ELAVIL 25 mg comprimés pelliculés

Donnez-nous votre avis

ELAVIL 25 mg comprimés pelliculés

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 12/3/2001

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COMPRIMES PELLICULES

    Usage : adulte, enfant + de 6 ans

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : MERCK SHARP & DOHME-CHIBRET

    Produit(s) : ELAVIL

    Evénements :

    1. mise sur le marché 15/12/1963
    2. octroi d’AMM 22/3/1967
    3. publication JO de l’AMM 7/9/1967
    4. validation de l’AMM 16/8/1994
    5. rectificatif d’AMM 5/4/2000

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 303516-3

    1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    60
    unité(s)
    PVC/alu
    jaune

    Evénements :

    1. inscription SS 26/9/1963
    2. agrément collectivités 5/12/1963


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 9.94 F

    Prix public TTC : 17 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIDEPRESSEUR (INHIB. NON SEL. DU RECAPTA. DE MONOAMINE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : N06A-A09.
      Les effets biochimiques, vraisemblablement à l’origine de l’effet thérapeutique, reposent sur une diminution du recaptage présynaptique de la noradrénaline et de la sérotonine dont la transmission synaptique est facilitée.
      L’effet sédatif est en rapport avec la composante histaminergique de la molécule.
      Par ailleurs, celle-ci exerce un effet anticholinergique central et périphérique, à l’origine d’effets indésirables.
      Les propriétés adrénolytiques peuvent provoquer une hypotension orthostatique.
      L’amélioration portant spécifiquement sur l’humeur est souvent retardée par rapport aux améliorations symptomatiques telles que le ralentissement idéomoteur, l’insomnie ou l’anxiété. Cette notion doit être prise en compte avant l’interruption d’un traitement pour raison d’inefficacité, ainsi que dans l’ajustement des doses efficaces.
      *** Propriétés Pharmacocinétiques :
      – Absorption :
      La biodisponibilité de l’amitriptyline est variable d’un sujet à l’autre (de 25 à 50 % environ), en raison d’un effet de premier passage hépatique important.
      – Distribution :
      Le volume de distribution est élevé et varie de 7 à 22 l/kg. La clairance plasmatique de l’amitriptyline, calculée après administration intraveineuse, est de 0,75 l/min.
      L’amitriptyline passe la barrière hémato-encéphalique et vraisemblablement dans le lait maternel.
      Liaison aux protéines plasmatiques : la liaison aux protéines plasmatiques est importante, en moyenne de 90 %.
      Demi-vie d’élimination : la demi-vie d’élimination plasmatique de l’amitriptyline varie d’un sujet à l’autre ; elle est comprise entre 22 et 40 heures.
      – Métabolisme :
      Le foie joue un rôle majeur dans le processus de métabolisation des antidépresseurs imipraminiques : captation (effet de premier passage) puis biotransformation intense, ce qui explique la forte valeur de la clairance plasmatique, rapportée au débit sanguin hépatique (1,5 l/min) et la quasi-absence de composés actifs retrouvés au niveau urinaire.
      Le métabolite principal (pour 40 %) de l’amitriptyline est la nortriptyline, composé actif, dont la demi-vie est plus longue que celle de la molécule mère. L’hydroxylation de ces deux molécules donne naissance à d’autres métabolites actifs. Leur inactivation se fait par glucuro ou sulfoconjugaison, aboutissant à des substances hydrosolubles éliminées dans les urines.
      – Elimination :
      80 % des conjugués hydrosolubles sont excrétés dans l’urine et 20 % dans les fèces. Moins de 1 % de la dose administrée est excrété sous forme inchangée.
      – Relation concentration-activité :
      La fourchette thérapeutique communément retenue se situe entre 120 et 250 ng/ml pour la somme amitriptyline/nortriptyline. En pratique courante, le dosage plasmatique n’est pas nécessaire pour assurer le suivi thérapeutique. Toutefois, on distingue 2 groupes de malades pour lesquels le monitoring des concentrations plasmatiques peut être souhaitable :
      . les patients à risque : sujet âgé, pathologie cardiaque, hépatique, rénale, enfant…
      . les patients résistant au traitement ou chez lesquels les effets indésirables sont marqués ou encore polymédiqués.
      – Populations à risque :
      . Sujet âgé : le métabolisme hépatique diminue et donc la clairance totale avec augmentation des concentrations à l’équilibre, de la fraction libre et des demi-vies. Il importe alors de diminuer les doses, au moins dans un premier temps.
      . Insuffisants hépatiques et rénaux : il convient de diminuer la posologie de l’amitriptyline.

