COLLUSTAN collutoire
COLLUSTAN collutoire
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 29/9/1998
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Forme : COLLUTOIRE
Etat : commercialisé
Laboratoire : OBERLINProduit(s) : COLLUSTAN
Evénements :
- octroi d’AMM 1/1/1983
- mise sur le marché 1/1/1985
Présentation et Conditionnement
Numéro AMM : 326041-1
1
flacon(s) pressurisé(s)
30
ml
Lieu de délivrance : officine
Etat actuel : commercialisé
Régime : aucune listeRéglementation des prix :
non remboursé
Prix Pharmacien HT : 19.54 F
Prix public TTC : 32.45 F
TVA : 5.50 %
Composition
Expression de la composition : EXPRIME POUR :
Volume : 100
ml- CHLORHEXIDINE GLUCONATE 0.10 g
chlorhexidine digluconate - AMYLEINE CHLORHYDRATE 0.10 g
- MENTHOL 0.05 g
- GLYCEROL excipient
- SACCHAROSE excipient
- CHLORURE DE SODIUM excipient
- HUILE ESSENTIELLE DE MENTHE SOLUTION ALCOOLIQUE excipient
- EAU PURIFIEE excipient
- AZOTE excipient
- ANTISEPTIQUE BUCCOPHARYNGE (principale)
Bibliographie : Classe ATC : R02A-A05.
Collustan exerce une activité bactériostatique et bactéricide, démontrée in vitro, sur la plupart des germes gram positif et gram négatif, aérobies et anaérobies, ainsi que sur les levures de type candida.
-
Traitement local symptomatique :
– de la douleur : au cours d’affections de l’oropharynx (amygdalite, angine, pharyngite post-amygdalectomie) : dysphagie, odynophagie
– de la douleur faisant suite à des traitements périodontaux ou stomatologiques.
Collustan, par son action antalgique, compète une éventuelle antibiothérapie générale.
- CRISE CONVULSIVE
Condition(s) Exclusive(s) :
ENFANT
NOURRISSON
FORTES DOSESEn raison de la présence de dérivés terpéniques, en tant qu’excipients.
- EXCITATION PSYCHOMOTRICE
Condition(s) Exclusive(s) :
SUJET AGE
FORTES DOSESEn raison de la présence de dérivés terpéniques, en tant qu’excipients.
- CONFUSION MENTALE
Condition(s) Exclusive(s) :
SUJET AGE
FORTES DOSESEn raison de la présence de dérivés terpéniques, en tant qu’excipients.
- MISE EN GARDE
Il a été décrit, qu’après usage abusif, les antiseptiques locaux peuvent exposer à un déséquillibre de la flore microbienne normale de l’oropharynx. De même, un usage abusif des anesthésiques locaux peut créer des incidents d’ordre général liés aux propriétés pharmacologiques de ces produits (convulsions, dépression du système cardio-vasculaire) .
Si la douleur est violente ou si elle s’accompagne de fortes fièvres, de céphalées ou de nausées et de vomissements, ou si aucune amélioration n’apparaît après 3 jours, une réévaluation du traitement s’impose.
Un traitement prolongé n’est pas justifié, il ne dépassera pas 10 jours.
– Dérivés terpéniques :
Cette spécialité contient des dérivés terpéniques, en tant qu’excipients, qui peuvent abaisser le seuil épileptogène. A doses excessives, risque d’accidents neurologiques à type de convulsions chez le nourrisson et chez l’enfant. Respecter les posologies et la durée de traitement préconisées. - ANTECEDENTS EPILEPTIQUES
Tenir compte de la présence de dérivés terpéniques, en tant qu’excipients. - ALLAITEMENT
En cas d’allaitement, il est préférable de ne pas utiliser ce médicament du fait :
– de l’absence de donnée cinétique sur le passage des dérivés terpéniques dans le lait,
– et de leur toxicité neurologique potentielle chez le nourrisson.
- HYPERSENSIBILITE AUX ANESTHESIQUES LOCAUX
- HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
Chlohexidine. - ENFANT DE MOINS DE 3 ANS
Voies d’administration
Posologie & mode d’administration
Posologie Usuelle :
– Adultes : trois à six pulvérisations par jour.
– Enfants de trois à quinze ans : trois à cinq pulvérisations par jour.