TOFRANIL 10 mg comprimés enrobés

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TOFRANIL 10 mg comprimés enrobés

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 4/2/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    code expérimentation – G 22 355


    Forme : COMPRIMES ENROBES

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : NOVARTIS PHARMA

    Produit(s) : TOFRANIL

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 1/1/1960
    2. mise sur le marché 15/2/1962
    3. validation de l’AMM 25/3/1991
    4. rectificatif d’AMM 8/2/1999

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 310676-2

    6
    plaquette(s) thermoformée(s)
    10
    unité(s)
    PVC/PVDC/alu
    brun rouge

    Evénements :

    1. inscription liste sub. vénéneuses 21/1/1957
    2. agrément collectivités 7/7/1961
    3. inscription SS 1/1/1962


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    EVITER L’HUMIDITE
    CONSERVER A TEMPERATURE < 30 DEGRES Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 7.11 F

    Prix public TTC : 12.70 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIDEPRESSEUR (INHIB. NON SEL. DU RECAPTA. DE MONOAMINE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : N06A-A02.
      Les effets biochimiques, vraisemblablement à l’origine de l’effet thérapeutique, reposent sur une diminution du recaptage présynaptique de la noradrénaline et de la sérotonine dont la transmission synaptique est facilitée.
      L’effet sédatif, lorsqu’il se manifeste, est en rapport avec la composante histaminergique de la molécule.
      Par ailleurs, celle-ci exerce un effet anticholinergique central et périphérique, à l’origine d’effets indésirables.
      Les propriétés adrénolytiques peuvent provoquer une hypotension orthostatique.
      L’amélioration portant spécifiquement sur l’humeur est souvent retardée par rapport aux améliorations symptomatiques telles que le ralentissement idéomoteur, l’insomnie ou l’anxiété. Cette notion doit être prise en compte avant l’interruption d’un traitement pour raison d’inefficacité, ainsi que dans l’ajustement des doses efficaces.
      * Propriétés Pharmacocinétiques
      Absorption : La biodisponibilité de l’imipramine est variable d’un sujet à l’autre (de 25 à 50 % environ). En raison d’un effet de premier passage hépatique important, la biodisponibilité de l’imipramine est réduite après administration par voie orale d’environ 50 % par rapport à l’administration parentérale.
      Distribution : Le volume de distribution est élevé, en moyenne de 13 l/kg. La clairance totale plasmatique de l’imipramine, calculée après administration intraveineuse, est de 1 l/min.
      L’imipramine passe la barrière hémato-encéphalique ainsi que dans le lait maternel.
      Liaison aux protéines plasmatiques : la liaison aux protéines est importante, en moyenne de 85 %.
      Demi-vie d’élimination : la demi-vie d’élimination plasmatique de l’imipramine varie d’un sujet à l’autre : elle est comprise entre 9 et 20 heures.
      Métabolisme : Le foie joue un rôle majeur dans le processus de métabolisation des antidépresseurs imipraminiques : captation (effet de premier passage) puis biotransformation intense, ce qui explique la forte valeur de la clairance plasmatique, rapportée au débit sanguin hépatique (1,5 l/min) et le faible pourcentage de composés actifs retrouvés au niveau urinaire.
      Le métabolite principal de l’imipramine est la desméthylimipramine ou désipramine, composé actif dont la demi-vie est un peu plus longue que celle de la molécule mère. L’hydroxylation de ces deux molécules donne naissance à d’autres métabolites actifs. Leur inactivation se fait par conjugaison avec l’acide glucuronique, aboutissant à des substances hydrosolubles éliminées dans les urines ou la bile.
      Elimination : 80 % des conjugués hydrosolubles sont excrétés dans l’urine et 20 % dans les fèces. Seulement 5 % environ de la dose sont excrétés inchangés. ‰galement 6 % de la dose sont excrétés sous forme de désipramine.
      Relation concentration/activité : Pour la désipramine, la fourchette thérapeutique communément retenue se situe entre 115 et 250 ng/ml, 180 à 350 ng/ml pour la somme imipramine/désipramine. En pratique courante, le dosage plasmatique n’est pas nécessaire pour assurer le suivi thérapeutique. Toutefois, on distingue 2 groupes de malades pour lesquels le monitoring des concentrations plasmatiques peut être souhaitable :
      – les patients à risque : sujet âgé, pathologie cardiaque, hépatique, rénale, enfant… ;
      – les patients résistant au traitement ou chez lesquels les effets indésirables sont marqués ou encore polymédiqués .
      Populations à risque :
      Sujet âgé : le métabolisme hépatique diminue et donc la clairance totale avec augmentation des concentrations à l’équilibre, de la fraction libre et des demi-vies. Il importe alors de diminuer les doses, au moins dans un premier temps.
      Insuffisants hépatique ou rénal : il convient de diminuer la posologie de l’imipramine.

