FLUANXOL 4 % solution buvable
FLUANXOL 4 % solution buvable
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 25/8/1998
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Surdosage
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Forme : SOLUTION BUVABLE
Etat : commercialisé
Laboratoire : LUNDBECKProduit(s) : FLUANXOL
Evénements :
- octroi d’AMM 22/2/1974
- mise sur le marché 1/1/1976
- publication JO de l’AMM 20/2/1976
- validation de l’AMM 17/6/1987
Présentation et Conditionnement
Numéro AMM : 316555-2
1
flacon(s)
10
ml
verre jauneEvénements :
- inscription SS 14/1/1976
- agrément collectivités 12/1/1982
Lieu de délivrance : officine
Etat actuel : commercialisé
Matériel de dosage : mesurette
Conservation (dans son conditionnement) : 36
mois
A L’ABRI DE LA LUMIERERégime : liste I
Réglementation des prix :
remboursé
65 %
Prix Pharmacien HT : 32.89 F
Prix public TTC : 47.10 F
TVA : 2.10 %
Composition
Expression de la composition : EXPRIME POUR :
Volume : 100
ml- ALCOOL ETHYLIQUE A 95C excipient
- EAU PURIFIEE excipient
- NEUROLEPTIQUE (THIOXANTHENE) (principale)
Bibliographie : Classe ATC : N05A-F01.
Incisif, effet antipsychotique et antihallucinatoire, action sur l’inhibition.
-
Syndromes psychotiques aigüs ou chroniques, en particulier :
– traitement d’attaque des psychoses à dominante anxieuse, dépressive ou déficitaire
– traitement au long cours des psychoses chroniques, états d’excitation et d’agitation psycho-motrices.
- SYNDROME MALIN DES NEUROLEPTIQUES
Suspendre impérativement le traitement. - FIEVRE
Peut être l’un des éléments du syndrome malin (pâleur, hyperthermie, troubles végétatifs) ; suspendre impérativement le traitement. - SEDATION
- SOMNOLENCE
- DYSKINESIE PRECOCE
Cède à l’administration d’un antiparkinsonien anticholinergique. - TORTICOLIS SPASMODIQUE
Cède à l’administration d’un antiparkinsonien anticholinergique. - CRISE OCULOGYRE
Cède à l’administration d’un antiparkinsonien anticholinergique. - TRISMUS
Cède à l’administration d’un antiparkinsonien anticholinergique. - SYNDROME EXTRAPYRAMIDAL
Cède partiellement aux antiparkinsoniens anticholinergiques. - DYSKINESIE TARDIVE
Condition(s) Favorisante(s) :
TRAITEMENT PROLONGELes antiparkinsoniens anticholinergiques sont sans action ou peuvent provoquer une aggravation.
- HYPOTENSION ORTHOSTATIQUE
- EFFET ATROPINIQUE
- SECHERESSE DE LA BOUCHE
- CONSTIPATION
- TROUBLE DE L’ACCOMMODATION
- RETENTION D’URINE
- IMPUISSANCE
- FRIGIDITE
- AMENORRHEE
- GALACTORRHEE
- GYNECOMASTIE
- PROLACTINEMIE(AUGMENTATION)
- POIDS(AUGMENTATION)
Peut être importante.
- MISE EN GARDE
Tout traitement neuroleptique doit être suspendu au cours de la survenue d’une hyperthermie. Cette hyperthermie peut, en effet, être l’un des éléments du syndrome malin (pâleur, hyperthermie, troubles végétatifs) qui a été décrit avec les neuroleptiques. - CONDUCTEURS DE VEHICULES
- UTILISATEUR DE MACHINE
- EPILEPSIE
Surveillance (clinique et éventuellement électrique) en raison de la possibilité d’abaissement du seuil épileptogène. - AFFECTIONS CARDIOVASCULAIRES GRAVES
En raison des modifications hémodynamiques en particulier l’hypotension. - INSUFFISANCE RENALE
Risque de surdosage. - INSUFFISANCE HEPATIQUE
Risque de surdosage. - GROSSESSE
Bien qu’aucun effet tératogène n’ait été mis en évidence chez l’animal, utilisation chez la femme enceinte prudente et surveillance médicale stricte. - SUJET AGE
En raison de leur importante sensibilité (sédation et hypotension) . - MALADIE DE PARKINSON
- GLAUCOME A ANGLE FERME
- RISQUE DE RETENTION URINAIRE
Liés à des troubles urétroprostatiques.
Traitement
– Syndrome parkinsonien gravissisme, coma.
– Traitement symptomatique en milieu spécialisé.
Voies d’administration
Posologie & mode d’administration
.
.
Posologie Particulière:
– Chez l’adolescent et l’adulte : posologie strictement individuelle en fonction du tableau clinique.
. effet antipsychotique associé à un effet stimulant et désinhibiteur sans effet anxiogène : de vingt à quatre vingt
milligrammes par jour en une à deux prises
. effet antidélirant et antihallucinatoire associé a un effet sédatif : de quatre vingt à deux cents milligrammes par jour, jusqu’à quatre cents milligrammes par jour en milieu hospitalier. Mise en route du
traitement : vingt à quarante milligrammes par jour au départ puis augmentation par palier de vingt à quarante milligrammes tous les trois ou quatre jours, enfin, modulations de plus ou moins dix milligrammes pour rechercher la posologie la plus
adéquate.
– Sujets âgés, épileptiques : posologie réduite à la moitié ou au quart.
– Enfant à partir de cinq ans : posologie lentement croissante afin de tester la susceptibilité individuelle particulièrement marquée chez l’enfant.
Dose de départ
faible, ne dépassant pas deux à cinq milligrammes par jour. Augmentation progressive pour atteindre si nécessaire vingt cinq milligrammes par jour.