    1. ***
      – Episodes dépressifs majeurs (c’est-à-dire caractérisés), y compris les épisodes sévères chez les patients hospitalisés.
      – Enurésie nocturne de l’enfant dans le cas ou toute pathologie organique a été exclue.
    2. DEPRESSION
    3. ENURESIE

    1. COMMENTAIRE GENERAL
      Les effets indésirables découlent pour la plupart des propriétés pharmacologiques des antidépresseurs imipraminiques.
      Certains de ces effets indésirables peuvent être prévenus ou combattus par des thérapeutiques adjuvantes ou correctrices, voire une réduction de la posologie.
      Dans le cas de l’énurésie, les posologies préconisées sont faibles par rapport à celles utilisées dans la dépression et les effets indésirables sont moins marqués.
    2. SECHERESSE DE LA BOUCHE
      – lié aux effets périphériques de la molécule : habituellement bénin et cédant le plus souvent à la poursuite du traitement ou à une réduction de la posologie.
      – effet anticholinergique.
    3. CONSTIPATION
      – lié aux effets périphériques de la molécule : habituellement bénin et cédant le plus souvent à la poursuite du traitement ou à une réduction de la posologie.
      – effet anticholinergique.
    4. TROUBLE DE L’ACCOMMODATION
      – lié aux effets périphériques de la molécule : habituellement bénin et cédant le plus souvent à la poursuite du traitement ou à une réduction de la posologie.
      – effet anticholinergique.
    5. TACHYCARDIE
      – lié aux effets périphériques de la molécule : habituellement bénin et cédant le plus souvent à la poursuite du traitement ou à une réduction de la posologie.
      – effet anticholinergique.
    6. HYPERSUDATION
      – lié aux effets périphériques de la molécule : habituellement bénin et cédant le plus souvent à la poursuite du traitement ou à une réduction de la posologie.
      – effet anticholinergique.
    7. TROUBLE DE LA MICTION
      Et éventuellement rétention urinaire.
      – lié aux effets périphériques de la molécule : habituellement bénin et cédant le plus souvent à la poursuite du traitement ou à une réduction de la posologie.
      – effet anticholinergique.
    8. HYPOTENSION ORTHOSTATIQUE
      – lié aux effets périphériques de la molécule : habituellement bénin et cédant le plus souvent à la poursuite du traitement ou à une réduction de la posologie.
      – effet adrénolytique.
    9. IMPUISSANCE
      – lié aux effets périphériques de la molécule : habituellement bénin et cédant le plus souvent à la poursuite du traitement ou à une réduction de la posologie.
      – effet adrénolytique.
    10. SOMNOLENCE (FREQUENT)
      – effet antihistaminique plus marqué en début de traitement
      – effet secondaire lié aux effets centraux
    11. SEDATION (FREQUENT)
      – effet antihistaminique plus marqué en début de traitement
      – effet secondaire lié aux effets centraux
    12. TREMBLEMENT (RARE)
      Effet secondaire lié aux effets centraux.
    13. CRISE CONVULSIVE (RARE)
      – effet secondaire lié aux effets centraux
      – sur terrain prédisposé.
    14. CONFUSION MENTALE (RARE)
      – transitoires
      – effet secondaire lié aux effets centraux
    15. SYNDROME SEROTONINERGIQUE (RARE)
      Lié aux effets centraux.
      En association aux IMAO non sélectifs et sélectifs A : risque d’apparition d’un syndrome sérotoninergique*.
      * Syndrome sérotoninergique :
      Certains surdosages ou certains médicaments (lithium) peuvent donner lieu à un syndrome sérotoninergique justifiant l’arrêt immédiat du traitement. Celui-ci se manifeste par l’apparition (éventuellement brutale) simultanée ou séquentielle, d’un ensemble de symptômes pouvant nécessiter l’hospitalisation voire entraîner le décès. Ces symptômes peuvent être d’ordre :
      – psychiques (agitation, confusion, hypomanie, éventuellement coma),
      – moteurs (myoclonies, tremblements, hyperréflexie, rigidité, hyperactivité),
      – végétatifs (hypo- ou hypertension, tachycardie, frissons, hyperthermie, sueurs).
      – digestifs (diarrhée).
      Le strict respect des doses préconisées constitue un facteur essentiel dans la prévention de l’apparition de ce syndrome.
    16. LEVEE DE L’INHIBITION PSYCHOMOTRICE
      Avec risque suicidaire.
      Effet secondaire lié à la nature même de la maladie dépressive.
    17. ACCES MANIAQUE
      Avec apparition d’épisodes maniaques.
      Effet secondaire lié à la nature même de la maladie dépressive.
    18. DELIRE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      SUJET PSYCHOTIQUE

      Réactivation d’un délire chez les sujets psychotiques.
      Effet secondaire lié à la nature même de la maladie traitée.

