PROPIOCINE 250 mg comprims pr suspension buvable (arrt de commercialisation)

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PROPIOCINE 250 mg comprims pr suspension buvable (arrt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 15/11/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COMPRIMES POUR SUSPENSION BUVABLE

    Etat : arrt de commercialisation

    Laboratoire : ROUSSEL DIAMANT

    Produit(s) : PROPIOCINE

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 15/7/1980
    2. publication JO de l’AMM 4/12/1980
    3. mise sur le march 9/3/1981
    4. arrt de commercialisation 1/2/1997

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 323711-6

    1
    plaquette(s) thermoforme(s)
    12
    unit(s)
    PVC/alu
    blanc

    Evénements :

    1. inscription liste sub. vnneuses 26/3/1974
    2. agrment collectivits 25/3/1981
    3. inscription SS 25/3/1981
    4. radiation SS 28/8/1997
    5. radiation collectivits 28/8/1997


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    Régime : liste I

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    • ERYTHROMYCINE PROPIONATE 250 mg
      erythromycine sous forme d’ester propionique quantite correspondanta erythromycine base

    Principes non-actifs

    1. ANTIBIOTIQUE VOIE GENERALE (MACROLIDE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : J01F-A01.
      Antibiotique de la famille des macrolides.
      Le spectre antibactrien de l’Erythromycine est le suivant :
      1 / Espces habituellement sensibles :
      Streptocoques, Staphylocoques mticilline-sensibles, R. equi, B. catarrhalis, B. pertussis, H. pylori, C. jejuni, C. diphteriae, Moraxella, M. pneumoniae, Coxiella, Chlamydiae, Legionella, T. pallidum, B. burgdorferi, Leptospires, P. acnes, Actinomyces, Eubacterium, Porphyromonas, Mobiluncus.
      2 / Espces modrment sensibles :
      H. influenzae et parainfluenzae, N. gonorrhoeae, Vibrio, U. urealyticum.
      3 / Espces rsistantes :
      Staphylocoques mticilline-rsistants, Entrobactries, Pseudomonas, Acinetobacter, M. hominis, Nocardia, Fusobacterium, B. fragilis.
      4 / Espces inconstamment sensibles :
      S. pneumoniae, Entrocoques, C. coli, Peptosptreptococcus, C. perfringens.
      L’Erythromycine possde une activit in vitro et in vivo sur T. gondii.
      Lorsque pour une espce donne, la notion d’une sensibilit constante des souches n’a pas t tablie, seule une tude in vitro de la souche en cause permet de confirmer si elle est sensible, rsistante ou intermdiaire.
      En France, en 1990, 20 25% des Pneumocoques sont rsistants l’ensemble des macrolides (rsistance croise l’ensemble des macrolides).


    1. Elles procdent de l’activit antibactrienne et des caractristiques pharmacocintiques de l’rythromycine. Elles tiennent compte la fois des tudes cliniques auxquelles a donn lieu ce mdicament et de sa place dans l’ventail des produits antibactriens actuellement disponibles.
      Elles sont limites:
      – Aux infections dues aux germes dfinis ci-dessus comme sensibles, notamment dans leurs manifestations:
      . o.r.l, . broncho-pulmonaires, . stomatologiques, . cutanes, . gnitales.
      – A la prophylaxie de la mningite mningocoque chez les sujets contacts.
      – A la chimioprophylaxie des rechutes de r.a.a.

    1. TROUBLE DIGESTIF (FREQUENT)
    2. NAUSEE (FREQUENT)
    3. VOMISSEMENT (FREQUENT)
    4. DOULEUR EPIGASTRIQUE (FREQUENT)
    5. DIARRHEE (FREQUENT)
    6. REACTION ALLERGIQUE CUTANEE (RARE)
    7. TRANSAMINASES(AUGMENTATION) (EXCEPTIONNEL)
      Aposologie leve,augmentation transitoire possible des transaminases asat-alat, pouvant conduire exceptionellement une hpatite cholestatique.

    1. INSUFFISANCE HEPATIQUE
      L’administration d’rythromycine n’est pas recommande. Si elle est ncessaire, elle justifie alors une surveillance rgulire des tests hpatiques et ventuellement une rduction de posologie.
    2. INSUFFISANCE RENALE
      Bien que l’limination rnale de l’rythromycine soit peu importante, la demi-vie peut tre allonge en cas d’insufffisance rnale.

      L’accumulation de l’antibiotique peut entraner une diminution transitoire de l’audition, voire une surdit rversible l’arrt du traitement. Il convient donc d’espacer les prises en cas d’insuffisance rnale.
    3. GROSSESSE
      Les tudes effectues chez l’animal ont mis en vidence un effet tratogne sur une seule espce mais pas d’effet foetotoxique de l’rythromycine.

      En clinique, il existe un recul important (sauf avec l’estolate), avec un nombre suffisant de grossesses exposes, qui n’a pas rvl d’effet malformatif ou foetotoxique de l’rythromycine.

      En consquence, l’rythromycine peut tre prescrite pendant la grossesse si besoin.
    4. ALLAITEMENT
      L’rythromycine passe dans le lait maternel ; une diarrhe, de l’irritabilit ont pu tre observs ; en consquence, l’allaitement est dconseill.

    1. ALLERGIE A L’ERYTHROMYCINE
    2. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      – Vasoconstricteurs de l’ ergot de seigle (dihydroergotamine, ergotamine) (voies orale et nasale) : ergotisme avec possibilit de ncrose des extrmits (diminution de l’limination hpatique des alcalodes de l’ergot de seigle).
      – Antihistaminiques H1 non sdatifs (astmizole, terfnadine) : risque major de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes (diminution du catabolisme hpatique de l’antihistaminique par l’rythromycine).
      – Ebastine : risque major de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes (diminution du mtabolisme hpatique de l’antihistaminique par le macrolide).
      – Cisapride : risque major de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes (diminution du mtabolisme hpatique du cisapride par le macrolide).
      – Bromocriptine, carbamazpine, ciclosporine, thophyllines et aminophylline, triazolam : contre-indications relatives.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Dose quotidienne: trente cinquante milligrammes par kilo de poids.A rpartir en deux ou trois prises (comprims scables).
    – Enfants:
    * de quatre douze ans: sept cent cinquante milligrammes par jour (soit un comprim matin, midi
    et soir);
    * de trente mois quatre ans: cinq cent milligrammes par jour (soit un comprim matin et soir).
    – Nourrissons:
    * de douze trente mois: cinq cent milligrammes par jour (soit un comprim matin et soir);
    * au-dessous de un an: dux cent
    cinquante milligrammes par jour (soit un demi comprim matin et soir).
    .
    .
    Mode d’Emploi:
    – La Propiocine doit tre administre en dehors des repas, de prfrence quarante cinq minutes avant.
    – La plupart des indications ncessitent un traitement de
    cinq dix jours.
    – Faire dliter chaque dose dans un peu d’eau en remuant avec une cuillre ( le dlitement se fait en quarante soixante secondes dans l’eau la temprature ordinaire) et la faire absorber immdiatement.


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