MERCILON comprim

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MERCILON comprim

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 12/1/2001

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COMPRIMES

    Etat : commercialis

    Laboratoire : ORGANON S.A.

    Produit(s) : MERCILON

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 27/1/1988
    2. publication JO de l’AMM 2/4/1988
    3. mise sur le march 2/1/1990
    4. rectificatif d’AMM 2/10/1997

    Présentation et Conditionnement

    Conditionnement 1

    Numéro AMM : 330520-8

    1
    plaquette(s) thermoforme(s)
    21
    unit(s)
    blanc

    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialis

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    non rembours

    Prix Pharmacien HT : 31.32 F

    Prix public TTC : 49.65 F

    TVA : 5.50 %

    Conditionnement 2

    Numéro AMM : 330521-4

    3
    plaquette(s) thermoforme(s)
    21
    unit(s)
    blanc

    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialis

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    non rembours

    Prix Pharmacien HT : 92.18 F

    Prix public TTC : 146.10 F

    TVA : 5.50 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. CONTRACEPTIF HORMONAL (ESTROPROGESTATIF COMBINE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : G03A-A09.
      Combine, minidos, monophasique.
      Indice de Pearl (nombre de grossesse sur 100 annes-femmes) : 0,05 pour cent annes-femmes (25 970 cycles).

    1. ***
      Contraception orale.
    2. CONTRACEPTION ORALE

    1. ACCIDENT THROMBOEMBOLIQUE (RARE)
      Artriel (en particulier infarctus du myocarde, accident vasculaire crbral).
      Veineux (phlbite, embolie pulmonaire).
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement.
    2. INFARCTUS DU MYOCARDE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement.
    3. ACCIDENT VASCULAIRE CEREBRAL (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement.
    4. PHLEBITE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement.
    5. EMBOLIE PULMONAIRE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement.
    6. HYPERTENSION ARTERIELLE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement.
    7. INSUFFISANCE CORONARIENNE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement.
    8. LIPIDEMIE(AUGMENTATION) (RARE)
      Hypertriglyceridmie et/ou hypercholesterolmie.
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement.
    9. HYPERTRIGLYCERIDEMIE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement.
    10. HYPERCHOLESTEROLEMIE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement.
    11. DIABETE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement.
    12. MASTODYNIE (RARE)
      Svre.
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement.
    13. MASTOPATHIE (RARE)
      Bnigne.
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement.
    14. ADENOME HYPOPHYSAIRE A PROLACTINE (RARE)
      Eventuellement rvl par une galactorrhe.
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement.
    15. CEPHALEE (RARE)
      Importante et inhabituelle.
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement.
      Banale.
      Effet plus frquent, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif.
    16. MIGRAINE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement.
    17. VERTIGE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement.
    18. MODIFICATIONS DE LA VISION (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement.
    19. COMITIALITE(AGGRAVATION) (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement.
    20. ADENOME HEPATIQUE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement.
    21. ICTERE CHOLESTATIQUE (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement.
    22. CHLOASMA (RARE)
      Effet relativement rare mais devant faire interrompre le traitement.
    23. NAUSEE (FREQUENT)
      Effet plus frquent, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif.
    24. POIDS(AUGMENTATION) (FREQUENT)
      Effet plus frquent, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif.
    25. IRRITABILITE (FREQUENT)
      Effet plus frquent, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif.
    26. JAMBE LOURDE (FREQUENT)
      Effet plus frquent, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif.
    27. TENSION MAMMAIRE (FREQUENT)
      Effet plus frquent, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif.
    28. SPOTTING (FREQUENT)
      Saignements intermenstruels.
      Effet plus frquent, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif.
    29. OLIGOMENORRHEE (FREQUENT)
      Effet plus frquent, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif.
    30. AMENORRHEE (FREQUENT)
      Effet plus frquent, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif.
    31. TROUBLE DE LA LIBIDO (FREQUENT)
      Effet plus frquent, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif.
    32. INTOLERANCE AUX LENTILLES DE CONTACT (FREQUENT)
      Effet plus frquent, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif.
    33. ACNE (RARE)
    34. SEBORRHEE (RARE)
    35. HYPERTRICHOSE (RARE)
    36. LITHIASE BILIAIRE
    37. AMENORRHEE POST-THERAPEUTIQUE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      ARRET DU TRAITEMENT

      Des amnorrhes avec anovulation (survenant plus volontiers chez les femmes ayant des antcdents de cycles irrguliers) peuvent s’observer l’arrt du traitement. Elles cdent en gnral spontanment. En cas de prolongation, avant toute nouvelle prescription, la recherche d’une ventuelle pathologie hypophysaire s’impose.