    19. POIDS(AUGMENTATION)
      Possible.
    20. TROUBLE DE LA CONDUCTION CARDIAQUE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DOSES ELEVEES

      Possible.

    21. ARYTHMIE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DOSES ELEVEES
    22. TROUBLE ENDOCRINIEN
    23. VOLUME MAMMAIRE(AUGMENTATION)
    24. GALACTORRHEE
    25. BOUFFEE DE CHALEUR
    26. REACTION ALLERGIQUE CUTANEE
      Possible.
    27. DYSARTHRIE
      Possible.
    28. HEPATITE CHOLESTATIQUE (EXCEPTIONNEL)
    29. HEPATITE CYTOLYTIQUE (EXCEPTIONNEL)
    30. EOSINOPHILIE
    31. LEUCOPENIE
    32. AGRANULOCYTOSE
    33. THROMBOPENIE
    34. SYNCOPE

    1. MISE EN GARDE
      – Risque suicidaire:

      Comme lors de tout traitement par antidépresseur, le risque suicidaire chez les patients déprimés persiste en début de traitement, la levée de l’inhibition psychomotrice pouvant précéder l’action antidépressive proprement dite.

      – Syndrome de sevrage :

      De rares cas de syndrome de sevrage (céphalées, malaises, nausées, anxiété, troubles du sommeil) ayant été observés à l’arrêt du traitement, il est recommandé de réduire progressivement les doses et de surveiller tout particulièrement le patient durant cette période.
    2. DEBUT DE TRAITEMENT
      Insomnie ou nervosité en début de traitement peuvent justifier une diminution de la posologie ou un traitement transitoire symptomatique.
    3. ACCES MANIAQUE
      En cas de virage maniaque franc, le traitement par l’amitriptyline sera interrompu, et le plus souvent, un neuroleptique sédatif sera prescrit.
    4. EPILEPSIE
      Chez les patients épileptiques ou ayant des antécédents d’épilepsie, il est prudent de renforcer la surveillance clinique et électrique en raison de la possibilité d’abaissement du seuil épileptogène. La survenue de crises convulsives impose l’arrêt du traitement.
    5. SUJET AGE
      L’amitriptyline doit être utilisée avec prudence :

      chez le sujet âgé présentant :

      – une plus grande sensibilité à l’hypotension orthostatique et à la sédation,

      – une constipation chronique (risque d’iléus paralytique),
      – une éventuelle hypertrophie prostatique.
    6. TROUBLES CARDIOVASCULAIRES
      L’amitriptyline doit être utilisée avec prudence :

      chez les sujets porteurs de certaines affections cardiovascualires, en raison des effets quinidiniques, tachycardisants et hypotenseurs de cette classe de produits.
    7. AFFECTIONS HEPATIQUES
      Risque de surdosage.
    8. AFFECTIONS RENALES
      Risque de surdosage.
    9. GROSSESSE
      – Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.
      – En clinique, les résultats des études épidémiologiques menées sur des effectifs restreints de femmes semblent exclure, à ce jour, un risque malformatif particulier pour l’imipramine ou l’amitriptyline. Chez les nouveau-nés de mères traitées au long cours par de fortes posologies d’antidépresseurs imipraminiques ont été décrits des signes d’imprégnation atropinique : hyperexcitabilité, distension abdominale, iléus méconial, retard à l’émission du méconium, difficulté de la mise en route de l’alimentation, tachycardies, troubles neurologiques… et des cas de détresse respiratoire.
      – En conséquence :
      . la grossesse est l’occasion de peser à nouveau l’indication du traitement antidépresseur, administré, si possible, en monothérapie ;
      . le risque tératogène, s’il existe, semble faible ;
      . si possible, il est souhaitable de diminuer les posologies en fin de grossesse en raison des effets atropiniques de ces antidépresseurs ;
      . il semble justifié d’observer une période de surveillance des fonctions neurologiques et digestives du nouveau-né.
    10. ALLAITEMENT
      Le passage dans le lait maternel est mal connu mais probablement faible; néanmoins, par mesure de précaution, l’allaitement est à éviter pendant la durée du traitement.
    11. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      Ce médicament peut affaiblir les facultés mentales et physiques nécessaires à l’excécution de certaines tâches dangereuses, telles que la manipulation d’appareils ou la conduite de véhicules à moteur.

