IMMU ORR vaccin à virus vivants atténués, lyoph et sol pr us parent (arrêt de commercialisation)
IMMU ORR vaccin à virus vivants atténués, lyoph et sol pr us parent (arrêt de commercialisation)
Introduction dans BIAM : 18/11/1994
Dernière mise à jour : 9/8/1999
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Examens Perturbés
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Forme : POUDRE ET SOLVANT POUR SOLUTION INJECTABLE
Etat : arrêt de commercialisation
Laboratoire : PASTEUR MERIEUX-MSDProduit(s) : IMMU ORR
Evénements :
- octroi d’AMM 11/8/1993
- publication JO de l’AMM 16/1/1994
- mise sur le marché 16/11/1994
- arrêt de commercialisation 1/11/1996
Présentation et Conditionnement
Numéro AMM : 336735-6
1
flacon(s) de lyophilisat
verre
1
seringue(s) de solvant
0.50
ml
verreEvénements :
- inscription SS 29/10/1994
- agrément collectivités 27/11/1994
- arrêt de commercialisation 1/11/1996
Lieu de délivrance : officine et hôpitaux
Etat actuel : arrêt de commercialisation
Conservation (dans son conditionnement) : 12
mois
CONSERVER ENTRE +2 ET +8 DEGRES C
A L’ABRI DE LA LUMIERERégime : aucune liste
Réglementation des prix :
remboursé
65 %
Composition
Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE
- VIRUS DES OREILLONS 1 dose(s) vaccinante(s)
Virus vivants attenués des oreillons (souche JERYL LYNN), préparé par culture sur oeufs embryonnés de poule. Quantité au minimum égale à 20000 DITC 50. - VACCIN ROUGEOLEUX 1 dose(s) vaccinante(s)
Virus vivants attenués de la rougeole (souche ED MONSTON 749 D), préparé sur culture primaire d’embryons de poulet. Quantité au minimum égale à 1000 DITC 50. - VACCIN RUBEOLIQUE 1 dose(s) vaccinante(s)
Virus vivants atténués de la rubéole (souche WISTAR RA 27/3M), cultivé sur cellules diploïdes humaines. Quantité au minimum à 1000 DITC 50.
- DIHYDROGENOPHOSPHATE DE SODIUM DIHYDRATE excipient
- HYDROGENOPHOSPHATE DE SODIUM DIHYDRATE excipient
- BICARBONATE DE SODIUM excipient
- MILIEU DE CULTURE excipient
- ROUGE DE PHENOL conservateur (excipient)
- ALBUMINE HUMAINE excipient
- SORBITOL excipient
- DIHYDROGENOPHOSPHATE DE POTASSIUM excipient
- HYDROGENOPHOSPHATE DE POTASSIUM excipient
- GELATINE HYDROLYSEE excipient
- SACCHAROSE excipient
- L-GLUTAMATE DE SODIUM excipient
- EAU POUR PREPARATIONS INJECTABLES excipient du solvant
- VACCIN ANTIROUGEOLEUX (principale)
Bibliographie : Classe ATC : J07B-D52.
– Vaccin à virus vivants à virus atténués contre la rougeole, les oreillons, la rubéole, contenant le vaccin à virus vivant atténué contre la rougeole constitué d’une souche plus atténuée du vaccin Enders, cultivée sur cellules d’embryon de poulet, du vaccin à virus vivant atténué contre les oreillons constitué de la souche Jeryl Lynn, cultivée sur cellules d’embryon de poulet, et du vaccin à virus vivant atténué contre la rubéole, souche Wistar RA 27/3 cultivée sur cellules humaines diploïdes.
-
– Prévention conjointe de la rougeole, des oreillons et de la rubéole, à partir de l’âge de 12 mois, chez les enfants des deux sexes.
- SENSATION DE BRULURE CUTANEE
Et/ou de piqure de brève durée au lieu d’injection. - FIEVRE
S’observant vers le cinquième jour qui suit l’injection. Elle peut être prévenue par un antipyrétique. - REACTION ALLERGIQUE CUTANEE
- TROUBLE DIGESTIF (EXCEPTIONNEL)
nausées, vomissements diarrhées. - ADENOPATHIE (RARE)
- REACTION ARTICULAIRE (RARE)
- THROMBOPENIE (RARE)
- PURPURA THROMBOPENIQUE
- PURPURA
- INFECTION AIGUE
Comme toute vaccination, il est préférable d’éviter l’injection en cas de fièvre ou d’infection aiguë.
- DEFICIT IMMUNITAIRE
Congénital ou acquis touchant l’immunité cellulaire. - ALLERGIE AUX PROTEINES DE L’OEUF
Allergie vraie aux protéines de l’oeuf (réaction anaphylactique après ingestion d’oeufs). - ALLERGIE A LA NEOMYCINE
- GROSSESSE
Aucune étude n’a été réalisée chez la femme enceinte.
La vaccination rubéolique des femmes en période post-pubertaire ne pourra être réalisée que si la femme n’est pas enceinte au moment de l’injection, ni dans les deux mois qui suivent la vaccination. - ENFANTS NES DE MERE VIH SEROPOSITIVE
Le passage obligatoire des anticorps maternel de type IgG à travers le placenta rend ininterprétable la sérologie de l’enfant jusqu’à 9-10 mois environ (la persistance des anticorps maternels a été détectée jusqu’à 14 mois). En France, il est donc nécessaire d’attendre la séronégativation de l’enfant déterminée par immunotransfert (Western Blot) avec l’apport éventuel de techniques de détection du génome viral, avant de pouvoir affirmer que l’enfant n’est pas infecté.
1 – Si l’enfant n’est pas infecté, le calendrier vaccinal peut être appliqué.
2 – Si l’enfant est infecté : l’avis d’une équipe pédiatrique spécialisée sera nécessaire.
- INTERACTION AVEC LES EXAMENS PARACLINIQUES
Une négativation transitoire des tests tuberculiniques peut s’observer après la vaccination.
Voies d’administration
Posologie & mode d’administration
Posologie Usuelle :
Se reporter au calendrier vaccinal.
La premièe injection se pratique à partir de l’âge de douze mois.
Une deuxième injection est pratiquée à l’âge de onze-treize ans.
.
Mode d’Emploi :
Injecter uniquement par voie sous-cutanée. Ne
pas injecter par voie intra-veineuse.
Injecter la totalité du volume contenu dans la seringue du vaccin reconstitué, par voie sous-cutanée, de préférence au niveau deltoïdien.