AZOPT 10 mg/ml collyre en suspension

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AZOPT 10 mg/ml collyre en suspension

Introduction dans BIAM : 11/9/2000
Dernière mise à jour : 30/11/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    No AMM européenne – EU/1/00/129/01


    Forme : COLLYRE EN SUSPENSION

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : ALCON

    Produit(s) : AZOPT

    Evénements :

    1. publication JO de l’AMM 1/1/2000
    2. octroi d’AMM 10/3/2000
    3. mise sur le marché 9/9/2000

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 354349-7

    1
    flacon(s) compte-gouttes
    5
    ml
    PEBD

    Evénements :

    1. agrément collectivités 23/6/2000
    2. inscription SS 23/6/2000


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    Conservation (préparée, reconstituée ou déconditionnée) : 4
    semaine(s)

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 73.72 F

    Prix public TTC : 96.60 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Volume : 1
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. MYOTIQUE-ANTIGLAUCOMATEUX (INHI. ANHYDRASE CARBONIQUE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : S01E-C04.
      Anti-glaucomateux par voie locale
      Inhibiteur de l’anhydrase carbonique.
      L’anhydrase carbonique (AC) est un enzyme retrouvé dans de nombreux tissus de l’organisme y compris dans l’oeil. L’anhydrase carbonique catalyse la réaction réversible d’hydratation du dioxyde de carbone et de déshydratation de l’acide carbonique. L’inhibition de l’anhydrase carbonique dans les procès ciliaires de l’oeil diminue la sécrétion d’humeur aqueuse, probablement en ralentissant la formation d’ions bicarbonates, ce qui conduit à une réduction du transport de sodium et d’eau. Le résultat est une diminution de la pression intraoculaire (PIO) qui est un facteur de risque majeur dans la pathogénie des altérations du nerf optique et de la perte du champ visuel d’origine glaucomateuse.
      Le brinzolamide, inhibiteur de l’anhydrase carbonique II (AC-II), l’iso-enzyme prédominant de l’oeil avec un CI in vitro de 3.2 nM et un Ki de 0.13 nM vis-à-vis de l’AC-II.
      * Propriétés pharmacocinétiques :
      Après instillation oculaire, le brinzolamide est absorbé dans la circulation générale. En raison de sa forte affinité pour l’AC-II, le brinzolamide se distribue de façon importante dans les globules rouges et possède une demi-vie prolongée dans le sang total (moyenne d’environ 24 semaines). Chez l’homme, il se forme le métabolite N-déséthyl brinzolamide, qui se lie également à l’anhydrase carbonique et s’accumule dans les globules rouges. Ce métabolite se lie principalement à l’AC-I en présence de brinzolamide. Dans le plasma, les concentrations de brinzolamide et de N-déséthyl brinzolamide sont faibles et généralement inférieures au seuil de quantification de la méthode de dosage (< à 7.5 ng/ml).
      La liaison aux protéines plasmatiques est peu importante (environ 60%). Le brinzolamide est principalement éliminé par excrétion rénale (environ 60%). Environ 20% de la dose a été retrouvé dans les urines sous forme de métabolite. Le brinzolamide et le N-déséthyl brinzolamide sont les principaux composants retrouvés dans les urines avec des traces des métabolites N-desméthoxypropyl et O-desméthyl.
      Dans une étude pharmacocinétique par administration orale, des volontaires sains ont reçu des gélules de brinzolamide à 1 mg, deux fois par jour, pendant une durée atteignant 32 semaines et l’activité de l’anhydrase carbonique a été déterminé dans les globules rouges afin d’évaluer le degré d’inhibition systémique de l’anhydrase carbonique.
      La saturation par le brinzolamide de l’AC-II érythrocytaire a été obtenue en 4 semaines (concentrations intra-érythrocytaires d’environ 20 micromoles). Le N-déséthyl brinzolamide s’accumulait dans les globules rouges pour atteindre un état d’équilibre en 20-28 semaines, jusqu’à des concentrations de 6 à 30 micromoles. A l’état d’équilibre, l’inhibition de l’activité de l’AC érythrocytaire totale était d’environ 70-75%.
