SOLUPRED 5 mg comprims effervescents

Donnez-nous votre avis

SOLUPRED 5 mg comprims effervescents

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 24/10/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    code exprimentation – R 812


    Forme : COMPRIMES EFFERVESCENTS SECABLES

    Usage : adulte, enfant + de 30 mois

    Etat : commercialis

    Laboratoire : HOECHST HOUDE

    Produit(s) : SOLUPRED

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 13/2/1964
    2. mise sur le march 15/10/1964
    3. validation de l’AMM 25/11/1991
    4. rectificatif d’AMM 5/2/1998

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 309752-0

    1
    flacon(s)
    30
    unit(s)
    verre
    blanc

    Evénements :

    1. inscription SS 13/8/1964
    2. agrment collectivits 15/10/1964


    Lieu de délivrance : officine et hpitaux

    Etat actuel : commercialis

    Conservation (dans son conditionnement) : 60
    mois

    TENIR LE RECIPIENT BIEN FERME
    EVITER L’HUMIDITE

    BIEN REBOUCHER APRES UTILISATION

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    rembours
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 15.78 F

    Prix public TTC : 25.20 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. CORTICOIDE VOIE GENERALE (GLUCOCORTICOIDE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : H02A-B06.
      Les glucocorticodes physiologiques (cortisone et hydrocortisone) sont des hormones mtaboliques essentielles. Les corticodes synthtiques, incluant cette spcialit, sont utiliss principalement pour leur effet anti-inflammatoire. A forte dose, ils diminuent la rponse immunitaire. Leur effet mtabolique et de rtention sode est moindre que celui de l’hydrocortisone.
      * Proprits Pharmacocintiques
      Le pic de concentration plasmatique est atteint par voie orale en 4 heures.
      La demi-vie plasmatique est comprise entre 2,5 et 3,5 heures.
      Le mtabolisme est hpatique.
      L’limination est urinaire et biliaire.


    1. Affections ou maladies :
      * Collagnoses et connectivites :
      – Pousses volutives de maladies systmiques, notamment : lupus rythmateux dissmin, vascularite, polymyosite, sarcodose viscrale.
      * Dermatologiques :
      – Dermatoses bulleuses auto-immunes svres, en particulier pemphigus et pemphigode bulleuse.
      – Formes graves des angiomes du nourrisson.
      – Certaines formes de lichen plan.
      – Certaines urticaires aigus.
      – Formes graves de dermatoses neutrophiliques.
      * Digestives :
      – Pousses volutives de la rectocolite hmorragique et de la maladie de Crohn.
      – Hpatite chronique active auto-immune (avec ou sans cirrhose).
      – Hpatite alcoolique aigu svre, histologiquement prouve.
      * Endocriniennes :
      – Thyrodite subaigu de de Quervain svre.
      – Certaines hypercalcmies.
      * Hmatologiques :
      – Purpuras thrombopniques immunologiques svres.
      – Anmies hmolytiques auto-immunes.
      – En association avec diverses chimiothrapies dans le traitement d’hmopathies malignes lymphodes.
      – Erythroblastopnies chroniques, acquises ou congnitales.
      * Infectieuses :
      – Pricardite tuberculeuse et formes graves de tuberculose mettant en jeu le pronostic vital.
      – Pneumopathie Pneumocystis carinii avec hypoxie svre.
      * Noplasiques :
      – Traitement antimtique au cours des chimiothrapies antinoplasiques.
      – Pousse oedmateuse et inflammatoire associe aux traitements antinoplasiques (radio et chimiothrapie).
      * Nphrologiques :
      – Syndrome nphrotique lsions glomrulaires minimes.
      – Syndrome nphrotique des hyalinoses segmentaires et focales primitives.
      – Stades III et IV de la nphropathie lupique.
      – Sarcodose granulomateuse intrarnale.
      – Vascularites avec atteinte rnale.
      – Glomrulonphrites extracapillaires primitives.
      * Neurologiques :
      – Myasthnie.
      – Oedme crbral de cause tumorale.
      – Polyradiculonvrite chronique, idiopathique, inflammatoire.
      – Spasme infantile (syndrome de West), syndrome de Lennox-Gastaut.
      – Sclrose en plaques en pousse, en relais d’une corticothrapie intraveineuse.
      * Ophtalmologiques :
      – Uvite antrieure et postrieure svre.
      – Exophtalmies oedmateuses.
      – Certaines neuropathies optiques, en relais d’une corticothrapie intraveineuse (dans cette indication, la voie orale en premire intention est dconseille).
      * ORL :
      – Certaines otites sreuses.
      – Polypose nasosinusienne.
      – Certaines sinusites aigus ou chroniques.
      – Rhinites allergiques saisonnires en cure courte.
      – Laryngite aigu striduleuse (laryngite sous-glottique) chez l’enfant.
      * Respiratoires :
      – Asthme persistant, de prfrence en cure courte, en cas d’chec du traitement par voie inhale fortes doses.
      – Exacerbations d’asthme, en particulier asthme aigu grave.
      – Bronchopneumopathie chronique obstructive en valuation de la rversibilit du syndrome obstructif.
      – Sarcodose volutive.
      – Fibroses pulmonaires interstitielles diffuses.
      * Rhumatologiques :
      – Polyarthrite rhumatode et certaines polyarthrites.
      – Pseudopolyarthrite rhizomlique et maladie de Horton.
      – Rhumatisme articulaire aigu.
      – Nvralgies cervicobrachiales svres et rebelles.
      * Transplantation d’organe et de cellules souches hmatopotiques allogniques :
      – Prophylaxie ou traitement du rejet de greffe.
      – Prophylaxie ou traitement de la raction du greffon contre l’hte.