    1. MISE EN GARDE
      Risque thromboembolique artriel et veineux :
      Avant la prescription d’une contraception orale estroprogestative, il importe de rechercher systmatiquement les facteurs de risque thromboembolique artriel et veineux, et de prendre en compte les contre-indications ou prcautions d’emploi.
      La survenue de symptmes pouvant faire craindre l’imminence d’une complication impose l’arrt du traitement : cphales importantes et inhabituelles, troubles oculaires, lvation de la tension artrielle, signes cliniques de phlbite et d’embolie pulmonaire.
      – Risque thromboembolique veineux :
      Des tudes pidmiologiques ont montr que l’utilisation d’un contraceptif oral augmente faiblement le risque thromboembolique veineux. Cependant, ce risque est infrieur celui associ la grossesse.
      De plus, chez les utilisatrices de contraceptifs oraux de 3 e gnration contenant un progestatif tel que dsogestrel ou gestodne, une lgre augmentation du risque thromboembolique veineux par rapport aux femmes utilisant une contraception orale de 2 e gnration comprenant un progestatif tel que lvonorgestrel, lynestrol ou northistrone a t observe dans certaines tudes pidmiologiques.
      Ces rsultats pourraient tre en partie expliqus par des biais ou des facteurs de confusion. En particulier, l’augmentation apparente du risque pourrait tre due une prescription prfrentielle des contraceptifs oraux de 3 e gnration des femmes prsentant plus de risque de dvelopper des thromboses veineuses.
      Les facteurs de risque thromboembolique veineux sont :
      – les antcdents personnels thromboemboliques avec ou sans facteur dclenchant, l’obsit (indice de masse corporelle > ou = 30 kg/m 2 ) qui sont des contre-indications (cf Contre-indications) ;
      – l’intervention chirurgicale, l’alitement et le post-partum :
      En cas d’intervention chirurgicale prvue, il convient d’interrompre l’estroprogestatif un mois l’avance.
      En cas d’immobilisation prolonge, le traitement sera galement interrompu.
      En post-partum jusqu’au retour de couches, il est souhaitable d’utiliser une autre mthode contraceptive (contraception mcanique ou contraception orale progestative microdose) ;
      – les antcdents familiaux :
      En cas d’antcdents familiaux thromboemboliques veineux (ayant touch un ou plusieurs sujets de moins de 50 ans), il peut tre utile, avant la prescription de la contraception estroprogestative, de rechercher une anomalie favorisant la thrombose veineuse ;
      – les varices.

      – Risque thromboembolique artriel :
      Les donnes disponibles sur le risque d’infarctus du myocarde ne permettent pas de conclure un risque diffrent entre les utilisatrices de contraceptifs oraux de 2 e et de 3 e gnration mais un risque moindre pourrait exister chez les utilisatrices de contraceptifs oraux de 3 e gnration.
      Le risque thromboembolique artriel associ la prise de contraceptifs oraux augmente avec l’ge et le tabagisme. C’est pourquoi les femmes de plus de 35 ans sous contraceptif oral doivent imprativement cesser de fumer.
      Les autres facteurs de risque thromboembolique artriel sont :
      – certaines affections cardiovasculaires : HTA, coronaropathies, valvulopathies, troubles du rythme thrombognes ; le diabte ; les dyslipidmies qui sont des contre-indications (cf Contre-indications) ;
      – l’ge : le risque thrombotique artriel augmentant avec l’ge, le rapport bnfice/risque de cette contraception devra tre rvalu individuellement partir de 35 ans.

      Cancers gyncologiques :
      – Une mta-analyse regroupant les donnes de 54 tudes internationales a mis en vidence une lgre augmentation du risque de cancer du sein chez les utilisatrices de contraceptifs oraux.
      L’augmentation du risque ne semble pas dpendante de la dure d’utilisation ni de l’existence de facteurs de risque tels que la nulliparit et les antcdents familiaux de cancer du sein. Cette augmentation est transitoire et disparat 10 ans aprs l’arrt de son utilisation.
      La surveillance clinique plus rgulire des femmes sous contraceptif oral, permettant un diagnostic plus prcoce, pourrait jouer un rle important dans l’augmentation du nombre de cancers du sein diagnostiqus.
      Les donnes publies ne sont pas de nature remettre en cause l’utilisation des contraceptifs oraux dont les bnfices sont nettement suprieurs aux risques ventuels.
      Par ailleurs, la contraception orale diminue le risque de cancer de l’ovaire et de l’utrus (endomtre).

