1995;29:713-715.
- PURPURA THROMBOPENIQUE (A CONFIRMER )
Un cas :
- J Intern Med 1991;230:543-547.
- ANEMIE HEMOLYTIQUE AUTOIMMUNE (A CONFIRMER )
Un cas, avec insuffisance r�nale aigu� (sel de diclof�nac non pr�cis�) :
- Ann Pharmacother 1995;29:787.
- SYNDROME LUPIQUE (A CONFIRMER )
Un cas pr�sentant une n�crose digitale :
- Rev Med Int 1992;13,Suppl6:173.
- ANEMIE HEMOLYTIQUE (A CONFIRMER )
Un cas r�versible � l'arr�t du traitement, associ� � une thrombop�nie :
- Scand J Haematol 1986;36:118-120.
- HEPATITE FULMINANTE (A CONFIRMER )
Un cas rapport� lors d'un traitement associant diclof�nac - glaf�nine :
- Gastroenterol Clin Biol 1985;9:185.
Un cas :
- Gut 1986;27:1390.
Un cas apr�s 4 jours de traitement, trait� favorablement par perfusion d'alprostadil et par la prise orale de prednisolone:
- Digestive Diseases and Sciences 1997;42:2031-2032.
Un cas n�cessitant une greffe, d'issue favorable (sel non pr�cis�):
- Transplantation Proceedings 1998;30:192-194.
- PSORIASIS(AGGRAVATION) (A CONFIRMER )
Un cas :
- Dermatologica 1987;175:300-301.
- COLITE ULCEREUSE (A CONFIRMER )
- Gastroenterol Clin Biol 1989;13:314-315.
Deux cas :
- N Engl J Med 1990;323:135.
Ulc�re du colon sous diclof�nac :
- Arch Intern Med 1992;152:2341-2343.
Un cas d�crit avec un granulome � l'histologie (sel de diclof�nac non pr�cis�) :
- Am J Gastroenterol 1995;90:1871-1873.
Un cas chez un patient trait� depuis plusieurs ann�es (sel de diclof�nac non pr�cis�). Confusion avec un carcinome et ayant entra�n� une colectomie :
- J Clin Gastroenterol 1997;24:121-123.
- COLITE PSEUDOMEMBRANEUSE (A CONFIRMER )
Un cas :
- Lancet 1992;340:126-127.
Un cas (sel de diclof�nac non pr�cis�) :
- J Clin Gastroenterol 1998;26:228.
Un cas d�crit, un cas cit� (sel de diclof�nac non pr�cis�) :
- Gastroenterol Clin Biol 1998;22:100-101.
- SECRETION INAPPROPRIEE D'ADH (A CONFIRMER )
Un cas apr�s trois ans de traitement chez un sujet �g� :
- Br Med J 1993;306:186.
- STENOSE DU COLON (CERTAIN TRES RARE)
St�nose (diaphragme) du colon sous diclof�nac :
- Arch Intern Med 1992;152:2341-2343.
Un cas d�crit de diaphragme colique (sel de diclof�nac non pr�cis�), 11 cas rapport�s avec d'autres anti-inflammatoires non st�ro�diens :
- Am J Gastroenterol 1995;90:2035-2038.
- NATREMIE(DIMINUTION) (A CONFIRMER )
- Br Med J 1993;306:186.
- PNEUMONIE A EOSINOPHILES (A CONFIRMER )
Un cas rapport� :
- Arch Intern Med 1993;153:1649-1652.
- CYSTITE (A CONFIRMER )
Deux cas (sel de diclof�nac non pr�cis�) :
- N Z Med J 1993;106:501-503.
- SECHERESSE DE L'OEIL (A CONFIRMER )
Un cas, sel de diclofenac non pr�cis� :
- Med J Aust 1994;160:308.
- SPASME CORONARIEN (A CONFIRMER )
Un cas d�s la premi�re administration chez un sujet �g� (positif au test de provocation par l'ergom�trie)
- Clinical Cardiology 1997;20:656-658.
- FIEVRE (A CONFIRMER )
Un cas d'origine allergique chez un patient �g�. R�versible � l'arr�t et positif lors de tentatives de r�introduction :
- Allergy 2000;55:413-414.
- STERILITE (A CONFIRMER )
Quatre cas chez des femmes. R�versible � l'arr�t :
- Rheumatology 2000;39:880-882.
- NON TERATOGENE CHEZ L'ANIMAL
- INFORMATION MANQUANTE DANS L'ESPECE HUMAINE
Quelques cas de prise pendant la grossesse, n'ayant provoqu� aucune anomalie, ont �t� rapport�s au fabricant, n�anmoins, en l'absence d'�tudes contr�l�es chez la femme enceinte, l'utilisation durant la grossesse est d�conseill�e.
- DUREE DE LA GESTATION(AUGMENTATION)
Lors de l'administration du produit pendant le dernier trimestre.
- SYNDROME HEMORRAGIQUE NEONATAL
Lors de l'administration du produit pendant le dernier trimestre.
- CANAL ARTERIEL(FERMETURE)
Fermeture pr�matur�e lors de l'administration du produit pendant le dernier trimestre.
- NON
- ULCERE GASTRODUODENAL(ANTECEDENT)
- GASTRITE
- HERNIE HIATALE
- INSUFFISANCE RENALE
- INSUFFISANCE HEPATOCELLULAIRE
- CIRRHOSE
La biodisponibilit� �tant augment�e de 3 fois chez les cirrhotiques par rapport aux sujets sains et � ceux atteints d'h�patite chronique, r�duire la posologie en cons�quence :
- J Clin Pharmacol 2000;40:250-257.
