PENTAMIDINE ISETHIONATE

PENTAMIDINE ISETHIONATE

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 26/4/2001
Etat : valide

  • Identification de la substance
  • Propriétés Pharmacologiques
  • Mécanismes d’action
  • Effets Recherchés
  • Indications thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Effets sur la descendance
  • Pharmaco-Dépendance
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie & mode d’administration
  • Pharmaco-Cinétique
  • Bibliographie
  • Spécialités contenant la substance

    Identification de la substance

    Formule Chimique :
    4,4′ (pentamthyl-nedioxy) dibenzamidine bis(2-hydroxythane-sulfonate)

    Ensemble des dénominations


    CAS : 140-64-7

    autre dnomination : PENTAMIDINE DISETIONATE

    autre dnomination : PENTAMIDINE ISETIONATE
    autre dnomination : ISETHIONATE DE PENTAMIDINE

    bordereau : 2850

    code exprimentation : MB 800

    code exprimentation : RP-25132

    sel ou driv : PENTAMIDINE DIMESILATE

    Classes Chimiques

    Molécule(s) de base : PENTAMIDINE

    Regime : liste I

    1. ANTIPARASITAIRE (principale certaine)
    2. ANTIPROTOZOAIRE (principale certaine)
      Actif sur :
      – Leishmania donovani
      – Leishmania tropica
      – Pneumocystis carinii
      – Trypanosoma gambiense
      – Trypanosoma rhodesiense.
    3. ANTIFONGIQUE (secondaire certaine)
    4. ANTINEOPLASIQUE (secondaire certaine)

    Mécanismes d’action

    1. principal
      Mcanisme de l’action trypanocide reste prciser, ne semble pas due une interfrence avec la glycolyse mais plutt une inhibition de la biosynthse de macromolcules.

    1. ANTIPROTOZOAIRE (principal)
    2. ANTIFONGIQUE (principal)

    1. PNEUMONIE A PNEUMOCYSTIS CARINII (principale)
      – Ann Intern Med 1990;113:195-202.
    2. PNEUMONIE A PNEUMOCYSTIS CARINII(PREVENTION) (principale)
      Utilisable en particulier chez les patients atteints de SIDA ou ayant des anticorps anti-VIH et dont le nombre de T4 est infrieur 200/mm3 (indication de l’arosol). La posologie actuelle est de une prise par mois :
      – Prescrire 1990;10:420-421.
      Autres rfrences :
      – Presse Med 1990;19:1762-1766.
      – Am J Med 1991;90:418-426.
      – Am J Med 1993;94:35-40.
      Efficacit comparable de la dapsone, du cotrimoxazole et des arosols de pentamidine (essai randomis) :
      – N Engl J Med 1995;332:693-699.
      Revue de l’emploi par inhalation :
      – Dossiers 1999;20:58-76.
    3. TRYPANOSOMIASE AFRICAINE (principale)
    4. LEISHMANIOSE (principale)
      Notamment kala-azar
    5. LEISHMANIOSE VISCERALE (principale)
      Leishmaniose.

    1. HYPOTENSION ARTERIELLE (CERTAIN RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      VOIE INTRAVEINEUSE

      Bilan aprs 125 cures par voie IV sur 5 ans (106 patients) :
      – Clin Infect Dis 1997;24:854-859.

