SINEQUAN 50 mg glules (arrt de commercialisation)

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SINEQUAN 50 mg glules (arrt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 18/9/1998

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : GELULES

    Etat : arrt de commercialisation

    Laboratoire : PFIZER

    Produit(s) : SINEQUAN

    Evénements :

    1. mise sur le march 1/1/1971
    2. octroi d’AMM 28/1/1971
    3. publication JO de l’AMM 22/6/1971
    4. validation de l’AMM 16/9/1986
    5. arrt de commercialisation 1/7/1995

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 309652-6

    3
    plaquette(s) thermoforme(s)
    10
    unit(s)
    PVC/alu

    Evénements :

    1. inscription liste sub. vnneuses 21/11/1970
    2. agrment collectivits 29/4/1971
    3. inscription SS 29/4/1971
    4. arrt de commercialisation 1/7/1995
    5. radiation collectivits 19/1/1996
    6. radiation SS 16/3/1996


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 60
    mois

    Régime : liste I

    Prix Pharmacien HT : 18.54 F

    Prix public TTC : 29 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIDEPRESSEUR (INHIB. NON SEL. DU RECAPTA. DE MONOAMINE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : N06A-A12.
      Les effets biochimiques, vraissemblablement l’origine de l’effet thrapeutique, reposent sur une diminution du recaptage prsynaptique de la noradrnaline dont la transmission synaptique est facilite.
      L’effet sdatif est en rapport avec la composante histaminergique de la molcule.
      Par ailleurs, celle-ci exerce un effet anticholinergique central et priphrique, l’origine d’effets indsirables.
      Les proprits adrnolytiques peuvent provoquer une hypotension orthostatique.
      L’amlioration portant spcifiquement sur l’humeur est souvent retarde par rapport aux amliorations symptomatiques tels que le ralentissement idomoteur, l’insomnie ou l’anxit.
      Cette notion doit tre prise en compte avant l’interruption d’un traitement pour raison d’inefficacit, ainsi que dans l’ajustement des doses efficaces.

    1. ***
      Episodes dpressifs majeurs (c’est–dire caractriss).
    2. DEPRESSION

