ERYCOCCI 250 mg granul pour suspension buvable

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ERYCOCCI 250 mg granul pour suspension buvable

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 24/4/2001

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Examens Perturbés
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    No de Dossier d’AMM – NL 15014


    Forme : GRANULE POUR SUSPENSION BUVABLE

    unidose

    Etat : commercialis

    Laboratoire : ELAIAPHARM

    Produit(s) : ERYCOCCI

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 22/6/1988
    2. publication JO de l’AMM 4/10/1988
    3. mise sur le march 15/9/1989
    4. rectificatif d’AMM 11/9/2000

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 331491-1

    12
    sachet(s)
    2
    g
    papier/alu/PE

    Evénements :

    1. inscription liste sub. vnneuses 18/7/1983
    2. inscription SS 21/6/1989
    3. agrment collectivits 28/10/1989


    Lieu de délivrance : officine et hpitaux

    Etat actuel : commercialis

    Matériel de dosage : unidose

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    rembours
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 10.42 F

    Prix public TTC : 17.80 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIBIOTIQUE VOIE GENERALE (MACROLIDE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : J01F-A01.
      L’rythromycine agit en inhibant la synthse des protines bactriennes en se liant la partie 50 S du ribosome et en empchant la translocation peptidique.
      Les concentrations critiques sparent les souches sensibles des souches de sensibilit intermdiaire et ces dernires, des rsistantes :
      S infrieure ou gale 1 mg/l et R suprieure 4 mg/l.
      La prvalence de la rsistance aquise peut varier en fonction de la gographie et du temps pour certaines espces. Il est donc utile de disposer d’informations sur la prvalence de la rsistance locale, surtout pour le traitement d’infections svres. Ces donnes ne peuvent apporter q’une orientation sur les probabilits de la sensibilit d’une souche bactrienne cet antibiotique.
      Lorsque la variabilit de la prvalence de la resistance en France est connue pour une espce bactrienne, elle est indiqu ci-dessous avec en % la frquence de rsistance acquise en France (>10%,valeurs extrmes) :
      1 / Espces sensibles :
      Arobies Gram positif :
      – Bacillus cereus,
      – Corynebacterium diphteria,
      – Enterocoques (50-70%),
      – Rhodococcus equi,
      – Staphylococcus mti-S,
      – Staphylococcus mti-R* (70-80%),
      – Streptococcus B,
      – Streptococcus non groupable (30-40%),
      – Streptococcus pneumniae (35-70%),
      – Streptococcus pyogenes,
      * La frquence de rsistance la mticilline est environ de 30 50% de l’ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.
      Arobies Gram ngatif :
      – Bordetella pertussis,
      – Branhamella catarrhalis,
      – Campylobacter,
      – Legionella,
      – Moraxella.
      Anarrobies :
      – Actinomyces,
      – Bacteroides (30-60%),
      – Eubacterium,
      – Mobiluncus,
      – Peptostreptococcus (30-40%),
      – Porphyromonas,
      – Prevotella,
      – Propionibacterium acnes.
      Autres :
      – Borrelia burgdorferi,
      – Chlamydia,
      – Coxiella,
      – Leptospires,
      – Mycoplasma pneumoniae,
      – Treponema pallidum.
      2/ Espces modrment sensibles (in vitro de sensibilit intermdiaire)
      Arobies Gram ngatif
      – H. influenzae,
      – Nesseria gonorrhoeae,
      Anarobies
      – Clostridium perfringens
      Autres
      – Ureaplasma urealyticum.
      3 / Espces rsistantes :
      Arobies Gram positif
      – Corynebacterium jeikeium,
      – Nocardia asterodes.
      Arobies Gram ngatif
      – Acinetobacter,
      – Enterobacteries,
      – Pseudomonas,
      Anarobies
      – Fusobacterium
      Autres
      – Mycoplasma hominis.
      * Proprits pharmacocintiques :
      Absorption :
      – L’ingestion du produit avant le repas (environ1 heure) assure les meilleurs taux sriques.
      – Administre par voie orale, l’rythromycine est absorbe dans la portion suprieure de l’intestin grle. Le taux de mdicament biodisponible est de 60 % 80 %.
      Distribution :
      – Sa demi-vie plasmatique est voisine de 2 heures.
      L’administration orale de 500 mg d’rythromycine procure une concentration srique maximale 1 heure de 2,5 microg/ml.
      L’rythromycine diffuse bien dans les tissus de l’organisme, notamment au niveau des poumons et des amygdales.
      – L’rythromycine diffuse peu dans le liquide cphalorachidien.
      – L’rythromycine traverse la barrire placentaire.
      Les macrolides pntrent et s’accumulent dans les phagocytes (polynuclaires neutrophiles, monocytes, macrophages pritonaux et alvolaires).
      Les concentrations intraphagocytaires sont leves chez l’homme. Comme pour d’autres macrolides, ces proprits expliquent l’activit de l’rythromycine sur les bactries intracellulaires.
      Excrtion :
      – L’rythromycine est retrouve principalement sous forme inchange dans la bile et les urines :
      – le foie est la principale voie de biotransformation de l’rythromycine, par N-dmthylation. La voie principale d’limination est biliaire ;
      – il existe galement une limination urinaire mineure du produit.