    1. ***
      – Episodes dépressifs majeurs (c’est-à-dire caractérisés), y compris les épisodes sévères chez les patients hospitalisés.
      – Enurésie nocturne de l’enfant dans les cas où toute pathologie organique a été exclue.
    2. DEPRESSION
    3. ENURESIE

    1. SECHERESSE DE LA BOUCHE (FREQUENT)
      Lié aux effets périphériques de la molécule : habituellement bénin et cédant le plus souvent à la poursuite du traitement ou à une réduction de la posologie.
      Effet anticholinergique.
    2. CONSTIPATION
      Lié aux effets périphériques de la molécule : habituellement bénin et cédant le plus souvent à la poursuite du traitement ou à une réduction de la posologie.
      Effet anticholinergique.
    3. TROUBLE DE L’ACCOMMODATION
      Lié aux effets périphériques de la molécule : habituellement bénin et cédant le plus souvent à la poursuite du traitement ou à une réduction de la posologie.
      Effet anticholinergique.
    4. TACHYCARDIE
      Lié aux effets périphériques de la molécule : habituellement bénin et cédant le plus souvent à la poursuite du traitement ou à une réduction de la posologie.
      Effet anticholinergique.
    5. HYPERSUDATION
      Lié aux effets périphériques de la molécule : habituellement bénin et cédant le plus souvent à la poursuite du traitement ou à une réduction de la posologie.
      Effet anticholinergique.
    6. TROUBLE DE LA MICTION
      Lié aux effets périphériques de la molécule : habituellement bénin et cédant le plus souvent à la poursuite du traitement ou à une réduction de la posologie.
      Effet anticholinergique.
    7. RETENTION D’URINE
      Lié aux effets périphériques de la molécule : habituellement bénin et cédant le plus souvent à la poursuite du traitement ou à une réduction de la posologie.
      Effet anticholinergique.
    8. HYPOTENSION ORTHOSTATIQUE
      Lié aux effets périphériques de la molécule : habituellement bénin et cédant le plus souvent à la poursuite du traitement ou à une réduction de la posologie.
      Effet adrénolytique.
    9. IMPUISSANCE
      Lié aux effets périphériques de la molécule : habituellement bénin et cédant le plus souvent à la poursuite du traitement ou à une réduction de la posologie.
      Effet anticholinergique.
    10. NERVOSITE (FREQUENT)
      Lié aux effets centraux.
    11. INSOMNIE (FREQUENT)
      plus marquée en début de traitement.
      Effet lié aux effets centraux.
    12. SOMNOLENCE (FREQUENT)
      plus marquée en début de traitement.
      Effet lié aux effets centraux.
    13. TREMBLEMENT (RARE)
      Lié aux effets centraux.
    14. CRISE CONVULSIVE (RARE)
      sur terrain prédisposé.
      Liée aux effets centraux.
    15. CONFUSION MENTALE (RARE)
      transitoire.
      Liée aux effets centraux.
    16. SYNDROME SEROTONINERGIQUE (RARE)
      lié aux effets centraux.
      En association aux IMAO non sélectifs et sélectifs A : risque d’apparition d’un syndrome sérotoninergique*.
      * Syndrome sérotoninergique :
      Certains surdosages ou certains médicaments (lithium) peuvent donner lieu à un syndrome sérotoninergique justifiant l’arrêt immédiat du traitement. Celui-ci se manifeste par l’apparition (éventuellement brutale) simultanée ou séquentielle, d’un ensemble de symptômes pouvant nécessiter l’hospitalisation voire entraîner le décès. Ces symptômes peuvent être d’ordre :
      – psychiques (agitation, confusion, hypomanie, éventuellement coma),
      – moteurs (myoclonies, tremblements, hyperréflexie, rigidité, hyperactivité),
      – végétatifs (hypo- ou hypertension, tachycardie, frissons, hyperthermie, sueurs).
      – digestifs (diarrhée).
      Le strict respect des doses préconisées constitue un facteur essentiel dans la prévention de l’apparition de ce syndrome.
    17. RISQUE SUICIDAIRE
      Levée de l’inhibition psychomotrice.
      Lié à la nature même de la maladie dépressive.
    18. ACCES MANIAQUE
      avec apparition d’épisodes maniaques.
      Lié à la nature même de la maladie dépressive.
    19. DELIRE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      PSYCHOTIQUES

      Chez les sujets psychotiques.

