AMPICILLINE PANPHARMA 0,5 g poudre injectable (Hp)

Donnez-nous votre avis

AMPICILLINE PANPHARMA 0,5 g poudre injectable (Hp)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 6/8/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : POUDRE POUR SOLUTION INJECTABLE

    Etat : commercialis

    Laboratoire : PANPHARMA

    Produit(s) : AMPICILLINE PANPHARMA

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 8/7/1985
    2. publication JO de l’AMM 16/11/1985
    3. mise sur le march 15/9/1987

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 333735-5

    25
    flacon(s)
    verre

    Evénements :

    1. agrment collectivits 19/11/1987


    Lieu de délivrance : hpitaux

    Etat actuel : commercialis

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste I

    Prix Pharmacien HT : 115 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIBIOTIQUE VOIE GENERALE (PENICILLINE SPECTRE ELARGI) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : J01C-A01.
      L’Ampicilline est un antibiotique bactricide de la famille des bta-lactamines, du groupe des pnicillines de type A.
      Spectre d’activit antibactrienne :
      – Espces habituellement sensibles :
      Plus de 90 % des souches de l’espce sont sensibles (‘S’).
      Sreptocoques A, B, C, F, G ; Sreptocoques non groupables
      S. pneumoniae pnicilline-sensibles
      E. faecalis, L. monocytogenes
      C. diphteriae, E. rhusopathiae, Eikenella
      N. meningitidis, B. pertussis
      Clostridium sp., P. acnes
      Peptostreptococcus, Actinomyces
      Leptospires, Borrelia, Treponema
      – Espces rsistantes :
      Au moins 50 % des souches de l’espce sont rsistantes (‘R’).
      Staphylocoques, B. catarrhalis
      Klebsiella
      Enterobacter, Serratia, C. diversus, C. freundii
      P. rettgeri, M. morganii, P. vulgaris, Providencia, Y. enterocolitica
      Pseudomonas sp., Acinetobacter sp., Xanthomonas sp.,
      Flavobacterium sp., Alcaligenes sp.
      Nocardia sp., Campylobacter sp.
      Mycoplasmes, Chlamydiae
      Rickettsies, Legionella, Mycobactries
      B. fragilis.
      – Espces inconstamment sensibles.
      Le pourcentage de rsistance acquise est variable. La sensibilit est donc imprvisible en l’absence d’antibiogramme.
      E. faecium, S. pneumoniae peni I ou R
      E. coli, P. mirabilis, Salmonella, Shigella, V. cholerae
      H. influenzae, N. gonorrhoeae
      Fusobacterium, Prevotella.
      En France, en 1995, 30 40 % des pneumocoques sont de sensibilit diminue la pnicilline (CMI > 0.12 mcg/ml). Cette diminution de l’activit intresse toutes les bta-lactamines dans des proportions variables, et devra notamment tre prise en compte pour le traitement des mningites en raison de leur gravit et des otites aigus moyennes o l’incidence des souches de sensibilit diminue peut dpasser 50 %.
      Certaines espces bactriennes ne figurent pas dans le spectre en l’absence d’indication clinique.


    1. Elles procdent de l’activit antibactrienne et des caractristiques pharmacocineiques de l’ampicilline. Elles tiennent compte la fois des tudes cliniques auxquelles a donn lieu le mdicament et de sa place dans l’ventail des produits antibactriens actuellement disponibles. Elles sont limites aux infections dues aux germes dfinis ci-dessus comme sensibles, notamment dans leurs manifestations :
      – respiratoires,
      – o.r.l. et stomatologique,
      – rnales et uro-gnitales,
      – gyncologiques,
      – digestives et biliaires,
      – mninges,
      – septicmiques et endocardiques.