    1. SECHERESSE DE LA BOUCHE
      Effet secondaire li aux effets priphriques de la molcule : habituellement bnin et cdant le plus souvent la poursuite du traitement ou une rduction de la posologie.
      Effet anticholinergique.
    2. CONSTIPATION
      Effet secondaire li aux effets priphriques de la molcule : habituellement bnin et cdant le plus souvent la poursuite du traitement ou une rduction de la posologie.
      Effet anticholinergique.
    3. TROUBLE DE L’ACCOMMODATION
      Effet secondaire li aux effets priphriques de la molcule : habituellement bnin et cdant le plus souvent la poursuite du traitement ou une rduction de la posologie.
      Effet anticholinergique.
    4. TACHYCARDIE
      Effet secondaire li aux effets priphriques de la molcule : habituellement bnin et cdant le plus souvent la poursuite du traitement ou une rduction de la posologie.
      Effet anticholinergique.
    5. HYPERSUDATION
      Effet secondaire li aux effets priphriques de la molcule : habituellement bnin et cdant le plus souvent la poursuite du traitement ou une rduction de la posologie.
      Effet anticholinergique.
    6. TROUBLE DE LA MICTION
      Effet secondaire li aux effets priphriques de la molcule : habituellement bnin et cdant le plus souvent la poursuite du traitement ou une rduction de la posologie.
      Effet anticholinergique.
    7. RETENTION D’URINE
      Effet secondaire li aux effets priphriques de la molcule : habituellement bnin et cdant le plus souvent la poursuite du traitement ou une rduction de la posologie.
      Effet anticholinergique.
    8. HYPOTENSION ORTHOSTATIQUE
      Effet secondaire li aux effets priphriques de la molcule : habituellement bnin et cdant le plus souvent la poursuite du traitement ou une rduction de la posologie.
      Effet adrnolytique.
    9. IMPUISSANCE
      Effet secondaire li aux effets priphriques de la molcule : habituellement bnin et cdant le plus souvent la poursuite du traitement ou une rduction de la posologie.
      Effet adrnolytique.
    10. SOMNOLENCE (FREQUENT)
      Li aux effets centraux (effet antihistaminique), plus marque en dbut de traitement.
    11. SEDATION (FREQUENT)
      Li aux effets centraux (effet antihistaminique), plus marque en dbut de traitement.
    12. TREMBLEMENT (PEU FREQUENT)
      Li aux effets centraux.
    13. CRISE CONVULSIVE (PEU FREQUENT)
      sur terrain prdispos. Li aux effets centraux.
    14. CONFUSION MENTALE (PEU FREQUENT)
      transitoire. Li aux effets centraux.
    15. RISQUE SUICIDAIRE
      leve de l’inhibition psychomotrice. Li la nature mme de la maladie dpressive.
    16. ACCES MANIAQUE
      avec apparition d’pisodes maniaques. Li la nature mme de la maladie dpressive.
    17. DELIRE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      PSYCHOTIQUE
    18. POIDS(AUGMENTATION)
    19. TROUBLE DE LA CONDUCTION CARDIAQUE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DOSES ELEVEES
    20. ARYTHMIE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DOSES ELEVEES
    21. VOLUME MAMMAIRE(AUGMENTATION)
    22. GALACTORRHEE
    23. BOUFFEE DE CHALEUR
    24. REACTION ALLERGIQUE CUTANEE
    25. DYSARTHRIE
    26. HEPATITE CHOLESTATIQUE (EXCEPTIONNEL)
    27. HEPATITE CYTOLYTIQUE (EXCEPTIONNEL)
    28. EOSINOPHILIE
    29. LEUCOPENIE
    30. AGRANULOCYTOSE
    31. THROMBOPENIE
    32. SYNCOPE

    1. MISE EN GARDE
      – risque suicidaire :

      Comme lors de tout traitement par antidpresseur, le risque suicidaire chez les patients dprims persiste en dbut de traitement, la leve de l’inhibition psychomotrice pouvant prcder l’action antidpressive proprement dite.

      – syndrome de sevrage :

      De rares cas de syndrome de sevrage (cphales, malaises, nauses, anxit, troubles du sommeil) ayant t observs l’arrt du traitement, il est recommand de rduire progressivement les doses et de surveiller tout particulirement le patient durant cette priode.
    2. DEBUT DE TRAITEMENT
      insomnie ou nervosit en dbut de traitmement peuvent justifier une diminution de la posologie ou un traitement transitoire symptomatique.
    3. ACCES MANIAQUE
      En cas de virage maniaque franc, le traitement par la doxpine sera interrompu et, le plus souvent, un neuroleptique sdatif prescrit.
    4. EPILEPSIE
      Chez les patients pileptiques ou ayant des antcdents d’pilepsie, il est prudent de renforcer la surveillance clinique et lectrique, en raison de la possibilit d’abaissement du seuil pileptogne. La survenue de crises convulsives impose l’arrt du traitment .
    5. SUJET AGE
      La doxpine doit tre utilise avec prudence chez le sujet g prsentant :

      – une plus grande sensibilit l’hypotension orthostatique et la sdation

      – une constipation chronique (risque d’ilus paralytique)

      – une ventuelle hypertrophie prostatique
    6. ANTECEDENTS CARDIAQUES
      La doxpine doit tre utilise avec prudence chez les sujets porteurs de certaines affections cardiovasculaires, en raison des effets quinidiniques, tachycardisants et hypotenseurs de cette classe de produits.
    7. INSUFFISANCE RENALE ET HEPATIQUE
      risque de surdosage.
    8. GROSSESSE
      – Chez l’animal : les tudes exprimentales n’ont pas mis en vidence d’effet tratogne.