      Des sujets atteints d’insuffisance rénale modérée (clairance de la créatinine de 30 à 60 ml/min) ont reçu 1 mg de brinzolamide par voie orale deux fois par jour pendant une durée atteignant 54 semaines.
      Les concentrations érythrocytaires de brinzolamide étaient comprises entre 20 et 40 micromole à la quatrième semaine de traitement. A l’état d’équilibre, les concentrations érythrocytaires de brinzolamide et de son métabolite étaient respectivement comprises entre 22 et 46.1 micromoles et 17.1 et 88.6 micromoles.
      Les concentrations érythrocytaires en N-déséthyl brinzolamide étaient augmentées et l’activité de l’AC érythrocytaire totale était diminuée lorsque la clairance de la créatinine diminuait mais les concentrations érythrocytaires de brinzolamide et l’activité de l’AC-II restaient inchangées. Chez les sujets présentant l’insuffisance rénale la plus sévère, l’inhibition de l’activité de l’anhydrase carbonique totale était plus importante bien qu’inférieure à 90% à l’état d’équilibre.
      Dans un étude utiilisant la voie oculaire, à l’état d’équilibre, les concentrations érythrocytaires de brinzolamide étaient similaires à celles observées dans l’étude par voie orale, mais les concentrations du N-déséthyl brinzolamide étaient plus faibles. L’activité de l’anhydrase carbonique étaient environ à 40 à 70% de sa valeur avant traitement.
      * Données de sécurité précliniques :
      Chez le lapin, l’administration par voie locale de brinzolamide à des concentrations de 1%, 2% et 4%, quatre fois par jour pendant un à six mois, a conduit à des faibles augmentations, statistiquement significatives, de l’épaisseur cornéenne. Ces changements n’ont pas été observés dans d’autres espèces. L’administration chronique du brinzolamide à des rats, à une dose de 8 mg/kg/jour (jusqu’à 250 fois la dose ophtalmique recommandée chez l’homme) a conduit à des changements qui sont en relation avec la pharmacologie de l’inhibition de l’anhydrase carbonique (c.à.d. modification du volume et des électrolytes urinaires, légères différence des électrolytes du sérum).
      Une augmentation statistiquement significative des tumeurs de la vessie a été observée chez la souris femelle avec le brinzolamide administré par voie orale à la dose de 10 mg/kg/jour (250 fois la dose ophtalmique recommandée chez l’homme) pendant 24 mois. Des modifications prolifératives, doses dépendantes, de la vessie, ont été observées chez les souris femelles aux doses de 1, 3 et 10 mg/kg/jour et chez les mâles aux doses de 3 et 10 mg/kg/jour. L’incidence élevée de tumeurs de la vessie, qui est statistiquement significative, était principalement due à une incidence augmentée de tueurs considérée comme spécifique de la souris.
      Des études de toxicité chez le lapin recevant des doses de brinzolamide allant jusqu’à 6 mg/kg/jour (125 fois la dose ophtalmique recommandée chez l’homme) ont révélé qu’il n’y avait pas d’effet sur le développement foetal malgré une toxicité maternelle significative. Des études similaires chez le rat ont conduit à des légères réductions de l’ossification du crâne et des barres sternales des foetus des mères recevant du brinzolamide aux doses de 18 mg/kg/jour (375 fois la dose ophtalmique recommandée chez l’homme) et non de 6 mg/kg/jour. Ces résultats sont appus à des doses entraînant des acidoses métaboliques avec diminution du gain de poids corporel des mères et diminution des poids foetaux. Chez les petits de mères recevant du brinzolamide par voie orale, des diminutions dose dpendantes des poids foetaux ont été observées, variant de la légère diminution (environ 5-6%) à la dose de 2 mg/kg/jour à près de 14% à la dose de 18 mg/kg/jour.