    1. REACTION ALLERGIQUE
    2. URTICAIRE
    3. EOSINOPHILIE
    4. CHOC ANAPHYLACTIQUE (EXCEPTIONNEL)
    5. OEDEME ANGIONEUROTIQUE
    6. GENE RESPIRATOIRE
    7. ERUPTION CUTANEE
      Maculopapuleuses, d’origine allergique ou non.
    8. TROUBLE DIGESTIF
    9. DIARRHEE
    10. NAUSEE
    11. VOMISSEMENT
    12. CANDIDOSE
    13. TRANSAMINASES(AUGMENTATION)
      Augmentation modre et transitoire.
    14. ANEMIE
      Rversible.
    15. LEUCOPENIE
      Rversible.
    16. THROMBOPENIE
      Rversible.
    17. NEPHROPATHIE INTERSTITIELLE AIGUE
    18. ENTEROCOLITE PSEUDOMEMBRANEUSE
    19. ENCEPHALOPATHIE METABOLIQUE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      FORTES DOSES
      INSUFFISANCE RENALE
    20. TROUBLE DE LA CONSCIENCE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      FORTES DOSES
      INSUFFISANCE RENALE
    21. MOUVEMENT ANORMAL
      Condition(s) Exclusive(s) :
      FORTES DOSES
      INSUFFISANCE RENALE
    22. CRISE CONVULSIVE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      FORTES DOSES
      INSUFFISANCE RENALE

    1. MISE EN GARDE
      – La survenue de toute manifestation allergique impose l’arrt du traitement.

      – Des ractions d’hypersensibilit (anaphylaxie) svres et parfois fatales ont t exceptionnellement observes chez des malades traits par les pnicillines a.

      Leur administration ncessite donc un interrogatoire pralable.

      devant des antcdents d’allergie typique ces produits, la contre-indication est formelle.

      – Tenir compte du risque d’allergie croise avec les antibiotiques de la famille des cphalosporines
    2. INSUFFISANCE RENALE
      Adapter la posologie en fonction de la clairance la cratinine ou de la cratininmie.
    3. GROSSESSE
      Tenir compte du passage placentaire.
    4. ALLAITEMENT
      Tenir compte du passage dans le lait maternel.
    5. ASSOCIATION A L’ALLOPURINOL
      Risque accru de phnomnes cutans.

    1. HYPERSENSIBILITE AUX PENICILLINES
    2. MONONUCLEOSE INFECTIEUSE
      Risque accru de phnomnes cutans.

    Voies d’administration

    – 1 – INTRAVEINEUSE

    – 2 – INTRAVEINEUSE(EN PERFUSION)

    – 3 – INTRAMUSCULAIRE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – Adulte :
    voie intra-musculaire : deux grammes par jour, voieintra-veineuse : deux grammes douze grammes par jour.
    – Enfant et nourrisson :
    voie intra-musculaire : cinquante milligrammes par kilo par jour, voie intra -veineuse :
    cent milligrammes trois cents milligrammes par kilo par jour.
    – Nouveau-n :
    voie intra-veineuse : cent trois cents milligrammes par kilo par jour.
    .
    Posologie Particulire :
    chez l’insuffisant rnal :
    – pour une clairance de la ceatinine comprise
    entre trente et soixante millilitres par minute :
    deux quatre grammes par jour – posologie maximale quatre grammes par jour en deux injections.
    – Pour une clairance de la cratinine comprise entre dix et trente millilitres par minute :
    un gramme puis
    cinq cents milligrammes toutes les douze heures.
    – Pour une clairance de la cratinine infrieure dix millilitres par minute :
    un gramme puis cinq cents milligrammes toutes les vingt quatre heures.
    Dans les infections svres, cette posologie peut
    tre insuffisante.
    Il est conseill de procder un contrle des taux sriques (et ventuellement mninges) du principe actif.
    .
    .
    Mode d’Emploi :
    Injection intramusculaire profonde perfusion intra-veineuse lente ou injection directe dans la tubulure.
    Ne pas utiliser par voie intra-veineuse le solvant destin la voie intra-musculaire.


    Retour à la page d’accueil

Similar Posts