      – Dans l’espce humaine : bien que la dopexine n’ait pas t spcifiquement tudie, des tudes pidmiologiques menes sur des effectifs restreints de femmes n’ont pas mis en vidence ce jour un risque malformatif particulier pour l’ imipramine et l’amitriptyline. Chez les nouveaux-ns de mres traites au long cours par de fortes posologies d’antidpresseurs imipraminiques, ont t dcrits des signes d’imprgnation atropinique : hyperexcitabilit, distension abdominale…

      et des cas de dtresse respiratoire.

      Par consquent :

      * la grossesse est l’occasion de peser nouveau l’indication du traitement antidpresseur, administr si possible en monothrapie

      * le risque tratogne s’il existe, semble faible;

      * si possible, il est souhaitable de diminuer les posologies en fin de grossesse en raison des effets atropiniques des antidpresseurs;

      * il semble justifi d’observer une priode de surveillance des fonctions neurologiques et digestives du nouveau-n.
    9. ALLAITEMENT
      Le passage dans le lait maternel est mal connu mais probablement faible; cependant par prudence, l’allaitement est viter pendant la dure du traitement.
    10. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      Ce mdicament peut affaiblir les facults mentales et physiques ncessaires l’excution de certaines tches dangereuses, telles que la manipulation d’appareils ou la conduite d’un vhicule moteur.

    1. HYPERSENSIBILITE
      la doxpine.
    2. GLAUCOME A ANGLE FERME
    3. RETENTION URINAIRE
      li des troubles urtro-prostatiques.
    4. INFARCTUS DU MYOCARDE RECENT
    5. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      Association au sultopride.
      Contre-indications relatives : association avec l’alcool, la clonidine et apparents, l’adrnaline et la noradrnaline par voie parentrale.

    Traitement

    En cas de surdosage volontaire ou accidentel, on observe des manifestations cardiovasculaires svres (essentiellement des troubles de la conduction conditionnant la gravit de l’intoxication), ainsi qu’un renforcement des symptmes anticholinergiques,
    ventuellement un tat confusionnel ou un coma (parfois retard). Il y a lieu dans ce cas, de faire hospitaliser immdiatement le malade dans un service spcialis et de faire vacuer le produit ingr.
    Le traitement symptomatique consiste en une
    ranimation sous troite surveillance cardiaque et respiratoire pendant au moins 5 jours.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – La posologie usuelle est trs variable selon les sujets (svrit de l’pisode dpressif, sujets risque…).Elle est comprise, suivant les cas, entre dix et trois cent mg par jour, mais elle peut tre adapte individuellement
    dans la fourchette des doses recommandes. Cette posologie sera ventuellement rvalue aprs trois semaines de traitement effectif doses efficaces.
    – Sujet g : le traitement sera initi posologie faible, en utilisant les formes faiblement
    doses. L’augmentation des doses, si ncessaire, sera progressive, en pratiquant une surveillance clinique : les effets indsirables des imipraminiques peuvent en effet avoir des consquences graves chez la personne ge (chutes, confusions).
    – Dure de
    traitement : le traitement par antidpresseur est symptomatique. Le traitement d’un pisode est de plusieurs mois (habituellement de l’ordre de six mois) afin de prvenir les risques de rechute de l’pisode dpressif.
    – Traitements psychotropes associs
    : l’adjonction d’un traitement sdatif ou anxiolytique peut tre utile en dbut de traitement, afin de couvrir la survenue ou l’aggravation de manifestations d’angoisse. Toutefois, les anxiolytiques ne protgent pas forcment de la leve de
    l’inhibition.
    .
    Mode d’Emploi :
    Utiliser les dosages adapts de glules (dix, vingt cinq ou cinquante mg) ou la forme solution en fonction de la dose journalire prescrite.
    Les caractristiques pharmacocintiques de ce mdicament autorisent une seule
    prise journalire, pendant les repas ou distance de ceux-ci.
    La prise la plus importante peut tre donne le soir pour faciliter le sommeil.


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