    2. ELECTROCARDIOGRAMME(ANOMALIE) (CERTAIN FREQUENT)
      Allongement de l’espace QT. Deux cas :
      – Isr J Med Sci 1990;26:588-589.
      Allongement de l’espace QT chez 10 sujets sur 32 traits par voie IV :
      – Am J Cardiol 1991;68:1091-1094.
    3. TORSADE DE POINTES (CERTAIN TRES RARE)
      Deux cas :
      – Am J Med 1987;83:571-576.
      Un cas chez un patient ayant une greffe rnale et trait par immunosuppresseurs :
      – South Med J 1990;83:481-484.
      Quatre cas aprs administration IV et en arosol au cours du traitement de pneumonies Pneumocystis carinii :
      – Am J Cardiol 1990;66:888-889.
      Deux cas sous pentamidine (sel non prcis), en l’absence de prdisposition cardiaque :
      – Am Heart J 1991;122:1489-1492.
      Un cas aprs inhalation de pentamidine (sel non prcis), cinq cas dj dcrits sous pentamidine IV :
      – Ann Emerg Med 1992;21:1403-1305.
      Peuvent survenir plusieurs jours aprs l’arrt des perfusions :
      – Ann Pharmacother 1992;26:1365-1369.
      Un cas rapport :
      – Ann Pharmacother 1994;28:282-283.
    4. ARRET CARDIAQUE (CERTAIN TRES RARE)
      Un cas aprs 18 jours de traitement par voie IV, probablement d des phnomnes de nphrotoxicit et une hyperkalimie :
      – Scand J Infect Dis 1992;24:111-112.
    5. TACHYCARDIE VENTRICULAIRE (CERTAIN RARE)
      – Chest 1988;94:1302-1306.
    6. VERTIGE (CERTAIN TRES RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      VOIE INTRAVEINEUSE
    7. CEPHALEE (CERTAIN TRES RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      VOIE INTRAVEINEUSE
    8. NAUSEE (CERTAIN TRES RARE)
    9. VOMISSEMENT (CERTAIN TRES RARE)
    10. DYSPNEE (CERTAIN TRES RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      VOIE INTRAVEINEUSE
    11. BRONCHOCONSTRICTION (CERTAIN )
      Condition(s) Exclusive(s) :
      AEROSOL

      Serait due l’effet inhibiteur des cholinestrases lors de l’utilisation en arosol :
      – Lancet 1988;2:1425.
      Ncessite d’associer un bronchodilatateur lors de l’utilisation en arosol :
      – Lancet 1988;2:905.
      Existerait chez un quart des sujets traits par arosol.
      Autre publication :
      – Presse Med 1993;22:554.

    12. LIPOTHYMIE (CERTAIN TRES RARE)
    13. PARESTHESIE FACIALE (CERTAIN TRES RARE)
      Un cas. Engourdissement de la face, quelques minutes aprs administration IV, disparaissant 15 minutes aprs l’arrt du traitement. Mme raction observe six reprises les jours suivants :
      – Clin Pharm 1991;10:257.
    14. DIABETE (CERTAIN RARE)
      Un cas chez un patient atteint de SIDA avec utilisation d’insuline :
      – West J Med 1988;149:602-604.
      Quatre cas aprs administration par voie parentrale chez des patients atteints de SIDA :
      – Diabetic Med 1990;7:585-589.
      Deux cas ncessitant un traitement l’insuline aprs administration en arosol :
      – Ann Intern Med 1991;114: 913-914.
      – Br Med J 1990;301:875.
      Un cas de diabte non insulinodpendant aprs 5 mois de traitement IV (sel de pentamidine non prcis) :
      – Diabetes Care 1993;16:931-933.
      Un cas de diabte insulinodpendant, persistant aprs l’arrt du traitement chez un sujet trait pour une pneumopathie Pneumocystis carinii (sel de pentamidine non prcis) :
      – Clin Investigator 1994;72:1027-1029.
      Chez prs de 15% des patients traits pour une pneumonie Pneumocystis carinii (sel de pentamidine non prcis) :
      – Med J Aust 1996;165:587-588.
    15. GLYCEMIE(DIMINUTION) (CERTAIN FREQUENT)
      Hypoglycmie svre et prolonge :
      – Clin Pharm 1983;2:505.
      Un cas mortel aprs deux semaines de traitement.
      – Ann Intern Med 1987;107:790.
      – Am J Med 1989;86:726-728.
      Quatre cas aprs administration par voie parentrale chez des malades atteints de SIDA :
      – Diabetic Med 1990;7:585-589.
      Apparatrait au cours de 50% des cures, et semble favorise par des concentrations plasmatiques leves de pentamidine (>100ng/ml) :
      – Am Rev Resp Dis 1992;146:740-744.
      Autres publications :
      – JAMA 1988;260:345-347.
      – Diabetes 1982;31:40-43.
      – Ann Intern Med 1988;108:490.
      Bilan aprs 125 cures par voie IV sur 5 ans (106 patients) :
      – Clin Infect Dis 1997;24:854-859.
    16. GLYCEMIE(AUGMENTATION) (CERTAIN RARE)
      Bilan aprs 125 cures par voie IV sur 5 ans (106 patients) :
      – Clin Infect Dis 1997;24:854-859.
    17. DOULEUR AU POINT D’INJECTION (CERTAIN FREQUENT)
    18. ULCERATION CUTANEE (CERTAIN TRES RARE)
      Un cas svre lors de l’extravasation conscutive une administration IV :
      – Dermatologica 1991;183:221-224.
    19. KERATOCONJONCTIVITE (CERTAIN )
      Condition(s) Exclusive(s) :
      AEROSOL