    2. SURVEILLANCE MEDICALE
      Un examen mdical est ncessaire avant et pendant le traitement ; les contrles porteront essentiellement sur : poids, tension artrielle, seins, appareil gnital, frottis cervicovaginaux, triglycridmie et cholestrolmie, glycmie.
    3. EPILEPSIE
      Une surveillance attentive doit tre exerce.
    4. MIGRAINE
      Une surveillance attentive doit tre exerce.
    5. ASTHME
      Une surveillance attentive doit tre exerce.
    6. ANTECEDENTS VASCULAIRES
      Arteriels familiaux.
      Une surveillance attentive doit tre exerce.
    7. VARICES
      Une surveillance attentive doit tre exerce.
    8. TROUBLES DIGESTIFS INTERCURRENTS
      La survenue de troubles digestifs intercurrents dans les 4 heures suivant la prise, tels que vomissements ou diarrhe svre, peut entraner une inefficacit transitoire de la mthode et imposer la conduite tenir prconise en cas d’oubli de moins de 12 heures. Si ces pisodes se rptent sur plusieurs jours, il est alors ncessaire d’associer une autre mthode contraceptive, en particulier de type mcanique (prservatifs masculins, spermicides…) jusqu’ la reprise de la plaquette suivante.
    9. VOMISSEMENTS
      La survenue de troubles digestifs intercurrents dans les 4 heures suivant la prise, tels que vomissements ou diarrhe svre, peut entraner une inefficacit transitoire de la mthode et imposer la conduite tenir prconise en cas d’oubli de moins de 12 heures. Si ces pisodes se rptent sur plusieurs jours, il est alors ncessaire d’associer une autre mthode contraceptive, en particulier de type mcanique (prservatifs masculins, spermicides…) jusqu’ la reprise de la plaquette suivante.
    10. DIARRHEE
      La survenue de troubles digestifs intercurrents dans les 4 heures suivant la prise, tels que vomissements ou diarrhe svre, peut entraner une inefficacit transitoire de la mthode et imposer la conduite tenir prconise en cas d’oubli de moins de 12 heures. Si ces pisodes se rptent sur plusieurs jours, il est alors ncessaire d’associer une autre mthode contraceptive, en particulier de type mcanique (prservatifs masculins, spermicides…) jusqu’ la reprise de la plaquette suivante.
    11. METRORRAGIE
      Des mtrorragies et des spottings peuvent apparatre, plus particulirement pendant les premiers mois d’utilisation. Ils cessent en gnral spontanment et il n’y a pas lieu d’interrompre le traitement. Si ces saignements persistent ou apparaissent pour la premire fois aprs une utilisation prolonge, la recherche d’une ventuelle cause organique s’impose.
    12. SAIGNEMENTS VAGINAUX
      Des mtrorragies et des spottings peuvent apparatre, plus particulirement pendant les premiers mois d’utilisation. Ils cessent en gnral spontanment et il n’y a pas lieu d’interrompre le traitement. Si ces saignements persistent ou apparaissent pour la premire fois aprs une utilisation prolonge, la recherche d’une ventuelle cause organique s’impose.
    13. CHLOASMA
      En cas de chloasma apparu lors d’une grossesse, il est recommand d’viter les expositions solaires.
    14. GROSSESSE
      Ce mdicament n’est pas indiqu pendant la grossesse.
      En clinique, la diffrence du dithylstilbestrol, les rsultats de nombreuses tudes pidmiologiques permettent d’carter, ce jour, un risque malformatif des estrognes seuls ou en association, en dbut de grossesse.
      Par ailleurs, les risques portant sur la diffrenciation sexuelle du foetus (en particulier fminin), risques dcrits avec d’anciens progestatifs trs andrognomimtiques, n’ont pas lieu d’tre extrapols aux progestatifs rcents comme celui prsent dans cette spcialit, nettement moins voire pas du tout andrognomimtiques.
      En consquence, la dcouverte d’une grossesse sous estroprogestatifs n’en justifie pas l’interruption.