    1. Elles procdent de l’activit antibactrienne et des caractristiques pharmacocintiques de l’rythromycine. Elles tiennent compte la fois des tudes cliniques auxquelles a donn lieu ce mdicament et de sa place dans l’ventail des produits antibactriens actuellement disponibles.
      Elles sont limites aux infections dues aux germes dfinis comme sensibles :
      – Angines, en alternative au traitement de rfrence, particulirement lorsque celui-ci ne peut tre utilis.
      La pnicilline, prescrite pendant 10 jours, reste le traitement de rfrence des angines aigus streptococciques.
      – Sinusites aigus. Compte tenu du profil microbiologique de ces infections, les macrolides sont indiqus lorsqu’un traitement par une btalactamine est impossible.
      – Surinfections des bronchites aigus.
      – Exacerbations des bronchites chroniques.
      – Pneumopathies communautaires chez des sujets :
      . sans facteurs de risque,
      . sans signes de gravit clinique,
      . en l’absence d’lments cliniques vocateurs d’une tiologie pneumococcique.
      En cas de suspicion de pneumopathie atypique, les macrolides sont indiqus quels que soient la gravit et le terrain.
      – Infections cutanes bnignes : Imptigo, imptiginisation des dermatoses, ecthyma, dermohypodermite infectieuse (en particulier rysiple), rythrasma,acn inflammatoire mineure modre et composante inflammatoire des acns mixtes, en alternative au traitement par les cyclines, lorsque celles-ci ne peuvent tre utilises.
      – Infections stomatologiques.
      – Infections gnitales non gonococciques.
      – Chimioprophylaxie des rechutes du RAA en cas d’allergie aux btalactamines.
      Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l’utilisation approprie des antibactriens.
    2. ANGINE
    3. SINUSITE AIGUE
    4. BRONCHITE AIGUE
    5. BRONCHITE CHRONIQUE
    6. PNEUMONIE BACTERIENNE
    7. ACNE
    8. IMPETIGO
    9. ERYSIPELE
    10. ERYTHRASMA
    11. INFECTION STOMATOLOGIQUE
    12. INFECTION GENITALE
    13. RHUMATISME ARTICULAIRE AIGU(PREVENTION)