- CONDUCTEUR DE VEHICULE
Possibilit� de vertiges en d�but de traitement.
- UTILISATEUR DE MACHINE
Possibilit� de vertiges en d�but de traitement.
- GROSSESSE(TROIS PREMIERS MOIS)
En l'absence d'�tudes contr�l�es chez la femme enceinte.
- ALLAITEMENT
Si la prescription pendant l'allaitement ne peut �tre �vit�e, utiliser de faibles doses, cinquante � soixante quinze milligrammes par jour, pour lesquelles le passage dans le lait est n�gligeable.
- STERILET
Risque d'inefficacit�.
- PORPHYRIE AIGUE INTERMITTENTE
Une �tude faite chez le rat montre une augmentation de l'ALA synth�tase h�patique.
- Lancet 1980;1:1367.
- APICULTEUR
Risque de majoration des r�actions d'hypersensibilit� lors de piq�res d'hym�nopt�res:
- Br Med J 1986;292:378-379. (un cas).
- ULCERE GASTRODUODENAL EVOLUTIF
- HEMORRAGIE DIGESTIVE
- HYPERSENSIBILITE A L'ASPIRINE
Il existe une allergie crois�e entre l'aspirine et les anti-inflammatoires non st�roidiens chez les sujets pr�sentant un syndrome de Frenand Widal (asthme, rhinite vasomotrice, polypes nasaux) d�clench� par l'aspirine :
- Br Med J 1977;2:231-232.
- HYPERSENSIBILITE A CETTE SUBSTANCE
- INSUFFISANCE HEPATOCELLULAIRE SEVERE
- INSUFFISANCE RENALE SEVERE
- GROSSESSE(DERNIER TRIMESTRE)
- ENFANT DE MOINS DE 15 ANS
Voies d'administration
- 1 - ORALE
- 2 - RECTALE
- 3 - INTRAMUSCULAIRE
Posologie et mode d'administration
Dose usuelle par voie orale ou rectale:
- chez l'adulte:
Soixante quinze � cent milligrammes par jour.
Dose maximale:
Cent cinquante milligrammes par jour en 3 prises (dose d'attaque en cas de pouss�e inflammatoire aig�e).
Dose usuelle par voie
intramusculaire:
A n'utiliser qu'en traitement de courte dur�e, dans les �tats inflammatoires ou les douleurs aig�es (rhumatisme en pouss�e, sciatique, crise de goutte):
Soixante quinze � cent cinquante milligrammes par 24 heures, en 2
injections.
Surveillance:
le traitement sera de pr�f�rence de courte dur�e, et la posologie sera r�duite � la dose minimale efficace d�s l'am�lioration de la symptomatologie clinique.
Dans les affections comportant un risque infectieux, l'utilisation
sera prudente en raison de la diminution induite des d�fenses naturelles de l'organisme contre l'infection.
Surveillance de la fonction r�nale chez les sujets pr�sentant une hypoperfusion r�nale et/ou une hypovol�mie.
Surveillance h�patique et
h�matologique en cas de traitement prolong�.
Pharmaco-Cinétique
- 1 -
REPARTITION
lait
- 2 -
ELIMINATION
voie r�nale
- 3 -
ELIMINATION
voie f�cale
- 4 -
DEMI VIE
11
à 12
heure(s)
Absorption
R�sorption importante et rapide au niveau de tube digestif.
Pic plasmatique atteint en 2 heures, d'environ 1,5 � 3 mg par l.
La biodisponibilit� est augment�e de 3 fois chez les cirrhotiques par rapport aux sujets sains et � ceux atteints d'h�patite
chronique :
- J Clin Pharmacol 2000;40:250-257.
Répartition
Volume de distribution de 0,12 l/kg
Liaison aux prot�ines plasmatiques: 99,7%.
Clairance: 3,7 ml/mn/kg.
Tr�s faible passage dans le lait: � la dose de 50 mg/ j, pas de passage; � la dose de 150 mg/ j, on retrouve 100 nanogrammes par ml de lait, sans
influence sur le nourrisson.
Demi-Vie
11 � 12 heures.
Métabolisme
M�tabolisme h�patique:
Glycuroconjugaison directe et hydroxylation.
M�tabolis� principalement par hydroxylation sous l'effet du CYP2C9 et accessoirement sous l'effet des CYP2C8, CYP2C19 et CYP2B6. Certains m�tabolites hydroxyl�s mineurs pourraient �tre
responsables de l'h�patotoxicit� :
- Biochem Pharmacol 1999;58:787-796.
Elimination
*Voie r�nale : environ les 2/3 de la dose administr�e per os dont �limin�s en 72 h.
*Voie f�cale : environ 1/3 de la dose administr�e per os sont �limin�s en 72 heures.
Bibliographie
- Nouv Presse Med 1978;7,1:1406.
- Am J Med 1986;80,Suppl4B.
- Drugs 1988;35:244-285. (REVUE GENERALE)
- Drug Intell Clin Pharm 1988;22:850-859. (REVUE GENERALE)*
- Drug Saf 1993;8:99-127. (INTERACTIONS)* Revue des interactions avec les AINS.
Spécialités
Pour rechercher les sp�cialit�s contenant cette substance, consultez le site www.vidal.fr
Principe actif présent en constituant unique dans les spécialités étrangères suivantes :
Retour à la page d'accueil