      Kratoconjonctivite allergique dcrite chez un malade et chez un membre du personnel hospitalier :
      – Presse Med 1992;21:130-131.

    20. CARENCE EN FOLATES (CERTAIN RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE

      Blocage de la dihydrofolate-rductase :
      – Am J Med 1970;48: 599.
      – Gastroenterol Clin Biol 1978;2: 309.

    21. AMYLASEMIE(AUGMENTATION) (CERTAIN RARE)
      Bilan aprs 125 cures par voie IV sur 5 ans (106 patients) :
      – Clin Infect Dis 1997;24:854-859.
    22. PANCREATITE AIGUE (CERTAIN RARE)
      Deux cas :
      – Arch Intern Med 1981;141:56.
      Un cas mortel :
      – JAMA 1986;256:2383-2385.
      Deux cas aprs utilisation en arosol :
      – BMJ 1989;298:605.
      La frquence pourrait tre fortement accrue chez les hmophiles atteints par le SIDA (5 cas) :
      – Clin Pharm 1991;10:56-59.
      Autre publication :
      – Ann Intern Med 1989;111:691.
      Un cas :
      – Presse Med 1994;23:49.
      Un cas fatal, une semaine aprs instauration du traitement par voie IV (sel de pentamidine non prcis) :
      – Ann Pharmacother 1994;28:52-53.
      Un cas, lors d’un traitement intraveineux, chez un sujet pralablement trait par la didanisine :
      – Ann Pharmacother 1994;28:1025-1028.
    23. PANCREATITE (CERTAIN RARE)
      Un cas rvlant un diabte latent ncessitant l’utilisation pendant 7 mois de l’insuline :
      – Am J Med 1991;91:442.
      Trois cas dcrits :
      – Ann Intern Med 1989;111:691.
      Un cas associ l’utilisation d’arosol :
      – BMJ 1989;298:605.
    24. TOXICITE RENALE (CERTAIN FREQUENT)
      Bilan aprs 125 cures par voie IV sur 5 ans (106 patients) :
      – Clin Infect Dis 1997;24:854-859.
    25. INSUFFISANCE RENALE AIGUE (CERTAIN FREQUENT)
      Souvent associe une hyperkalimie dans le traitement des infections Pneumocystis carinii lies au SIDA. Une surveillance attentive de la kalimie et de la fonction rnale est prconise :
      – Am J Med 1989;87:260-263.
      Nphrotoxicit chez 73% des sujets, hyperkalimie chez 24% des sujets (tude rtrospective portant sur 32 sujets traits pour une pneumonie Pneumocystis carinii) :
      – DICP 1991;25:1171-1174.
    26. UREE SANGUINE(AUGMENTATION) (CERTAIN FREQUENT)
      L’hyperazotmie apparatrait au cours d’un tiers des cures et semble favorise par des concentrations plasmatiques leves de pentamidine (>100ng/ml) :
      – Am Rev Respir Dis 1992;146:740-744.
    27. KALIEMIE(AUGMENTATION) (CERTAIN FREQUENT)
      Souvent associe une insuffisance rnale dans le traitement des infections Pneumocystis carinii lies au SIDA. Une surveillance attentive de la kalimie et de la fonction rnale est prconise :
      – Am J Med 1989;87:260-263 et 698-699.
      Hyperkalimie chez 24% des sujets (tude rtrospective portant sur 32 sujets traits pour une pneumonie Pneumocystis carinii) :
