APOMORPHINE CHLORHYDRATE

APOMORPHINE CHLORHYDRATE
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 12/10/2000
Etat : validée
- Identification de la substance
- Propriétés Pharmacologiques
- Mécanismes d’action
- Effets Recherchés
- Indications thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Voies d’administration
- Posologie & mode d’administration
- Pharmaco-Cinétique
- Spécialités contenant la substance
Identification de la substance
Formule Chimique :
DIHYDROXY-10,11 METHYL-6 TETRAHYDRO-5,6,6A,7 4H-DIBENZO(DE,G) QUINOLEINE CHLORHYDRATEEnsemble des dénominations
BANM : APOMORPHINE HYDROCHLORIDE
CAS : 41372-20-7
autre dénomination : CHLORHYDRATE D’APOMORPHINE
bordereau : 1487Classes Chimiques
Molécule(s) de base : APOMORPHINE
- ANTIPARKINSONIEN (principale certaine)
AGONISTE DOPAMINERGIQUE (D1 ET D2) - EMETIQUE (principale certaine)
Mécanismes d’action
- principal
Action centrale: stimule puis déprime la ‘Chemoreceptive Trigger Zone’
Délai d’action court: 2 à 10 minutes. - secondaire
Action sédative.
- ANTIPARKINSONIEN (principal)
- EMETIQUE (principal)
- MALADIE DE PARKINSON (principale)
Effet ON-OFF :
– Lancet 1987;1:1376-1377.
– Lancet 1988;1:403-406.
Diminue le dysfonctionnement du sphincter vésical (facilite la miction et réduit le volume résiduel) :
– Lancet 1988;2:1451-1453.
L’apomorphine pourrait être administrée par voie rectale à la dose de deux cents milligrammes. Passage à l’état ON en 30 min. environ :
– Lancet 1990;327:118.
L’administration de naloxone réduirait les effets indésirables de l’apomorphine chez les parkinsoniens sans réduire son activité sur la motricité :
– Clin Neuropharmacol 1991;14:442-449.
En administration intranasale :
– Clin Neuropharmacol 1996;19:193-201.
Utilisable par voie sublinguale à la dose de 10 mg :
– Mov Disord 1996;11:633-638.
Réduirait les doses de Levodopa nécessaires; en perfusion sous cutanée et bolus, dose journalière moyenne de 112,5 mg :
– J Neurol Neurosurg Psych 1998;65:709-716.
Autre référence :
– Acta Neurol Scand 1999;100:163-167.
Peut maintenir l’état ON pendant 3 jours après l’arrêt de la L-dopa :
– Neurology 2000;54:247-250. - SYNDROME PARKINSONIEN (principale)
Dans les syndromes parkinsoniens, administration continue sous-cutanée, en remplacement de la L-Dopa, après chirurgie :
– Lancet 1992;340:859-860.
Autre publication :
– Drugs 1993;46:284-393.
Revue générale à propos d’un cas :
– Ann Pharmacother 1995;29:282-288. - INTOXICATION PAR VOIE ORALE (principale)
Par voie sous-cutanée
Ne pas utiliser chez les sujets comateux ou semi-comateux
Ne pas utiliser en cas d’ingestion de strychnine ou autre poison convulsivant, de dépresseurs du système nerveux central (barbituriques, opiacés), de caustiques ou autres corrosifs, d’huiles volatiles.
- ANTIPARKINSONIEN (principale certaine)