    1. NAUSEE
    2. VOMISSEMENT
    3. DOULEUR EPIGASTRIQUE
    4. DIARRHEE
    5. REACTION ALLERGIQUE CUTANEE (RARE)
    6. ERYTHEME POLYMORPHE (EXCEPTIONNEL)
    7. SYNDROME DE STEVENS-JOHNSON (EXCEPTIONNEL)
    8. SYNDROME DE LYELL (EXCEPTIONNEL)
    9. HEPATITE (RARE)
      Avec parfois des manifestations cliniques (ictre, fivre) ventuellement associes des douleurs abdominales aigues. L’apparition de signes cliniques impose l’arrt immdiat du traitement.
    10. TROUBLE HEPATIQUE (RARE)
      De rares cas d’atteinte hpatique avec lvation des phosphatases alcalines et / ou d’augmentation de transaminases,ont t rapports,avec parfois des manifestations cliniques (ictre, fivre) ventuellement associes des douleurs abdominales aigues. L’apparition de signes cliniques impose l’arrt immdiat du traitement.
    11. PHOSPHATASES ALCALINES(AUGMENTATION) (RARE)
      De rares cas d’atteinte hpatique avec lvation des phosphatases alcalines et / ou d’augmentation de transaminases,ont t rapports,avec parfois des manifestations cliniques (ictre, fivre) ventuellement associes des douleurs abdominales aigues. L’apparition de signes cliniques impose l’arrt immdiat du traitement.
    12. TRANSAMINASES(AUGMENTATION) (RARE)
      De rares cas d’atteinte hpatique avec lvation des phosphatases alcalines et / ou d’augmentation de transaminases,ont t rapports,avec parfois des manifestations cliniques (ictre, fivre) ventuellement associes des douleurs abdominales aigues. L’apparition de signes cliniques impose l’arrt immdiat du traitement.

    1. INSUFFISANCE HEPATIQUE
      L’administration d’rythromycine n’est pas recommande. Si elle est ncessaire, elle justifie alors une surveillance rgulire des tests hpatiques et ventuellement une rduction de posologie.
    2. DIABETE
      Tenir compte de la teneur en saccharose dans la ration journalire.
    3. REGIME HYPOGLUCIDIQUE
      Tenir compte de la teneur en saccharose dans la ration journalire.
    4. REGIME HYPOSODE
      Ce mdicament contient du sodium, n’en tenir compte que chez les enfants suivant un rgime hyposod strict.

    1. ALLERGIE A L’ERYTHROMYCINE (absolue)
    2. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      * Contre-indication absolue :
      – Drivs de l’ ergot de seigle (dihydroergotamine, ergotamine).
      – Cisapride.
      – Antihistaminiques :astmizole, mizolastine,
      – Pimozide,
      – bpridil.
      * Contre-indication relative :
      – Bromocriptine, cabergoline.
      – Carbamazpine,
      – Ciclosporine, tacrolimus,
      – bastine,
      – Thophilline (base et sels), aminophylline.
      – Triazolan,
      – toltrodine.
    3. INTOLERANCE AU FRUCTOSE (absolue)
      En raison de la prsence de saccharose, ce mdicament est contre-indiqu en cas d’intolrance au fructose, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de dficit en sucrase-isomaltase.

    1. CATECHOLAMINES URINAIRES
      L’rythromycine, comme d’autres antibiotiques peut interfrer dans les dosages urinaires de catcholamines par fluorescence. Cette interfrence peut s’observer principalement avec les techniques non chromatographiques, et dans une moindre mesure, aprs sparation chromatographique.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Ce mdicament est adapt l’enfant de dix vingt cinq kilos (soit environ de un huit ans).
    * Enfant : trente cinquante milligrammes par kilo par jour.
    – Entre dix et quinze kilos (soit environ entre un et quatre ans) : un sachet
    deux fois par jour.
    – Entre quinze et vingt cinq kilos (soit environ entre quatre et huit ans) : un sachet trois fois par jour.
    .
    Mode d’Emploi :
    La prise avant le repas assure les meilleurs taux sriques.
    Teneur en saccharose par sachet :
    1.47g.
    Teneur en sodium par sachet : 1.8 mg en tenir compte chez les enfants suivant un rgime hyposod strict.


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