    1. ***
      AZOPT est indiqué pour diminuer la pression intra-oculaire élevée en cas :
      – d’hypertension intra-oculaire
      – de glaucome à angle ouvert
      en monothérapie chez les patients ne répondant pas aux bêta-bloquants ou chez les patients pour qui les bêta-bloquants sont contre-indiqués, ou en association avec les bêta-bloquants.
    2. HYPERTENSION OCULAIRE
    3. GLAUCOME CHRONIQUE

    1. TROUBLE DE LA VISION (FREQUENT)
      L’effet indésirable local le plus fréquemment rapporté au cours des essais cliniques avec Azopt (incluant plus de 1500 patients traités en monothérapie ou en association avec le maléate de timolol à 0.5%) est le trouble de la vision avec fatigue oculaire et vision anormale, survenant de façon transitoire lors de l’instillation durant quelques secondes à quelques minutes chez 4.8% de patients.
    2. GENE OCULAIRE (FREQUENT)
      Sensation de corps étranger.
    3. SENSATION DE BRULURE OCULAIRE (FREQUENT)
      Lors de l’instillation.
    4. PICOTEMENT OCULAIRE
      Lors de l’instillation.
    5. HYPERHEMIE CONJONCTIVALE
    6. SECHERESSE DE L’OEIL (RARE)
    7. DOULEUR OCULAIRE (RARE)
      Sécrétion et prurit oculaire.
    8. KERATITE (RARE)
      Et kératopathie.
      Lors d’études associant Azopt au timolol, une érosion cornéenne est apparu.
    9. BLEPHARITE (RARE)
      Croûtes sur le bords de paupières.
    10. CONJONCTIVITE (RARE)
      Et follicules conjonctivaux.
    11. CILS COLLES (RARE)
    12. LARMOIEMENT
    13. EFFETS SYSTEMIQUES
      Azopt est un sulfonamide inhibiteur de l’anhydrase carbonique qui peut être absorbé par voie systémique. D’autres effets indésirables liés à cette classe de médicaments sont possibles bien qu’il n’ait pas été observés au cours des essais cliniques.
      Des effets gastro-intestinaux, sur le système nerveux central (type dépression ou vertiges), hématologique, rénaux , métaboliques et respiratoires (type : rhinite, dyspnée pharyngite, bronchite, épistaxis et hémoptysie) sont généralement associés aux inhibiteurs de l’anhydrase carbonique par voie systémique. Les effets indésirables des inhibiteurs de l’anhydrase carbonique par voie orale peuvent être observés avec la voie locale.
    14. DYSGUEUSIE (FREQUENT)
      L’effet indésirable systémique le plus fréquemment rapporté au cours des essais cliniques avec Azopt (incluant plus de 1500 patients traités en monothérapie ou en association avec le maléate de timolol à 0.5%) a été le changement du goût (goût amer ou inhabituel dans la bouche après installation) (5.3%). Il est probablement dû au passage du collyre dans le nasopharynx par le canal nasolacrymal. L’occlusion nasolacrymal ou la fermeture douce des paupières après l’instillation peut aider à réduire l’incidence de cet effet.
    15. DOULEUR THORACIQUE (RARE)
    16. ALOPECIE (RARE)
    17. SECHERESSE DE LA BOUCHE (RARE)
    18. NAUSEE
    19. DYSPEPSIE (RARE)
    20. DERMATITE (RARE)
      Réaction d’hypersensibilité.
    21. CEPHALEE (FREQUENT)
    22. PARESTHESIE (RARE)
      Caractérisé par un engourdissement et un picotement des extrémités.

    1. REACTIONS DE SENSIBILISATION
      Azopt est un sulfonamide, qui même administré localement, est absorbé par voie générale. Par conséquent, les effets indésirables des sulfonamides peuvent être observés avec la voie locale. Si des signes de réactions graves ou d’hypersensibilité apparaissent, le traitement doit être arrêté.
    2. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      – Chez des patients recevant un inhibiteur de l’anhydrase carbonique par voie orale et Azopt, il y a une possibilité d’addition des effets systémiques inhérents à l’inhibition de l’anhydrase carbonique.
      L’administration simultanée d’Azopt et des inhibiteurs de l’anhydrase carbonique par voie orale n’a pas été étudiée et n’est pas recommandée.
      – En association, Azopt a été évalué principalement avec le timolol. Par conséquent, il y a peu de données relatives à l’administration du brinzolamide avec d’autres antiglaucomateux.
    3. INDICATION LIMITEE
      – L’expérience du traitement par Azopt chez des patients présentant un glaucome pseudoexfoliatif ou glaucome pigmentaire est limitée.
      – Azopt n’a pas été évalué chez les patients présentant un glaucome à angle étroit.
    4. PORT DE LENTILLES DE CONTACT
      – Le rôle éventuel du brinzolamide sur la fonction endothéliale cornéenne n’a pas été étudié chez les patients présentant une cornée fragilisée (notamment chez les pateints ayant un faible nombre de cellules endothéliales). En particulier, les patients porteurs de lentilles de contact n’ont pas été étudiés et une surveillance attentive est recommandée chez les patients sous brinzolamide étant donné que les inhibiteurs de l’anhydrase carbonique peuvent affecter l’hydratation cornéenne et que le port de lentilles de contact peut augmenter le risque pour la cornée. De même, une surveillance attentive est recommandée dans les autres cas de cornées fragilisées.
      – Azopt n’a pas été étudié chez les patients portant des lentilles de contact. Azopt contient un conservateur, le chlorure de benzalkonium, qui peut être absorbé sur les lentilles de contact souples.
      Par conséquent, les patients doivent attendre 15 minutes après l’instillation d’Azopt avant de poser de lentilles de contact. Azopt ne doit pas être administré lors du port de lentilles de contact.
    5. DIABETE SUCRE
      Une surveillance attentive est recommandée chez les patients présentant un diabète sucré.
    6. TRAITEMENT PROLONGE
      Des kératites ponctuées et/ou kératopathies ulcératives toxiques ont été rapportées avec le chlorure de benzalkonium qui est couramment utilisé comme conservateur dans les produits ophtalmiques. Azopt contenant du chlorure de benzalkonium, une surveillance étroite est nécessaire lors d’utilisation fréquente ou prolongée chez les patients ayant les yeux secs ou quand la cornée est fragilisée.
    7. EFFET REBOND
      Les effets rebonds potentiels à l’arrêt du traitement avec Azopt n’ont pas été étudiés ; l’abaissement de la PIO est supposé durer 5 à 7 jours.
    8. SUJET AGE
      Chez les sujes âgés, les inhibiteurs de l’anhydrase carbonique par voie orale peuvent affaiblir l’aptitude aux tâches nécessitant une vigilance mentale et/ou une coordination physique. Azopt présentant une absorption systémique, ceci peut se produire après une administration topique.
    9. GROSSESSE
      Aucune étude n’a été réalisée chez la femme enceinte. Des études chez l’animal ont démontré une toxicité sur la fonction reproductrice. Le risque potentiel chez l’homme n’est pas connu. Azopt ne doit pas être utilisé au cours de la grossesse sauf en cas de nécessité évidente.
    10. ALLAITEMENT
      Il n’y a pas de données concernant l’excrétion du brinzolamide dans le lait humain, cependant, chez le rat cette substance est excrétée dans le lait. Il est fortement recommandé d’éviter d’utiliser Azopt pendant l’allaitement.
    11. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      Une vision floue provisoire ou d’autres troubles visuels peuvent diminuer l’aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines. En cas de trouble de la vision survenant lors de l’instillation, le patient doit attendre que sa vision redevienne normale avant de conduire un véhicule ou d’utiliser une machine.
    12. SPORTIFS