    20. ANXIETE
      manifestation paroxystique d’angoisse.
      Lié à la nature même de la maladie dépressive.
    21. POIDS(AUGMENTATION)
    22. TROUBLE DE LA CONDUCTION CARDIAQUE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DOSES ELEVEES
    23. ARYTHMIE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DOSES ELEVEES
    24. VOLUME MAMMAIRE(AUGMENTATION)
    25. GALACTORRHEE
    26. BOUFFEE DE CHALEUR
    27. REACTION ALLERGIQUE CUTANEE
    28. ALOPECIE
    29. DYSARTHRIE
    30. HEPATITE CHOLESTATIQUE (EXCEPTIONNEL)
    31. HEPATITE CYTOLYTIQUE (EXCEPTIONNEL)
    32. EOSINOPHILIE
    33. LEUCOPENIE
    34. AGRANULOCYTOSE
    35. THROMBOPENIE
    36. SYNCOPE
    37. COMMENTAIRE GENERAL
      Certains de ces effets indésirables peuvent être prévenus ou combattus par des thérapeutiques adjuvantes ou correctrices, voire une réduction de la posologie.
      Dans le cas de l’énurésie, les posologies préconisées sont faibles par rapport à celles utilisées dans la dépression et les effets indésirables sont moins marqués.

    1. MISE EN GARDE
      – risque suicidaire :

      Comme lors de tout traitement par antidépresseur, le risque suicidaire chez les patients déprimés persiste en début de traitement, la levée de l’inhibition psychomotrice pouvant précéder l’action antidépressive proprement dite.

      – syndrome de sevrage :

      De rares cas de syndrome de sevrage (céphalées, malaises, nausées, anxiété, troubles du sommeil) ayant été observés à l’arrêt du traitement, il est recommandé de réduire progressivement les doses et de surveiller tout particulièrement le patient durant cette période.
    2. DEBUT DE TRAITEMENT
      Insomnie ou nervosité en début de traitement peuvent justifier une diminution de la posologie ou un traitement transitoire symptomatique.
    3. ACCES MANIAQUE
      En cas de virage maniaque franc, le traitement par l’imipramine sera interrompu et, le plus souvent, un neuroleptique sédatif prescrit.
    4. EPILEPSIE
      Chez les patients épileptiques ou ayant des antécédents d’épilepsie, il est prudent de renforcer la surveillance clinique et électrique, en raison de la possibilité d’abaissement du seuil épileptogène. La survenue de crises convulsives impose l’arrêt du traitement.
    5. SUJET AGE
      L’imipramine doit être utilisée avec prudence chez le sujet âgé présentant :

      – une plus grande sensibilité à l’hypotension orthostatique et à la sédation

      – une constipation chronique (risque d’iléus paralytique)

      – une éventuelle hypertrophie prostatique.
    6. AFFECTIONS CARDIOVASCULAIRES
      L’imipramine doit être employée avec prudence chez les sujets porteurs de certaines affections cardiovasculaires, en raison des effets quinidiniques, tachycardisants et hypotenseurs de cette classe de produits.
    7. INSUFFISANCE RENALE ET HEPATIQUE
      En raison du risque de surdosage.
    8. GROSSESSE
      – Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.
      – En clinique, les résultats des études épidémiologiques menées sur des effectifs restreints de femmes semblent exclure, à ce jour, un risque malformatif particulier pour l’imipramine ou l’amitriptyline. Chez les nouveau-nés de mères traitées au long cours par de fortes posologies d’antidépresseurs imipraminiques ont été décrits des signes d’imprégnation atropinique : hyperexcitabilité, distension abdominale, iléus méconial, retard à l’émission du méconium, difficulté de la mise en route de l’alimentation, tachycardies, troubles neurologiques… et des cas de détresse respiratoire.
      – En conséquence :
      . la grossesse est l’occasion de peser à nouveau l’indication du traitement antidépresseur, administré, si possible, en monothérapie ;
      . le risque tératogène, s’il existe, semble faible ;
      . si possible, il est souhaitable de diminuer les posologies en fin de grossesse en raison des effets atropiniques de ces antidépresseurs ;
      . il semble justifié d’observer une période de surveillance des fonctions neurologiques et digestives du nouveau-né.
    9. ALLAITEMENT
      Le passage dans le lait maternel est mal connu mais probablement faible ; cependant, par prudence, l’allaitement est à éviter pendant la durée du traitement.
    10. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      Ce médicament peut affaiblir les facultés mentales et physiques nécessaires à l’exécution de certaines tâches dangereuses, telles que la manipulation d’appareils ou la conduite d’un véhicule à moteur.

