INTERCRON solution buvable

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INTERCRON solution buvable

Introduction dans BIAM : 6/9/1995
Dernière mise à jour : 12/12/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : SOLUTION BUVABLE

    unidose

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : LAPHAL

    Produit(s) : INTERCRON

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 11/3/1985
    2. publication JO de l’AMM 2/6/1985
    3. mise sur le marché 4/9/1995

    Présentation et Conditionnement

    Conditionnement 1

    Numéro AMM : 327570-8

    30
    ampoule(s)
    5
    ml
    verre

    Evénements :

    1. inscription SS 14/4/1995
    2. agrément collectivités 5/5/1995


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Matériel de dosage : unidose

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste II

    Réglementation des prix :
    remboursé
    35 %

    Prix Pharmacien HT : 68.92 F

    Prix public TTC : 88.10 F

    TVA : 2.10 %

    Conditionnement 2

    Numéro AMM : 327571-4

    100
    ampoule(s)
    5
    ml
    verre

    Evénements :

    1. agrément collectivités 5/5/1995


    Lieu de délivrance : hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Matériel de dosage : unidose

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste II

    Composition

    Expression de la composition : par unité de prise, soit pour :

    Volume : 5
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIINFLAMMATOIRE INTESTINAL (ANTIALLERGIQUE NON CORTIC.) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : A07E-B01.
      Le cromoglycate de sodium exerce une action locale directe au niveau des muqueuses (bronchique, pituitaire, conjonctivale, digestive). Il prévient la libération des médiateurs chimiques de l’anaphylaxie par stabilisation de la membrane du mastocyte au niveau de laquelle il inhibe la pénétration intra-cellulaire de Ca++, cet ion étant indispensable à la dégranulation mastocytaire. Cette propriété représente un modèle d’effet anti-allergique
      (allergie réaginique en particulier) et explique directement l’effet protecteur vis à vis d’une provocation allergénique. Le cromoglycate de sodium limite l’absorption anormale d’allergènes (et/ou d’immuns complexes) par la muqueuse digestive présentant une inflammation locale due à la libération des médiateurs mastocytaires.
      Le cromoglycate de sodium n’a pas d’effet compétitif au niveau des récepteurs périphériques.
      Sa toxicité générale est pratiquement nulle et il ne développe par ailleurs aucune altération du foetus ou de l’embryon dans les conditions expérimentales quelles que soient les doses, l’espèce ou les voies d’administration, y compris intraveineuse.

    1. ***
      Manifestations digestives et extra-digestives de l’allergie alimentaire :
      – Lorsque l’allergène ne peut pas être évité avec certitude,
      – Lorsque les troubles persistent malgre l’éviction d’un allergène reconnu (polysensibilisation fréquente).
    2. ALLERGIE ALIMENTAIRE

    1. COMMENTAIRE GENERAL
      L’exacerbation des symptômes a été rapportée dans quelques cas. Elle semble liée à une posologie de départ trop élevée.
    2. NAUSEE (RARE)
    3. DOULEUR ARTICULAIRE (RARE)
    4. ERUPTION CUTANEE (RARE)
    5. DIARRHEE (RARE)

    1. MISE EN GARDE
      La responsabilité d’un antigène apporté par l’alimentation doit être étayée par une enquête soigneuse. Les tests allergologiques ont valeur d’orientation : la meilleure preuve étant apportée par l’éviction-réintroduction des constituants suspectés (aliments modifiés ou non par la cuisson, conservateurs, colorants).
    2. PRECAUTION GENERALE
      – Toute réintroduction de l’allergène ne peut être envisagée que sous contrôle médical strict.

      – Les ampoules de Intercron sont destinées à la voie orale et ne doivent en aucun cas être injectés.
    3. GROSSESSE
      Bien qu’aucun effet embryotoxique ou tératogène n’ait été signalé lors des expérimentations animales, il est déconseillé d’employer Intercron durant les trois premiers mois de la gestation.

    Traitement

    L’ingestion de doses massives de Intercron n’entraîne pas de risque particulier en raison du caractère quasi atoxique du cromoglycate de sodium et de sa très faible absorption par voie digestive.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – La posologie varie considérablement d’un sujet à l’autre et doit être adaptée individuellement.
    – Chez l’enfant et chez l’adulte :
    Le traitement sera débuté à faible dose (cent milligrammes par jour) ; celle-ci sera augmentée
    progressivement en fonction de la réponse clinique (en général trois cents à six cents milligrammes par jour) sans dépasser quarante milligrammes par kilo et par jour.
    .
    Mode d’Emploi :
    – Les prises seront réparties dans la journée (15 a 30 minutes
    avant les repas).
    – Des tentatives de réduction de dose ou d’arrêt de traitement seront effectuées périodiquement si aucun trouble ne survient à la réintroduction prudente des aliments responsables.
    – Le contenu des ampoules peut être absorbé pur ou
    dilué dans l’eau.
    – Les ampoules de Intercron sont destinées à la voie orale et ne doivent en aucun cas être injectées.
    – Conserver la solution dans la bouche environ une minute avant de l’avaler.


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