
DICHLORISONE ACETATE
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 27/3/2000
Etat : valid�e
Identification de la substance
Propriétés Pharmacologiques
Mécanismes d'action
Effets Recherchés
Indications thérapeutiques
Effets secondaires
Pharmaco-Dépendance
Précautions d'emploi
Contre-Indications
Voies d'administration
Posologie & mode d'administration
Pharmaco-Cinétique
Bibliographie
Identification de la substance
Formule Chimique :
9 alpha,11 b�ta-dichloro-17alpha,21-dihydroxypr�gna-1,4-di�ne-3,20-dione 21-ac�tate
Ensemble des dénominations
CAS : 79-61-8
DCIM : ACETATE DE DICHLORISONE
autre d�nomination : ACETATE DE DICHLORISONE
autre d�nomination : DICLORISONE ACETATE
bordereau : 21
rINNM : DICHLORISONE ACETATE
Classes Chimiques
Molécule(s) de base : DICHLORISONE
Regime : liste I
- ANTIINFLAMMATOIRE (principale certaine)
- ANTIINFLAMMATOIRE STEROIDIEN (principale certaine)
- IMMUNOSUPPRESSEUR (secondaire certaine)
- GLUCOCORTICOIDE (principale certaine)
- DERMOCORTICOIDE (principale certaine)
Mécanismes d'action
- principal
Antiinflammatoire mixte agissant dans l'inflammation primaire et secondaire au stade aigu de l'inflammation: stabilise la membrane lysosomiale pendant la phase catabolique prot�olytique et augmente le tonus capillaire pendant la phase r�actionnelle vasculaire exsudative.
Agit au stade du granulome pendant la phase anabolique prolif�rative de r�paration: inhibition de la prolif�ration des fibroblastes, de la synth�se des mucopolysaccharides, de la formation du collag�ne.
- secondaire
La double liaison 1-2, le chlore en 9 augmentent l'activit� antiinflammatoire.
Le chlore en 9 entraine une affinit� dermotrope, augment�e par l'est�rification en 21.
- ANTIINFLAMMATOIRE LOCAL (principal)
- ANTIALLERGIQUE LOCAL (principal)
- ANTIPRURIGINEUX LOCAL (principal)
- DERMATITE INFLAMMATOIRE (principale)
- DERMATITE ALLERGIQUE (principale)
- ECZEMA (principale)
- DYSKERATOSE (principale)
- RESISTANCE AUX INFECTIONS(DIMINUTION) (CERTAIN TRES RARE)
Effet li� aux propri�t�s glucocortico�des.
- OSTEONECROSE ASEPTIQUE (CERTAIN )
- GLAUCOME CHRONIQUE (CERTAIN RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
VOIE LOCALE
TRAITEMENT PROLONGE
En instillation oculaire et pommade ophtalmique.
Traitement prolong� d'un an environ.
Dispara�t habituellement � l'arr�t du traitement.
- NON
- INFECTION CUTANEE A PYOGENE
- GLAUCOME
En raison de l'augmentation de la pression intra-oculaire.
Terrain : sujets g�n�tiquement pr�dispos�s.
Surveillance ophtalmologique r�guli�re en cas de traitement prolong�, surtout chez les sujets �g�s:
- Lancet 1997;350:979-982.
- TUBERCULOSE CUTANEE
Voies d'administration
- 1 - APPLICATION CUTANEE
Posologie et mode d'administration
Application locale sous forme de cr�me.
En cas de traitement prolong�, surveillance ophtalomologique r�guli�re.
Pharmaco-Cinétique
- 1 -
ELIMINATION
voie r�nale
- 2 -
ELIMINATION
voie f�cale
- 3 -
ELIMINATION
voie biliaire
Répartition
Li� � 80% aux prot�ines plasmatiques.
A faible concentration, liaison avec la transcortine.
A forte concentration, liaison avec l'albumine et augmentation de la forme libre.
Métabolisme
H�patique:
R�duction sur les doubles liaisons du cycle A.
R�duction des groupes carbonyles en 3 et 20 donnant des compos�s inactifs.
R�duction de la fonction c�tonique en 11 pour donner de la prednisolone.
Elimination
Voie r�nale.
Pour les m�tabolites sulfo et glucuroconjugu�s hydrosolubles.
Voie biliaire:
Pour une faible partie.
Voie f�cale:
Pour une faible partie.
Bibliographie
- Presse Med Fr 1970;78:1205 ET 1419.
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Principe actif présent en constituant unique dans les spécialités étrangères suivantes :
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