    1. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
      – Hypersensibilité au brinzolamide ou à l’un des excipients.
      – Hypersensibilité connue aux sulfonamides.
    2. INSUFFISANCE RENALE SEVERE
    3. ACIDOSE RENALE HYPERCHLOREMIQUE

    Traitement

    Aucun surdosage n’a été rapporté
    Le traitement devra être symptomatique et général. Un déséquilibre hydro-électrique, le développement d’un état d’acidose et d’éventuels effets sur le système nerveux peuvent survenir.
    L’ionogramme (en particulier le
    potassium) et le pH sanguin doivent être surveillés.

    Voies d’administration

    – 1 – OCULAIRE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    – En monothérapie ou en association, la posologie est d’une goutte d’Azopt dans le cul de sac conjonctival de l’oeil ou des yeux atteint(s), deux fois par jour. Certains patients peuvent avoir une meilleure réponse avec une goutte
    trois fois par jour.
    – Une occlusion nasolacrymale ou une fermeture douce des pazupières après l’instillation est recommandée. Ceci peut réduire l’absorption systémique des traitements administrés par voie oculaire et conduire à des effets secondaires
    systémiques.
    – En cas de remplacement d’un autre traitement antiglaucomateux ophtalmique par Azopt : interrompre l’autre médicament et commencer Azopt le jour suivant.
    – En cas d’utilisation concomitante de plusieurs collyres, les instillations doivent
    être espacées d’au moins 5 minutes.
    .
    Posologies particulières :
    – Utilisation chez les sujets âgés :
    Aucune adaptation de la posologie n’est nécessaire chez les sujets âgés.
    – Utilisation chez les enfants :
    L’efficacité et la tolérance d’Azopt chez les
    patients de moins 18 ans n’ont pas été établies et son utilisation n’est pas recommandée chez ces patients.
    – Utilisation chez les insuffisants hépatiques et rénaux :
    * Azopt n’a pas été étudié chez les insuffisants hépatiques et par conséquent n’est
    pas recommandé chez ces patients.
    * Azopt n’a pas été étudié chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 30 ml/min) ou chez les patients présentant une acidose hyperchlorémique. Etant donné que le
    brinzolamide et son principal métabolite sont excrétés majoritairement par le rein, Azopt est contre-indiqué chez ces patients.

    Mode d’emploi :
    – Bien agiter avant emploi.
    – Pour éviter la contamination de l’embout compte-gouttes et de la suspension,
    il faut faire attention à ne pas toucher les paupières, les surface voisines ou d’autres surfaces avec l’embout compte-gouttes du flacon. Conserver le flacon bien fermé quand il n’est pas utilisé.


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