MILNACIPRAN CHLORHYDRATE
MILNACIPRAN CHLORHYDRATE
Introduction dans BIAM : 25/4/1997
Dernière mise à jour : 13/4/2001
Etat : validée
- Identification de la substance
- Propriétés Pharmacologiques
- Mécanismes d’action
- Effets Recherchés
- Indications thérapeutiques
- Effets secondaires
- Effets sur la descendance
- Pharmaco-Dépendance
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Voies d’administration
- Posologie & mode d’administration
- Pharmaco-Cinétique
- Bibliographie
- Spécialités contenant la substance
Identification de la substance
Formule Chimique :
chlorhydrate de (Z)-1-diéthylaminocarbonyl-2-aminoéthyl-1-phényl-cyclopropaneEnsemble des dénominations
CAS : 101152-94-7
DCIMr : CHLORHYDRATE DE MILNACIPRAN
autre dénomination : CHLORHYDRATE DE MILNACIPRAN
autre dénomination : MIDALCIPRAN CHLORHYDRATE
bordereau : 3067
code expérimentation : F-2207
rINNM : MILNACIPRAN HYDROCHLORIDEMolécule(s) de base : MILNACIPRAN
Regime : liste I
Remarque sur le regime : JO 14/02/2001
- PSYCHOANALEPTIQUE (principale certaine)
- ANTIDEPRESSEUR (principale certaine)
Mécanismes d’action
- principal
Inhibiteur de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline. Serait dépourvu d’affinité pour les récepteurs muscariniques, les récepteurs alpha1-adrénergiques, les récepteurs histaminergiques H1.
Ne présenterait ni d’activité sédative ni d’activité cardiotoxique.
Ne potentialiserait pas l’alcool.
- ANTIDEPRESSEUR (principal)
- DEPRESSION (principale)
Aussi efficace et mieux toléré que la fluoxétine dans les dépressions sévères:
– Int Clin Psychopharmacol 1998;13:121-128.
- VERTIGE (CERTAIN RARE)
- HYPERSUDATION (CERTAIN RARE)
- CONSTIPATION (CERTAIN RARE)
- DYSURIE (CERTAIN RARE)
- BOUFFEE DE CHALEUR (CERTAIN RARE)
- ANXIETE (CERTAIN RARE)
- SECHERESSE DE LA BOUCHE (CERTAIN RARE)
- ASTHENIE (CERTAIN RARE)
- SOMNOLENCE (CERTAIN RARE)
- POIDS(AUGMENTATION) (CERTAIN RARE)
- NAUSEE (CERTAIN RARE)
- CEPHALEE (CERTAIN RARE)
- INSOMNIE (CERTAIN RARE)
- TREMBLEMENT (CERTAIN RARE)
- HYPOTENSION ORTHOSTATIQUE (CERTAIN RARE)
- TRANSAMINASES(AUGMENTATION) (CERTAIN TRES RARE)
- PALPITATION (CERTAIN RARE)
- INSUFFISANCE RENALE
Réduire la posologie. - ADENOME PROSTATIQUE
- HYPERTENSION ARTERIELLE NON CONTROLEE
- GROSSESSE
Information manquante. - ALLAITEMENT
Information manquante. - HYPERSENSIBILITE A CETTE SUBSTANCE
- ENFANT DE MOINS DE 15 ANS
Information manquante.
Voies d’administration
Posologie et mode d’administration
Dose usuelle par voie orale :
– Adulte : cent milligrammes par jour en 2 prises matin et soir.
Réduire la posologie en cas d’insuffisance rénale.
Ne pas utiliser chez l’enfant de mois de 15 ans.
Pharmaco-Cinétique
– 1 –
REPARTITION
13
%
lien protéines plasmatiques
– 2 –
DEMI VIE
8
heure(s)
– 3 –
ELIMINATION
90
%
voie rénaleAbsorption
Pic plasmatique entre 30 min et 2 heures après une prise orale.
Biodisponibilité par voie orale supérieure à 85%, non modifiée par la prise d’aliments.
Répartition
Existence d’une relation linéaire entre la dose et les concentrations plasmatiques.
Très peu lié aux protéines plasmatiques (environ 13%).
Demi-Vie
La demi-vie est d’environ 8 heures.
Elle n’est pas modifiée en cas d’insuffisance hépatique, elle est allongée en cas d’insuffisance rénale (nécessité d’adapter la posologie).
Pas de modifications des paramètres pharmacocinétiques chez le sujet âgé.
Métabolisme
Peu métabolisé.
Formation d’un métabolite N-déalkylé inactif.
Elimination
*Voie rénale : 90% de la dose administrée sont éliminés dans les urines dont 50 à 60% sous forme inchangée et 20 à 30% sous forme glucuroconjuguée.
Bibliographie
Dossier scientifique produit IXEL 1997, PIERRE FABRE Département Système Nerveux Central (CREATION).
– Drugs 1998;56:405-427.
Spécialités
Pour rechercher les spécialités contenant cette substance, consultez le site www.vidal.fr