TILDIEM LP 300 mg gélules (arrêt de commercialisation)

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TILDIEM LP 300 mg gélules (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 11/1/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : GELULES A LIBERATION PROLONGEE

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : SYNTHELABO FRANCE

    Produit(s) : TILDIEM

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 7/11/1988
    2. publication JO de l’AMM 14/3/1989
    3. mise sur le marché 8/4/1989
    4. arrêt de commercialisation 1/5/1994

    Présentation et Conditionnement

    Conditionnement 1

    Numéro AMM : 331457-8

    1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    28
    unité(s)

    Evénements :

    1. inscription liste sub. vénéneuses 7/3/1989
    2. agrément collectivités 8/4/1989
    3. inscription SS 8/4/1989
    4. arrêt de commercialisation 1/5/1994
    5. radiation SS 7/12/1996
    6. radiation collectivités 10/10/1997


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 12
    mois

    Régime : liste I

    Conditionnement 2

    Numéro AMM : 556474-7

    10
    plaquette(s) thermoformée(s)
    10
    unité(s)
    PVC/alu

    Evénements :

    1. agrément collectivités 8/4/1989
    2. arrêt de commercialisation 1/5/1994
    3. radiation collectivités 10/10/1997


    Lieu de délivrance : hôpitaux

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 12
    mois

    Régime : liste I

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. INHIBITEUR CALCIQUE SELECTIF (BENZOTHIAZEPINE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : C08D-B01.


    1. HYPERTENSION ARTERIELLE

    1. CEPHALEE (PEU FREQUENT)
      Ces phénomènes correspondant à une vasodilatation (en particulier oedèmes) peuvent être influencés par l’âge du patient ; ils sont en général bénins et transitoires.
    2. BOUFFEE VASOMOTRICE
      Ces phénomènes correspondant à une vasodilatation (en particulier oedèmes) peuvent être influencés par l’âge du patient ; ils sont en général bénins et transitoires.
    3. MALAISE
      Ces phénomènes correspondant à une vasodilatation (en particulier oedèmes) peuvent être influencés par l’âge du patient ; ils sont en général bénins et transitoires.
    4. OEDEME DES MEMBRES INFERIEURS
      Ces phénomènes correspondant à une vasodilatation (en particulier oedèmes) peuvent être influencés par l’âge du patient ; ils sont en général bénins et transitoires.
    5. TROUBLE DIGESTIF (PEU FREQUENT)
      Effet bénin et transitoire.
    6. DYSPEPSIE (PEU FREQUENT)
      Effet bénin et transitoire.
    7. DOULEUR EPIGASTRIQUE (PEU FREQUENT)
      Effet bénin et transitoire.
    8. SECHERESSE DE LA BOUCHE (PEU FREQUENT)
      Effet bénin et transitoire.
    9. ERUPTION CUTANEE
      L’expérience acquise (dans d’autres indications) montre que ces éruptions cutanées sont le plus souvent localisées et consistent en des érythèmes simples, des urticaires ou exceptionnellement des érythèmes desquamatifs, éventuellement fébriles, régressifs à l’arrêt du traitement.
    10. ASTHENIE (PEU FREQUENT)
      Effet bénin et transitoire.
    11. PALPITATION (PEU FREQUENT)
      Effet bénin et transitoire.
    12. BRADYCARDIE
    13. BLOC SINOAURICULAIRE
    14. BLOC AURICULOVENTRICULAIRE
    15. TRANSAMINASES(AUGMENTATION) (RARE)
      Augmentation modérée et transitoire des transaminases hépatiques à la période initiale du traitement.
    16. HEPATITE (EXCEPTIONNEL)

    1. BRADYCARDIE
      Risque de majoration.
    2. BLOC AURICULOVENTRICULAIRE DU PREMIER DEGRE
      Patients présentant un bloc auriculoventriculaire de premier degré à l’ECG : risque de majoration et exceptionnellement de bloc complet.
    3. SUJET AGE
      Augmentation possible des concentrations plasmatiques de diltiazem.
      Surveillance de la fréquence cardiaque et de l’ECG en début de traitement.
    4. INSUFFISANCE RENALE
      Augmentation possible des concentrations plasmatiques de diltiazem.
      Surveillance de la fréquence cardiaque et de l’ECG en début de traitement.
    5. INSUFFISANCE HEPATIQUE
      Augmentation possible des concentrations plasmatiques de diltiazem.
      Surveillance de la fréquence cardiaque et de l’ECG en début de traitement.
    6. ANESTHESIE GENERALE
      Informer l’anesthésiste de la prise de diltiazem.
    7. ALLAITEMENT
      Allaitement déconseillé : la spécialité est excrétée dans le lait maternel.

    1. DYSFONCTIONNEMENT SINUSAL
    2. BLOC AURICULOVENTRICULAIRE DE HAUT DEGRE NON APPAREILLE
      Bloc auriculo-ventriculaire du 2ème et du 3ème degré non appareillés.
    3. GROSSESSE
      Cette spécialité s’étant avérée tératogène chez certaines espèces animales, elle est contre-indiquée en cas de grossesse ou chez la femme n’ayant pas un moyen de contraception efficace.
    4. INSUFFISANCE VENTRICULAIRE GAUCHE
      AVEC STASE PULMONAIRE

    Traitement

    Le tableau clinique de l’intoxication aiguë massive peut comporter une hypotension marquée pouvant aller jusqu’au collapsus, une bradycardie sinusale avec ou sans dissociation isorythmique, des troubles de la conduction auriculo-ventriculaire.
    Le
    traitement à entreprendre en milieu hospitalier comprendra : un lavage gastrique, une diurèse osmotique.
    Les troubles de la conduction peuvent bénéficier d’un entrainement électrosystolique temporaire.
    Les antidotes proposés sont : l’atropine,
    l’adrenaline, le glucagon voire le gluconate de calcium.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :

    UNE GELULE PAR JOUR
    .
    .
    Mode d’Emploi:

    L’HEURE DE LA PRISE AU COURS DE LA JOURNEE EST INDIFFERENTE MAIS
    DOIT RESTER RELATIVEMENT CONSTANTE CHEZ UN MEME PATIENT.


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