DIPROLENE 0,050% pommade

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DIPROLENE 0,050% pommade

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 13/12/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : POMMADE

    Etat : commercialis

    Laboratoire : SCHERING PLOUGH

    Produit(s) : DIPROLENE

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 28/2/1985
    2. publication JO de l’AMM 5/4/1985
    3. mise sur le march 15/3/1986

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 327582-6

    1
    tube(s)
    15
    g
    alu

    Evénements :

    1. agrment collectivits 18/2/1986
    2. inscription SS 18/2/1986


    Lieu de délivrance : officine et hpitaux

    Etat actuel : commercialis

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    rembours
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 9.42 F

    Prix public TTC : 16.20 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Par poids : 100
    g

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. DERMOCORTICOIDE D’ACTIVITE FORTE (CLASSE II) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : D07A-C01.


    1. – Lsions cortico-sensibles limites en surface, ayant rsist un corticode de la catgorie infrieure.
      – Plaques limites et rsistantes de psoriasis particulirement dans leurs localisations palmo-plantaires, de lichenifications (nvrodermites), de lupus rythemateux discoide, de lichens.
      – Cicatrices hypertrophiques.

    1. ATROPHIE CUTANEE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      USAGE PROLONGE
    2. TELANGIECTASIE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      USAGE PROLONGE

      A redouter particulirement sur le visage.

    3. VERGETURE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      USAGE PROLONGE

      A la racine des membres notamment, et survenant plus volontiers chez les adolescents.

    4. PURPURA ECCHYMOTIQUE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      USAGE PROLONGE

      Secondaire l’atrophie cutane.

    5. FRAGILITE CUTANEE
    6. DERMATITE PERIORALE
    7. ACNE ROSACEE
    8. ACNE ROSACEE(AGGRAVATION)
    9. RETARD DE CICATRISATION
      Des plaies atones, des escarres, des ulcres de jambes.
    10. EFFETS SYSTEMIQUES
      En raison de la force d’action de ce corticode, en cas d’utilisation sur de grandes surfaces ou sous-occlusion, une absorption importante du produit avec un passage dans la circulation peut se produire entranant les effets systmiques d’une corticothrapie par voie buccale ou parentrale (particulirement chez le nourrisson et l’enfant en bas ge) et notamment une freination passagre de la fonction surrnalienne (syndrome cushingoide et ralentissement de la croissance), ces accidents disparassent l’arrt du traitement, mais un arrt brutal peut tre suivi d’une insuffisance surrnale aigu.
    11. ERUPTION ACNEIFORME
      Ou pustuleuses.
    12. HYPERTRICHOSE
    13. DEPIGMENTATION DE LA PEAU
    14. DERMATITE CORTICO-INDUITE
      L’utilisation prolonge sur le visage des corticodes de classe I, II, III, expose la survenue d’une dermite cortico-induite et paradoxalement cortico-sensible, avec rebond aprs chaque arrt.
      Un sevrage progressif, particulirement difficile, est alors ncessaire.

    1. MISE EN GARDE
      – L’utilisation prolonge sur le visage des corticodes de classe I, II et III, expose la survenue d’une dermite cortico-induite et paradoxalement cortico-sensible, avec rebond aprs chaque arrt. Un sevrage progressif, particulirement difficile est alors ncessaire.

      – En raison de la force d’action de ce corticode, en cas d’utilisation sur de grandes surfaces ou sous occlusion, une absorption importante du produit avec un passage dans la circulation peut se produire entranant des effets systmiques d’une corticothrapie par voie buccale ou parenterale (particuliremement chez le nourrisson et l’enfant en bas ge : voir contre-indications), et notamment une freination passagre de la fonction surrnalienne (syndrome de cushingoide et ralentissement de la croissance) ; ces accidents disparassent l’arrt du traitement, mais un arrt brutal peut tre suivi d’une insuffisance surrnale aigu.
    2. ENFANT
      Le traitement ne peut tre qu’exceptionnel et sous stricte surveillance.
    3. PLIS
      Il faut se mfier particulirement des phnomnes d’occlusion spontans pouvant survenir dans les plis ou sous les culottes impermables.
    4. INFECTION
      En cas d’infection bactrienne ou mycosique d’une dermatose cortico-sensible, il convient soit de faire prcder l’utilisation du corticode d’un traitement spcifique soit ventuellement, et dans certains cas seulement d’utiliser une association corticode et traitement spcifique.
    5. INTOLERANCE LOCALE
      Si une intolrance locale apparat, le traitement doit tre interrompu et la cause doit en tre recherche.
    6. APPLICATION PALPEBRALE
      En cas d’application palpbrale, la dure du traitement doit tre limite. Une application prolonge expose en effet des risques de ptosis par atteinte musculaire du releveur de la paupire, de glaucome, d’effet de rebond.

    1. INFECTION BACTERIENNE PRIMITIVE
    2. INFECTION FONGIQUE PRIMITIVE
    3. INFECTION VIRALE PRIMITIVE
    4. INFECTION PARASITAIRE
    5. LESIONS ULCEREES
    6. ACNE
    7. ACNE ROSACEE
    8. HYPERSENSIBILITE
      A l’un des produits contenus dans la prparation.
    9. NOURRISSON
    10. GROSSESSE(TROIS PREMIERS MOIS)
      L’innocuit de ce mdicament au cours de la grossesse n’a pas t tablie ; l’emploi est donc dconseill au cours des trois premiers mois de la grossesse.

    Voies d’administration

    – 1 – APPLICATION CUTANEE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Les applications sont limites 2 par jour.
    .
    .
    Mode d’Emploi :
    – taler le produit sur les lsions et faire pntrer par un lger massage.
    – une augmentation du nombre d’application quotidienne risquerait d’aggraver les effets
    indsirables sans amliorer les effets thrapeutiques.
    – le traitement des grandes surfaces ncessite une surveillance du nombre de tubes utiliss.
    – l’arrt du traitement sera progressif, par une diminution de frquence des applications et/ou par
    l’utilisation d’un corticode moins fort ou moins dos.


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