    1. COMMENTAIRE GENERAL
      Les effets indsirables sont surtout craindre doses importantes ou lors d’un traitement prolong.
    2. TROUBLE HYDROELECTROLYTIQUE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    3. KALIEMIE(DIMINUTION)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    4. ALCALOSE METABOLIQUE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    5. RETENTION HYDROSODEE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      FORTE DOSE
      TRAITEMENT PROLONGE

    6. Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    7. INSUFFISANCE CARDIAQUE CONGESTIVE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    8. TROUBLE ENDOCRINIEN
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE

      Et mtaboliques.

    9. SYNDROME DE CUSHING
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    10. INSUFFISANCE HYPOPHYSOSURRENALE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    11. ATROPHIE CORTICOSURRENALIENNE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE

      Parfois dfinitive.

    12. TOLERANCE AU GLUCOSE(DIMINUTION)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE

      Rversible.

    13. DIABETE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE

      Rvlation d’un diabte latent.

    14. RETARD DE CROISSANCE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE

      Chez l’enfant.

    15. IRREGULARITE MENSTRUELLE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    16. TROUBLE MUSCULOSQUELETTIQUE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    17. ATROPHIE MUSCULAIRE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE

      Prcde par une faiblesse musculaire (augmentation du catabolisme protidique).

    18. FAIBLESSE MUSCULAIRE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    19. OSTEOPOROSE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    20. FRACTURE PATHOLOGIQUE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE

      En particulier tassements vertbraux.

    21. OSTEONECROSE ASEPTIQUE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE

      des ttes fmorales

    22. TROUBLE DIGESTIF
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    23. ULCERE GASTRODUODENAL
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    24. ULCERE DE L’INTESTIN GRELE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    25. PERFORATION DIGESTIVE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    26. HEMORRAGIE DIGESTIVE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    27. PANCREATITE AIGUE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE

      Surtout chez l’enfant.

    28. TOXICITE CUTANEOMUQUEUSE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    29. ERYTHEME
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    30. ACNE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE

      Surtout dorsale.

    31. PURPURA
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    32. ECCHYMOSE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    33. HYPERTRICHOSE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    34. RETARD DE CICATRISATION
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    35. TROUBLE NEUROPSYCHIQUE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    36. EUPHORIE (FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    37. INSOMNIE (FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    38. EXCITATION PSYCHOMOTRICE (FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE

      Avec euphorie et troubles du sommeil.

    39. CONFUSION ONIRIQUE (RARE)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    40. ACCES MANIAQUE (RARE)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    41. CONFUSION MENTALE (RARE)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE

      Ou confuso – oniriques.

    42. CRISE CONVULSIVE (RARE)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE

      Par voie gnrale ou intrathcale.

    43. DEPRESSION
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE

      A l’arrt du traitement.

    44. TROUBLE OCULAIRE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    45. GLAUCOME
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE

      Certaines formes de glaucome.

    46. CATARACTE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE

      Certaines formes de cataracte.

    1. MISE EN GARDE
      – Terrain allergique :
      De rares cas de ractions pseudo-anaphylactiques tant survenus chez des patients traits par une corticothrapie parentrale, une attention particulire sera porte avant toute administration chez des sujets prsentant un terrain atopique.
      – Ulcre gastroduodnal :
      En cas d’ulcre gastroduodnal, la corticothrapie n’est pas contre-indique si un traitement antiulcreux est associ. En cas d’antcdents ulcreux, la corticothrapie peut tre prescrite, avec une surveillance clinique et, au besoin, aprs fibroscopie.
      – Infections :
      La corticothrapie peut favoriser la survenue de diverses complications infectieuses dues notamment des bactries, des levures, des parasites. La survenue d’une anguillulose maligne est un risque important. Tous les sujets venant d’une zone d’endmie (rgions tropicales, subtropicales, sud de l’Europe) doivent avoir un examen parasitologique des selles et un traitement radicateur systmatique avant la corticothrapie.
      Les signes volutifs d’une infection peuvent tre masqus par la corticothrapie. Il importe, avant la mise en route du traitement, d’carter toute possibilit de foyer viscral, notamment tuberculeux, et de surveiller, en cours de traitement, l’apparition de pathologies infectieuses. En cas de tuberculose ancienne, un traitement prophylactique antituberculeux est ncessaire s’il existe des squelles radiologiques importantes et si l’on ne peut s’assurer qu’un traitement bien conduit de 6 mois par la rifampicine a t donn.
      – Surveillance particulire :
      L’emploi des corticodes ncessite une surveillance particulirement adapte, notamment chez le sujet g et en cas de colites ulcreuses (risque de perforation), diverticulites, anastomoses intestinales rcentes, insuffisance rnale, insuffisance hpatique, ostoporose, myasthnie grave.
    2. REGIME PARTICULIER
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE

      Un rgime pauvre en sucres d’absorption rapide et hyperprotidique doit tre associ, en raison de l’effet hyperglycmiant et du catabolisme protidique avec ngativation du bilan azot.
      – Le patient doit avoir systmatiquement un apport en calcium et en vitamine D.