    1. ACCIDENT THROMBOEMBOLIQUE
      Arteriel, en particulier infarctus du myocarde, accident vasculaire crbral.
      Veineux : phlbite, embolie pulmonaire avec ou sans facteur dclenchant.
    2. ANTECEDENTS THROMBOEMBOLIQUES
      Arteriels, en particulier infarctus du myocarde, accident vasculaire crbral.
      Veineux : phlbite, embolie pulmonaire avec ou sans facteur dclenchant.
    3. AFFECTIONS CARDIOVASCULAIRES
      Hypertension artrielle, coronaropathies, valvulopathies, troubles du rythme thrombognes.
    4. HYPERTENSION ARTERIELLE
    5. CORONAROPATHIE
    6. VALVULOPATHIE
    7. TROUBLES DU RYTHME THROMBOGENES
    8. ACCIDENTS OCULAIRES D’ORIGINE VASCULAIRE
    9. DIABETE SEVERE
      Diabte compliqu de micro- ou de macro-angiopathie.
    10. SEIN(TUMEUR MALIGNE)
    11. TUMEUR DE L’UTERUS
      Maligne.
    12. AFFECTIONS HEPATIQUES
      Svres ou rcentes.
    13. TUMEUR HYPOPHYSAIRE
    14. HEMORRAGIES GENITALES NON DIAGNOSTIQUEES
    15. CONNECTIVITE
    16. PORPHYRIE
    17. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      *ritonavir : risque de diminution de l’efficacit contraceptive par diminution des concentrations en estrognes. Utiliser une autre mthode contraceptive.
    18. TABAGISME (relative)
    19. AFFECTIONS METABOLIQUES (relative)
      Diabte non compliqu, hyperlipidmies (hypertriglyceridmies, hypercholestrolmie).
    20. DIABETE (relative)
      Non compliqu.
    21. HYPERLIPEMIES (relative)
    22. HYPERTRIGLYCERIDEMIE (relative)
    23. OBESITE (relative)
      Indice de masse corporelle = Poids/Taille au carr > ou = 30 kg/m2).
    24. OTOSCLEROSE (relative)
    25. SEIN(TUMEUR BENIGNE) (relative)
    26. DYSTROPHIE UTERINE (relative)
      Hyperplasie, fibrome.
    27. HYPERPLASIE UTERINE (relative)
    28. FIBROME UTERIN (relative)
    29. HYPERPROLACTINEMIE (relative)
      Avec ou sans galactorrhe.
    30. INSUFFISANCE RENALE (relative)
    31. CHOLESTASE (relative)
      Rcurrente.
    32. PRURIT GRAVIDIQUE(ANTECEDENTS) (relative)
      Prurit rcidivant lors d’une grossesse antrieure.
    33. HERPES GRAVIDIQUE (relative)
      Herps gestationis.
    34. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE (relative)
      Associations dconseilles :
      – Inducteurs enzymatiques : anticonvulsivants (phnobarbital, phnytone, primidone, carbamazpine) ; rifabutine, rifampicine, grisofulvine : diminution de l’efficacit contraceptive par augmentation du mtabolisme hpatique pendant le traitement et un cycle aprs l’arrt du traitement. Utiliser de prfrence une autre mthode contraceptive, en particulier de type mcanique.
    35. ALLAITEMENT (relative)
      En cas d’allaitement, l’utilisation de ce mdicament est dconseill en raison du passage des estroprogestatifs dans le lait maternel.
      Si la femme dsire allaiter, un autre moyen de contraception doit tre propos.

    Signes de l’intoxication :

    1. NAUSEE
    2. VOMISSEMENT
    3. TROUBLE MENSTRUEL

    Traitement

    Le surdosage peut se manifester par des signes digestifs (nauses, vomissements…) et des troubles du cycle.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie :
    Prendre rgulirement et sans oubli 1 comprim par jour au mme moment de la journe, pendant 21 jours conscutifs, avec un arrt de 7 jours entre chaque plaquette.

    Dbut de contraception orale :
    1er comprim prendre le 1er jour des
    rgles.
    Relais d’un autre estroprogestatif :
    1er comprim : aprs un arrt de 7 jours si la prcdente plaquette contenait 21 comprims (6 jours si elle en contenait 22 et sans intervalle si elle en contenait 28). En cas d’absence d’hmorragie de
    privation pendant les 6 ou 7 jours qui suivent l’arrt de la pilule prcdente, s’assurer de l’absence de grossesse avant de commencer le traitement.

    Cas d’oubli d’un ou de plusieurs comprims :
    L’oubli d’un comprim expose un risque de grossesse.
    Si
    l’oubli est constat dans les 12 heures qui suivent l’heure habituelle de la prise, prendre immdiatement le comprim oubli et poursuivre le traitement normalement en prenant le comprim suivant l’heure habituelle.
    Si l’oubli est constat plus de 12
    heures aprs l’heure normale de la prise, la scurit contraceptive n’est plus assure. Prendre immdiatement le dernier comprim oubli et poursuivre le traitement contraceptif oral jusqu’ la fin de la plaquette, en utilisant simultanment une mthode
    contraceptive de type mcanique (prservatifs, spermicides…) jusqu’ la reprise de la plaquette suivante, y compris pendant les rgles.


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