    1. HYPERSENSIBILITE A CE PRODUIT
      à l’imipramine.
    2. GLAUCOME A ANGLE FERME
    3. TROUBLES URETRO-PROSTATIQUES
      Risque de rétention urinaire, liés à des troubles urétro-prostatiques.
    4. INFARCTUS DU MYOCARDE RECENT
    5. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      Contre-indications : association aux IMAO non sélectifs (iproniazide, nialamide) et au sultopride.
      Contre-indications relatives : associations avec les IMAO-A (moclobémide, toloxatone), l’alcool, la clonidine et apparentés, les sympathomimétiques alpha et bêta (adrénaline, noradrénaline, dopamine pour action systémique par voie parentérale).

    Signes de l’intoxication :

    1. TROUBLE CARDIOVASCULAIRE
    2. TROUBLE DE LA CONDUCTION CARDIAQUE
    3. CONFUSION MENTALE
    4. COMA

    Traitement

    En cas de surdosage volontaire ou accidentel, on observe des manifestations cardiovasculaires sévères (essentiellement troubles de la conduction conditionnant la gravité de l’intoxication), ainsi qu’un renforcement des symptômes anticholinergiques,
    éventuellement un état confusionnel ou un coma (parfois retardé). Il y a lieu, dans ce cas, de faire hospitaliser immédiatement le malade dans un service spécialisé et de faire évacuer le produit ingéré.
    La prise en charge doit comporter un traitement
    symptomatique et une surveillance des fonctions vitales, notamment cardiaques et respiratoires, pendant au moins cinq jours.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – Dépression :
    . La posologie usuelle pour le traitement de la dépression varie de soixante-quinze à cent-cinquante mg par jour. La posologie initiale est le plus souvent de soixante-quinze mg mais elle peut être adaptée
    individuellement dans la fourchette des doses recommandées. Cette posologie sera éventuellement réévaluée après trois semaines de traitement effectif à doses efficaces.
    . Sujet âgé : le traitement sera initié à posologie faible, c’est-à-dire en
    pratique à la moitié de la posologie minimale recommandée. L’augmentation des doses, si nécessaire, sera progressive, en pratiquant une surveillance clinique : les effets indésirables des imipraminiques peuvent en effet avoir des conséquences graves
    chez la personne âgée (chutes, confusions).
    . – Insuffisants hépatiques et rénaux : Il convient de diminuer la posologie.
    . Durée de traitement : le traitement par antidépresseur est symptomatique. Le traitement d’un épisode est de plusieurs mois
    (habituellement de l’ordre de six mois) afin de prévenir les risques de rechute de l’épisode dépressif.
    . Traitements psychotropes associés : l’adjonction d’un traitement sédatif ou anxiolytique peut être utile en début de traitement, afin de couvrir la
    survenue ou l’aggravation de manifestations d’angoisse. Toutefois, les anxiolytiques ne protègent pas forcément de la levée de l’inhibition.
    – Enurésie (à partir de six ans) :
    L’augmentation des doses si nécessaire, se fera de façon progressive.
    .
    enfant de six à douze ans : un à trois comprimés à dix mg par jour (dix à trente mg d’imipramine),
    . plus de douze ans : deux à cinq comprimés à dix mg par jour (vingt à cinquante mg d’imipramine).
    Les posologies préconisées sont faibles par rapport à
    celle utilisées dans la dépression. L’effet anticholinergique constitue un avantage dans cette indication.
    .
    Mode d’Emploi :
    Utiliser les dosages adaptés de comprimés (dix ou vingt-cinq mg) en fonction de la dose journalière prescrite.
    Les
    caractéristiques pharmacocinétiques de ce médicament autorisent une seule prise journalière, pendant les repas ou à distance de ceux-ci. Il peut être nécessaire selon les cas, de prendre le médicament au plus tard vers seize heures, afin de prévenir une
    éventuelle insomnie.


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