    3. RETENTION HYDROSODEE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE

      Une rtention hydrosode est habituelle, responsable en partie d’une lvation ventuelle de la pression artrielle. L’apport sod sera rduit pour des posologies quotidiennes suprieures 15 ou 20 mg d’quivalent prednisone et modr dans les traitements au long cours doses faibles.
      Tenir compte de la teneur en sodium (25 mg par comprim).

    4. APPORT POTASSIQUE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE

      La supplmentation potassique n’est justifie que pour des traitements fortes doses, prescrits pendant une longue dure, ou en cas de risque de troubles du rythme ou d’association un traitement hypokalimiant.

    5. DIABETE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE

      Lorsque la corticothrapie est indispensable, le diabte n’est pas une contre-indication mais le traitement peut entraner son dsquilibre. Il convient de rvaluer sa prise en charge.

    6. HYPERTENSION ARTERIELLE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE

      Lorsque la corticothrapie est indispensable, l’hypertension artrielle n’est pas une contre-indication mais le traitement peut entraner son dsquilibre. Il convient de rvaluer sa prise en charge.

    7. CONTACT A EVITER
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE

      Les patients doivent viter le contact avec des sujets atteints de varicelle ou de rougeole.

    8. SPORTIFS
      L’attention des sportifs sera attire sur le fait que cette spcialit contient un principe actif pouvant induire une raction positive des tests pratiqus lors des contrles antidopage.
    9. GROSSESSE
      Chez l’animal, l’exprimentation met en vidence un effet tratogne variable selon les espces.
      Dans l’espce humaine, il existe un passage transplacentaire. Cependant, les tudes pidmiologiques n’ont dcel aucun risque malformatif li la prise de corticodes lors du 1 er trimestre. Lors de maladies chroniques, ncessitant un traitement tout au long de la grossesse, un lger retard de croissance intra-utrin est possible. Une insuffisance surrnale nonatale a t exceptionnellement observe aprs corticothrapie doses leves. Il est justifi d’observer une priode de surveillance clinique (poids, diurse) et biologique du nouveau-n.
      En consquence, les corticodes peuvent tre prescrits pendant la grossesse, si besoin.
    10. ALLAITEMENT
      En cas de traitement des doses importantes et de faon chronique, l’allaitement est dconseill.

    1. ETAT INFECTIEUX
      Tout tat infectieux, l’exclusion des indications spcifies.
    2. VIROSES EN EVOLUTION
      Certaines viroses en volution (notamment hpatites, herps, varicelle et zona).
    3. HEPATITE
    4. HERPES
    5. VARICELLE
    6. ZONA
      A manifestations oculaires.
    7. ETAT PSYCHOTIQUE
      Encore non contrl par un traitement.
    8. VACCINATION
      Vaccins vivants.
    9. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
    10. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE (relative)
      Mdicaments non antiarythmiques, donnant des torsades de pointes :(astmizole, bpridil, rythromycine I.V., halofantrine, pentamidine, sparfloxacine, terfnadine, sultopride, vincamine) : utiliser des substances ne prsentant pas l’inconvnient d’entraner des torsades de pointes en cas d’hypokalimie.

    Traitement

    Des doses excessives absorbes en une seule fois peuvent faire apparatre une irritation gastrique.
    En cas de surdosage massif rapidement dcel, le traitement consiste en un lavage d’estomac et purgation saline et traitement symptomatique.
    Il n’existe
    pas d’antidote spcifique.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Un milligramme de Solupred quivaut un milligramme de Prednisolone ou Prednisone.
    – Traitement d’attaque :
    Adulte : un demi un milligramme par kilogramme par jour.
    Enfant : un deux milligrammes par kilogramme par jour.

    Traitement d’entretien :
    Aprs le traitement d’attaque et en cas de rponse favorable, la posologie sera rduite de faon progressive jusqu’ l’obtention de la dose minimale efficace.
    En moyenne chez l’adulte : cinq vingt milligrammes par jour, chez
    l’enfant : zro dix ( 0.10 ) zro cinquante ( 0.50 ) milligramme par kilogramme par jour.
    .
    .
    Mode d’Emploi:
    L’administration se fera de prfrence en une prise le matin huit heures. Ds que possible, il faudra recourir une administration alterne
    un jour sur deux ( surtout chez l’enfant pour limiter le risque de retard de croissance ).


    Retour à la page d’accueil

Similar Posts