TIFOMYCINE 0.4 % lyoph pr collyre (arrt de commercialisation)

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TIFOMYCINE 0.4 % lyoph pr collyre (arrt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 13/1/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : POUDRE ET SOLVANT POUR COLLYRE EN SOLUTION

    Etat : arrt de commercialisation

    Laboratoire : ROUSSEL DIAMANT

    Produit(s) : TIFOMYCINE

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 1/1/1949
    2. mise sur le march 15/7/1950
    3. validation de l’AMM 15/5/1991
    4. arrt de commercialisation 1/2/1996

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 310654-9

    1
    flacon(s) de lyophilisat
    verre

    1
    flacon(s) de solvant
    5
    ml
    PE

    Evénements :

    1. agrment collectivits 23/9/1959
    2. inscription SS 28/12/1961
    3. arrt de commercialisation 1/2/1996
    4. radiation SS 1/11/1996
    5. radiation collectivits 1/11/1996


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrt de commercialisation

    Matériel complémentaire : 1 embout verseur

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    A L’ABRI DE LA LUMIERE

    Conservation (préparée, reconstituée ou déconditionnée) : 15
    jour(s)

    Régime : liste I

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Volume : 5
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. PRODUIT OPHTALMOLOGIQUE ANTIBIOTIQUE (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : S01A-A01.
      Antibiotique bactriostatique de la famille des phnicols.
      Spectre antibactrien large.
      Espces habituellement sensibles ( CMI < 5 mg/l ) :
      Streptocoques ( groupes A et B ),Streptococcus pneumoniae ( pneumocoque ) ; Neisseria gonorrhoeae ( gonocoque ) ; Neissseria meningitidis ( mningocoque ) ; Bacillus subtilis, Corynebacterium, Erysipelothrix, Listeria ; Salmonella, Shigella, Brucella, Pasteurella, Hemophilus, Campylobacter, Vibrio ; Anaerobies ( Bacteroides, Clostridium, Fusobacterium, Aeromonas ) ; Rickettsies, Mycoplasma, Chlamydiae.
      Espces inconstamment sensibles :
      Staphylocoques, Entrocoques ; Colibacilles,Klebsiella, Proteus.
      Espces rsistantes ( CMI > 25 mg/l ) :
      Serratia,Marcesceus, Providencia, Acinetobacter, Pseudomonas.
      Lorsque pour une espce donne, la notion d’une sensibilit constante des souches n’a pas t tablie, seul un antibiogramme permet de confirmer si elle est sensible, rsistante ou intermdiaire.


    1. Infections bactriennes superficielles de l’oeil ou de ses annexes, dues des germes sensibles au chloramphnicol :
      – Conjonctivite.
      – Kratite.
      – Blpharite.
      – Dacryocystite.

    1. APLASIE MEDULLAIRE
    2. REACTION D’HYPERSENSIBILITE
      Risque.

    1. MISE EN GARDE
      L’utilisation du chloramphnicol par voie locale en petites doses rptes est considre comme pouvant tre responsable des effets indsirables hmatologiques connus du produit :

      – anmie, neutropnie, thrombopnie, lies un dficit transitoire de l’hmatopoise. Ces troubles dpendent de la dose et sont habituellement rversibles l’arrt du traitement s’ils sont dpists prcocement ; ils sont plus prcoces et plus svres en cas de surdosage, d’insuffisance mdullaire antrieure ou d’insuffisance rnale ;

      – aplasie mdullaire imprvisible, concomittante ou postrieure au traitement, sans relation avec la dose et la dure d’utilisation, et souvent mortelle. Le risque est accru chez les sujets ayant antrieurement reu du chloramphnicol mme par voie locale.
    2. RECOMMANDATION
      Le chloramphnicol ne doit tre utilis qu’en cas de ncessit absolue dans les affections germes sensibles et les infections graves dans lesquelles les mdicaments potentiellement moins dangereux sont inefficaces ou contre – i ndiqus.
    3. TRAITEMENT PROLONGE
      Cette spcialit ne devra pas tre utilise ni de faon prolonge, ni en traitements rpts.
    4. CONDITIONS D’UTILISATION DU PRODUIT
      Le collyre ne doit pas tre employ en injection pri – ou intra – oculaire.
    5. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      En cas de traitement concomittant par un collyre contenant un principe actif diffrent, instiller les collyres 15 minutes d’intervalle.
    6. PERSISTANCE DES SYMPTOMES
      Un contrle bactriologique avec tude de la sensibilit du germe permet de dpister une rsistance au produit et d’adapter ventuellement le traitement.

    1. ANTECEDENTS D’INSUFFISANCE MEDULLAIRE
    2. NOUVEAU-NE
      Et d’une faon gnrale le nourrisson de moins de 6 mois.
    3. GROSSESSE
    4. ALLAITEMENT
    5. HYPERSENSIBILITE AUX PHENICOLES
      Antcdents.

    Traitement

    Le surdosage augmente le risque de complications lies la toxicit directe du chloramphnicol sur l’hmatopoise et en raccourcit le dlai d’apparition.

    Voies d’administration

    – 1 – OCULAIRE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Une goutte dans le cul de sac conjonctival infrieur, trois quatre fois par jour selon la gravit, en moyenne pendant sept jours.


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