      – DICP 1991;25:1171-1174.
      Bilan aprs 125 cures par voie IV sur 5 ans (106 patients) :
      – Clin Infect Dis 1997;24:854-859.
    28. MAGNESEMIE(DIMINUTION) (CERTAIN RARE)
      Hypomagnsmie par fuite urinaire du magnsium. Un cas :
      – Am J Med 1990;89:380-382.
      – DICP 1990;24,3:239-240.
      – Am J Med 1994;96:63-76.
      Un cas, accompagn de confusion mentale, aprs administration IV :
      – Rev Infect Dis 1991;13:511-512.
      Un cas avec limination urinaire de magnsium fortement accrue ncessitant une supplmentation et accompagne de troubles musculaires (sel de pentamidine non prcis) :
      – AIDS 1992;6:594-595.
      Bilan aprs 125 cures par voie IV sur 5 ans (106 patients) :
      – Clin Infect Dis 1997;24:854-859.
    29. CALCEMIE(DIMINUTION) (CERTAIN RARE)
      Un cas aprs utilisation parentrale :
      – Am J Med 1990;89: 380-382.
      Bilan aprs 125 cures par voie IV sur 5 ans (106 patients) :
      – Clin Infect Dis 1997;24:854-859.
    30. NEUTROPENIE (CERTAIN RARE)
      Bilan aprs 125 cures par voie IV sur 5 ans (106 patients) :
      – Clin Infect Dis 1997;24:854-859.
    31. THROMBOPENIE (CERTAIN RARE)
      Bilan aprs 125 cures par voie IV sur 5 ans (106 patients) :
      – Clin Infect Dis 1997;24:854-859.
    32. TEMPS DE THROMBINE(ALLONGEMENT) (CERTAIN RARE)
      – Antimicrob Agents Chemother 1977;12:451.
      Bilan aprs 125 cures par voie IV sur 5 ans (106 patients) :
      – Clin Infect Dis 1997;24:854-859.
    33. AGREGATION PLAQUETTAIRE(DIMINUTION) (CERTAIN RARE)
      Diminution de l’adhsivit puis de l’agregation plaquettaire :
      – Antimicrob Agents Chemother 1977;12:451.
    34. HEPATITE CYTOLYTIQUE (A CONFIRMER )
      Un cas rapport :
      – Gastroenterol Clin Biol 1991;15:463-464.
    35. INSUFFISANCE HEPATIQUE (CERTAIN FREQUENT)
      Augmentation des enzymes hpatiques chez 15% des patients aprs 125 cures par voie IV sur 5 ans (106 patients) :
      – Clin Infect Dis 1997;24:854-859.
    36. MUCORMYCOSE (A CONFIRMER )
      Un cas fatal localisation rhinocrbrale chez un siden diabtique :
      – Clin Infect Dis 1996;23:845-846.
    37. RASH (A CONFIRMER )
      Un cas de rash transitoire, disparaissant 45 minutes aprs l’arrt de la perfusion (sel de pentamidine non prcis) :
      – Clin Infect Dis 1992;15:561-562.
      Un cas dbutant au site d’injection intraveineuse et s’tendant la racine du membre suprieur et rpondant aux antihistaminiques :
      – Am J Health-Syst Pharm 1996;53:185.
    38. PNEUMONIE A EOSINOPHILES (A CONFIRMER )
      Un cas aigu aprs administration en inhalation :
      – BMJ 1993;306:109.
    39. PNEUMONIE INTERSTITIELLE (A CONFIRMER )
      Un cas dcrit aprs utilisation en arosol, un cas cit (sel de pentamidine non prcis) :
      – Presse Med 1995;24:239.