    1. HYPERSENSIBILITE A CE PRODUIT
    2. ANGLE IRIDOCORNEEN ETROIT
      Risque de glaucome par fermeture de l’angle
    3. TROUBLES URETRO-PROSTATIQUES
      Risque de rétention urinaire lié à des troubles urétro-prostatiques.
    4. INFARCTUS DU MYOCARDE RECENT
    5. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      Association aux IMAO non sélectifs (iproniazide, nialamide) et au sultopride.
      Contre-indications relatives : association avec les IMAO-A (moclobémide, toloxatone), l’alcool, la clonidine et apparentés, l’adrénaline et la noradrénaline par voie parentérale.
    6. GALACTOSEMIE
      En raison de la présence de lactose, ce médicament est contre-indiqué en cas de galactosémie congénitale.
    7. MALABSORPTION DES SUCRES
      En raison de la présence de lactose, ce médicament est contre-indiqué en cas de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactase.

    Signes de l’intoxication :

    1. TROUBLE CARDIOVASCULAIRE
    2. TROUBLE DE LA CONDUCTION CARDIAQUE
    3. COMA

    Traitement

    En cas de surdosage volontaire ou accidentel, on observe des manifestations cardiovasculaires sévères (essentiellement troubles de la conduction conditionnant la gravité de l’intoxication), ainsi qu’un renforcement des symptômes anticholinergiques,
    éventuellement un état confusionnel ou un coma (parfois retardé). Il y a lieu, dans ce cas, de faire hospitaliser immédiatement le malade dans un service spécialisé et de faire évacuer le produit ingéré.
    La prise en charge doit comporter un traitement
    symptomatique et une surveillance des fonctions vitales, notamment cardiaques et respiratoires, pendant au moins cinq jours.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    – Dépression :
    La posologie usuelle pour le traitement de la dépression varie de 75 à 150 mg par jour.
    * La posologie initiale est le plus souvent de 75 mg mais elle peut être adaptée individuellement dans la fourchette des doses
    recommandées. Cette posologie sera éventuellement réévaluée après 3 semaines de traitement effectif à doses efficaces.
    En psychiatrie infantile, la dose quotidienne efficace est inférieure ou égale à 1 mg/kg de poids corporel.
    Les caractéristiques
    pharmacocinétiques de ce médicament autorisent une seule prise journalière, pendant les repas ou à distance de ceux-ci.
    La prise la plus importante peut être donnée le soir pour faciliter le sommeil.
    * Durée de traitment :
    Le traitement par
    antidépresseur est symptomatique. Le traitement d’un épisode est de plusieurs mois (habituellement de l’ordre de 6 mois) afin de prévenir les risques de rechute de l’épisode dépressif.
    * Traitements psychotropes associés :
    L’adjonction d’un traitement
    sédatif ou anxiolytique peut être utile en début de traitement, afin de couvrir la survenue ou l’aggravation de manifestations d’angoisse. Toutefois, les anxiolytiques ne protègent pas forcément de la levée de l’inhibition.
    – Enurésie (à partir de 6
    ans) :
    La posologie varie en fonction de l’âge, la dose quotidienne étant administrée au coucher :
    . enfantde 6 à 10 ans : 10 à 20 mg par jour,
    . enfant de 11 à 16 ans : 25 à 50 mg par jour.
    Les posologies préconisées sont faibles par rapport à celle
    utilisées dans la dépression.
    La sédation est mise à profit en administrant le médicament le soir au coucher, et l’effet anticholinergique périphérique constitue un avantage dans cette indication.

    .
    Posologie particulière :
    – Sujet âgé :
    Le
    traitement sera initié à posologie faible, c’est à dire en pratique à la moitié de la posologie minimale recommandée. L’augmentation des doses, si nécessaire, sera progressive, en pratiquant une surveillance clinique : les effets indésirables des
    imipraminiques peuvent en effet avoir des conséquences graves chez la personne âgée (chutes, confusions).
    – Insuffisants hépatiques et rénaux :
    Il convient de diminuer la posologie.


    Retour à la page d’accueil

Similar Posts