UKAPEN 2 g prp inj (arrt de commercialisation)

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UKAPEN 2 g prp inj (arrt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 10/8/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : POUDRE ET SOLVANT POUR SOLUTION INJECTABLE

    Etat : arrt de commercialisation

    Laboratoire : BELLON

    Produit(s) : UKAPEN

    Evénements :

    1. mise sur le march 5/4/1977
    2. octroi d’AMM 5/4/1977
    3. publication JO de l’AMM 18/6/1980

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 321040-7

    1
    ampoule(s)
    10
    ml
    verre

    1
    flacon(s)
    2
    g
    verre

    Evénements :

    1. inscription SS 22/12/1978
    2. agrment collectivits 12/1/1982
    3. radiation SS 21/10/1995
    4. radiation collectivits 21/10/1995


    Lieu de délivrance : officine et hpitaux

    Etat actuel : arrt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste II

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Volume : 10
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIBIOTIQUE VOIE GENERALE (PENICILLINE SPECTRE ELARGI) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : J01C-A01.
      L’ampicilline est un antibiotique de la famille des beta-lactamines, du groupe des pnicillines A.
      Le spectre antibactrien naturel de l’ampicilline est le suivant :
      – Espces habituellement sensibles :
      Streptocoques A, streptocoques mitis, sanguis, streptocoques D faecalis, pneumocoques, gonocoques, meningocoques, leptospires, corynbactrium diphtriae, listria monocytognes, clostridium, fusobactrium, eschrichia coli, proteus mirabilis, salmonella, shigella, hamophilus influenzae, bordetella pertussis, brucella, vibrio cholerae, staphylococcus aureus (souches non productrices de pnicillinase).
      – Espces rsistantes (CMI suprieure ou gale 16 microgrammes/ml) :
      staphylocoques producteurs de pnicillinase, klebsiella, entrobacter, serratia, proteus rettgeri, providencia, pseudomonas, mycoplasmes, chlamydiae, rickettsies, acinetobacter.


    1. Elles procdent de l’activit antibactrienne et des caractristiques pharmacocintiques de l’ampicilline. Elles tiennent compte la fois des tudes cliniques auxquelles donn lieu ce mdicament et de sa place dans l’ventail des produits antibactriens actuellement disponibles.
      Elles sont limites aux infections dues aux germes dfinis ci-dessus comme sensibles, notamment dans leurs manifestations :
      – respiratoires,
      – ORL et stomatologiques,
      – rnales et uro-gnitales,
      – gyncologiques,
      – digestives et biliaires,
      – mninges,
      – septicmiques et endocarditiques.

    1. REACTION ALLERGIQUE
    2. URTICAIRE
    3. EOSINOPHILIE
    4. OEDEME ANGIONEUROTIQUE
    5. GENE RESPIRATOIRE
    6. CHOC ANAPHYLACTIQUE (EXCEPTIONNEL)
    7. ERUPTION MACULOPAPULEUSE
    8. NAUSEE
    9. VOMISSEMENT
    10. DIARRHEE
    11. CANDIDOSE
    12. TRANSAMINASES(AUGMENTATION)
      Augmentation transitoire et modre des transaminases sriques.
    13. ANEMIE
      Rversible.
    14. LEUCOPENIE
      Rversible.
    15. THROMBOPENIE (RARE)
      Rversible.
    16. NEPHROPATHIE INTERSTITIELLE AIGUE
    17. ENTEROCOLITE PSEUDOMEMBRANEUSE
    18. ENCEPHALOPATHIE METABOLIQUE
      L’administration de fortes posologies de beta-lactamines, en particulier chez l’insuffisant rnal, peut entraner des encphalopathies mtaboliques (trouble de la conscience, mouvements anormaux, crises convulsives).

    1. MISE EN GARDE
      – La survenue de toute manifestation allergique impose l’arrt du traitement.

      – Des ractions d’hypersensibilit (anaphylaxie) svres et parfois fatales ont t exceptionnellement observes chez les malades traits par les pnicillines A.

      Leur administration ncessite donc un interrogatoire pralable.

      Devant des antcdents d’allergie typique ces produits, la contre-indication est formelle.
    2. HYPERSENSIBILITE AUX CEPHALOSPORINES
      Tenir compte du risque d’allergie croise avec les antibiotiques de la famille des Cphalosporines.
    3. INSUFFISANCE RENALE
      Adapter la posologie en fonction de la clairance de la cratinine ou de la cratininmie.
    4. GROSSESSE
      Tenir compte du passage transplacentaire.
    5. ALLAITEMENT
      Tenir compte du passage dans le lait maternel.
    6. ASSOCIATION A L’ALLOPURINOL
      Risque accru de phnomnes cutans.

    1. HYPERSENSIBILITE AUX PENICILLINES
    2. MONONUCLEOSE INFECTIEUSE
      Infections par les virus du groupe herpes virus , notamment la mononuclose infectieuse (risque d’accidents cutans).

    Voies d’administration

    – 1 – INTRAMUSCULAIRE

    – 2 – INTRAVEINEUSE

    – 3 – INTRAVEINEUSE(EN PERFUSION)

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – Adultes :
    * voieIM : 1 flacon de 1g matin et soir soit 2 g/jour.
    * voieIV : 2 12 g/jour en 4 6 prises dans les infections svres type mningites, septicmies.
    – Enfants et nourrissons :
    * voie IM : 50 mg/kg/jour en 2 prises.
    *
    voie IV : 100 300 mg/kg/jour en 4 6 prises dans les infections svres type mningites, septicmies.
    – Nouveau-n :
    * voie IV : 100 300 mg/kg/jour en 4 6 prises dans les infections svres type mningites, septicmies.
    .
    .
    Posologie Particulire
    :
    Chez l’insuffisant rnal :
    – Clairance la cratinine comprise entre 30 et 60 ml/mn :
    2 4 g/jour ; posologie maximale tant de 4 g/jour en deux injections.
    – Clairance la cratinine comprise entre dix et trente ml/mn :
    1 g puis 5oo mg toutes les
    12 heures.
    – Clairance la cratinine infrieure dix ml/mn :
    1 g puis 500 mg toutes les 24 heures.
    Dans les infections svres, cette posologie peut tre insuffisante.
    Il est conseill de procder un contrle des taux sriques (et ventuellement
    mnings) du principe actif.
    .
    .
    Mode d’Emploi :
    – Injection IM profonde ;
    – Perfusion intraveineuse lente ou injection directe dans la tubulure ;


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