    1. TERATOGENE CHEZ L’ANIMAL
    2. RISQUE TERATOGENE DISCUTE CHEZ L’HOMME
      Pourrait tre tratogne, chez le personnel mdical expos aux arosols (sel non prcis) :
      – Chest 1994;106:1460-1462.

    1. NON

    1. GROSSESSE
      Information manquante.
    2. ALLAITEMENT
      Information manquante.
    3. ASTHME
      Contre-indication l’usage de l’arosol.

    Voies d’administration

    – 1 – INTRAVEINEUSE

    – 2 – INTRAMUSCULAIRE

    – 3 – AEROSOLS

    Posologie et mode d’administration

    Voie intraveineuse en perfusion lente, suprieure 60 minutes en raison du risque d’hypotension artrielle svre.
    Posologie adulte et enfant :
    Quatre milligrammes par kilo en une injection unique par jour, pendant 14 jours.
    En cas d’insuffisance
    rnale, respecter un dlai de 36 ou 48 heures entre deux injections.
    * Dans la prvention des pneumonies Pneumocystis carinii :
    Utilisation de la forme arosol de trois cents milligrammes tous les mois, en particulier chez les patients atteints de
    SIDA ou ayant des anticorps anti-VIH et dont le nombre de lyphocytes T4 est infrieur 200/mm3.
    Les localisations extra-respiratoires ne sont pas prvenues par la forme arosol.
    Par voie intraveineuse : quatre milligrammes par kilo tous les mois.
    *
    Dans les leishmanioses viscrales :
    Trois quatre milligrammes par kilo, un jour sur deux, avec au maximum dix injections.
    * Dans les leishmanioses cutanes : Trois quatre milligrammes par kilo une deux fois par semaine jusqu’ la gurison (voie
    intramusculaire).
    * Maladie du sommeil (phase lymphatico-sanguine) :
    Quatre milligrammes par kilo, un jour sur deux, avec au maximum sept dix injections.
    Pratiquer un ECG avant puis aprs l’instauration du traitement :
    – Ann Emerg Med
    1992;21:1403-1305.

    Pharmaco-Cinétique

    – 1 –
    DEMI VIE
    12
    jour(s)

    – 2 –
    ELIMINATION
    2
    %
    voie rnale

    Absorption
    Peu rsorb par voie orale. Administr par voie parentrale ou par voie orale sous forme d’arosol.

    Répartition
    Disparat rapidement du sang pour se fixer dans les tissus d’o il s’limine trs lentement (dtectable aprs plusieurs semaines).
    Aprs utilisation en arosol, les taux plasmatiques sont bas :
    – Drugs 1990;39:741-756.

    Demi-Vie
    La demi-vie est de 12 jours. Elle est allonge en cas d’insuffisance rnale.

    Métabolisme
    Non mtabolis.

    Elimination
    *Voie rnale : limination trs lente dans les urines sous forme inchange (2%).

    Bibliographie

    – Drugs 1987;33:242-258.
    – Ann Intern Med 1985;103: 782-786.
    – Rev Infect Dis 1985;7:625-634.
    – Drugs 1990;39:741-756.
    – Presse Med 1991;20,24:1117-1120.
    – N Engl J Med 1992;327:1853-1860.

    Spécialités

    Pour rechercher les spcialits contenant cette substance, consultez le site www.vidal.fr

    Principe actif présent en constituant unique dans les spécialités étrangères suivantes :


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