METARAMINOL BITARTRATE
METARAMINOL BITARTRATE
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 29/3/2000
Etat : validée
- Identification de la substance
- Propriétés Pharmacologiques
- Mécanismes d’action
- Effets Recherchés
- Indications thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Posologie & mode d’administration
- Bibliographie
Identification de la substance
Formule Chimique :
(-)-AMINO-2(HYDROXY-3 PHENYL)-1 PROPANOL DITARTRATEEnsemble des dénominations
DCIR : METARAMINOL BITARTRATE
autre dénomination : JD101
autre dénomination : METARAMINOL DITARTRATE
bordereau : 476Classes Chimiques
Molécule(s) de base : METARAMINOL
- SYMPATHOMIMETIQUE (principale certaine)
L’effet alphastimulant est prédominant. - ALPHA STIMULANT (principale certaine)
L’effet alphastimulant est prédominant. - SYMPATHOMIMETIQUE BETA (principale certaine)
L’effet alphastimulant est prédominant. - VASOCONSTRICTEUR (principale certaine)
- HYPERTENSEUR (principale certaine)
Mécanismes d’action
- principal
Vasoconstriction périphérique entrainant une augmentation de la pression artérielle, accompagnée d’une bradycardie réflexe.
Augmentation du débit cardiaque.
- SYMPATHOMIMETIQUE (principal)
- VASOCONSTRICTEUR (principal)
- HYPERTENSEUR (principal)
- COLLAPSUS CARDIOVASCULAIRE (principale)
- HYPOTENSION ARTERIELLE (principale)
- PRIAPISME (secondaire)
Un milligramme injecté dans les corps caverneux :
– Lancet 1984;2:978. - FIEVRE FAMILIALE MEDITERRANEENNE (à confirmer)
Test de provocation::
-Lancet1984,1:656-657
Utilité et innocuité contestées:
-Ann Intern Med 1989;111:259-260
-Lancet 1990;335:176
- CEPHALEE (CERTAIN RARE)
- VERTIGE (CERTAIN TRES RARE)
- TREMBLEMENT (CERTAIN TRES RARE)
- NAUSEE (CERTAIN TRES RARE)
- VOMISSEMENT (CERTAIN TRES RARE)
- PALPITATION (CERTAIN FREQUENT)
- TACHYCARDIE (CERTAIN RARE)
- ANGOR (CERTAIN )
Un cas, lors de l’utilisation par voie intraveineuse dans le diagnostic de la maladie périodique :
– Ann Intern Med 1989;111:259-260. - INSOMNIE (CERTAIN TRES RARE)
- GLAUCOME AIGU(CRISE DE) (CERTAIN )
Très fréquent chez les sujets anatomiquement prédisposés à la fermeture de l’angle iridocornéen. - NECROSE TISSULAIRE (CERTAIN TRES RARE)
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE INTRAVEINEUSENécrose locale
- TACHYCARDIE VENTRICULAIRE (A CONFIRMER )
Un cas, après injection de 10 milligrammes dans les corps caverneux pour traiter un un priapisme :
– Anaesthesia 1989;44:1016.
- SPORTIFS
Substance interdite :
– Journal Officiel du 7 Mars 2000. - INSUFFISANCE CARDIAQUE
- INSUFFISANCE CORONARIENNE
- HYPERTHYROIDIE
- DIABETE
Posologie et mode d’administration
Dose usuelle chez l’adulte:
– par voie intramusculaire ou sous-cutanée:
Deux à dix milligrammes .
– par voie intraveineuse:
Un demi milligramme à cinq milligrammes.
– en perfusion:
Solution à 0,2 pour 1000 dasn un soluté de serum physiologique ou du
glucosé isotonique.Usage hospitalier, sous surveillance clinique constante.
Pharmaco-Cinétique
Absorption
Résorbé par le tractus digestif.
Temps de latence: voie IM: 10 mn, Voie SC: 5 à 20 mn; Voie IV: 1 à 2 mn.
Duée d’action: voie IM: 1heure, Voie IV: 20 mn.
Bibliographie
– Annu Rev Pharmacol 1964;4:365.
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Principe actif présent en constituant unique dans les spécialités étrangères suivantes :
-
Attention ! Données en date de janvier 2000.
- ARAMINE (BELGIQUE)
- ARAMINE (PAYS-BAS)
- ARAMINE (ANGLETERRE)
- ARAMINE (SUISSE)
- ARAMINE (USA)
- ARAMINE INJECTABLE (FRANCE(SPECIALITES RETIREES DU MARCHE))
- PRESSONEX (USA)
- PRESSOROL (USA)
- SYMPATHOMIMETIQUE (principale certaine)