PANADOL 500 mg comprimés effervescents (arrêt de commercialisation)

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PANADOL 500 mg comprimés effervescents (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 8/11/1993
Dernière mise à jour : 15/7/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Examens Perturbés
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COMPRIMES EFFERVESCENTS SECABLES

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : STERLING MIDY

    Produit(s) : PANADOL

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 25/3/1993
    2. publication JO de l’AMM 24/9/1993
    3. mise sur le marché 6/10/1993
    4. arrêt de commercialisation 1/12/1996

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 336151-4

    1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    12
    unité(s)
    papier/alu/PE
    blanc

    Evénements :

    1. arrêt de commercialisation 1/12/1996


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 48
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES
    EVITER L’HUMIDITE

    Régime : aucune liste

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANALGESIQUE-ANTIPYRETIQUE (ANILIDE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : N02B-E01.

    1. ***
      Traitement symptomatique des douleurs d’intensité légère à modérée et/ou des états fébriles.
    2. FIEVRE
    3. DOULEUR

    1. RASH (RARE)
      Quelques rares cas d’accidents allergiques se manifestent pas de simples rashs cutanés avec érythème ou urticaire et nécessitent l’arrêt du traitement.
    2. ERUPTION URTICARIENNE (RARE)
      Quelques rares cas d’accidents allergiques se manifestent pas de simples rashs cutanés avec érythème ou urticaire et nécessitent l’arrêt du traitement.
    3. THROMBOPENIE (EXCEPTIONNEL)

    1. MISE EN GARDE
      Ne jamais laisser à la portée des enfants.
    2. ENFANT
      Chez l’enfant, la posologie maximale quotidienne est de 60 mg/kg/jour.

      Cette dose ne justifie pas la prescription concomittante d’aspirine.
    3. REGIME DESODE
      En cas de régime désodé ou hyposodé, tenir compte, dans la ration journalière, de l’apport de 427 mg de sodium par comprimé.
    4. GROSSESSE
      Chez l’animal : il n’exixte pas d’étude de tératogenèse.

      Chez la femme :

      . Premier trimestre : une étude épidémiologique prospective portant sur quelques centaines de femmes n’a pas mis en évidence d’effet tératogène.

      . Aucune toxicité foetale au jour d’aujourd’hui, n’a été décrite lors de l’administration au cours des deuxième et troisième trimestres de la grossesse.

      . En conséquence, le paracétamol, dans les conditions normales d’emploi, peut être utilisé pendant la grossesse.
    5. ALLAITEMENT
      A dose thérapeutique, l’administration de ce médicament est possible pendant l’allaitement.

    1. HYPERSENSIBILITE A CE PRODUIT
    2. INSUFFISANCE HEPATOCELLULAIRE

    1. INTERACTION AVEC LES EXAMENS PARACLINIQUES
      La prise de paracétamol peut fausser le dosage de l’acide urique sanguin par la méthode à l’acide phosphotungstique, et le dosage de la glycémie par la méthode à la glucose oxydase-peroxydase.

    Traitement

    L’intoxication est à craindre chez les sujets âgés et surtout chez les jeunes enfants (surdosage thérapeutique ou intoxication accidentelle fréquente) où elle peut être mortelle.
    – Symptômes :
    Nausées, vomissements, anorexie, pâleur, douleurs abdominales
    apparaissant généralement dans les 24 premières heures.
    Le surdosage à partir de 10 g de Paracétamol et150 mg/kg de poids corporel en une seule prise chez l’enfant, provoque une cytolyse hépatique susceptible d’aboutir à une nécrose complète et
    irréversible, se traduisant par une insuffisance hépatocellulaire, une acidose métabolique, une encéphalopathie pouvant aller jusqu’au coma et à la mort. Simultanément, on observe une augmentation des transaminases hépatiques, de la
    lacticodéshydrogénase, de la bilirubine et une diminution du taux de prothrombine pouvant apparaître 12 à 48 heures après l’ingestion.
    – Conduite d’urgence :
    Transfert immédiat en milieu hospitalier.
    Avant de commencer le traitement, prélever un tube de
    sang pour faire le dosage plasmatique du paracétamol.
    Le traitement du surdosage comprend classiquement, l’administration aussi précoce que possible de l’antidote N- acétylcystéine par voie IV ou par voie orale si possible avant la dixième heure.
    Un
    traitement symptomatique sera institué.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Réservé à l’adulte et à l’enfant à partir de trente-cinq kg (soit environ douze ans).
    La posologie usuelle est de :
    – Adultes et enfants à partir de cinquante kg (soit environ quinze ans) :
    la posologie quotidienne maxiamle est de
    trois grammes par jour.
    En pratique:
    un voire deux comprimés à cinq cents mg, à renouveler en cas de besoin au bout de quatre heures, sans dépasser six comprimés à cinq cents mg par jour.
    – Enfants de trente-cinq à cinquante kg (soit environ douze à
    quinze ans) :
    la posologie quotidienne maximale est de soixante mg/kg/jour.
    En pratique :
    un comprimé à cinq cent mg, à renouveler en cas de besoin au bout de six heures sans dépasser quatre comprimés à cinq cents mg par jour.
    Les âges approximatifs en
    fonction du poids sont donnés à titre indicatif.
    .
    Mode d’Emploi :
    Les comprimés sont à avaler immédiatement après dissolution complète dans un grand verre d’eau.
    Les prises systématiques permettent d’éviter les oscillations de douleur ou de
    fièvre.
    Elles doivent être espacées :
    – de préférence de six heures, voire de quatre heures au minimum, chez l’enfant.
    – de quatre heures minimum chez l’adulte.
    En cas d’insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à dix ml/min),
    l’intervalle entre deux prises sera au minimum de huit heures.


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