SULINDAC

SULINDAC

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 6/4/2001
Etat : valide

  • Identification de la substance
  • Propriétés Pharmacologiques
  • Mécanismes d’action
  • Effets Recherchés
  • Indications thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Effets sur la descendance
  • Pharmaco-Dépendance
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie & mode d’administration
  • Pharmaco-Cinétique
  • Bibliographie
  • Spécialités contenant la substance

    Identification de la substance

    Formule Chimique :
    ACIDE FLUORO-5 METHYL-2[(METHYL SULFINYL)-4 BENZYLIDENE]-1 INDENYL-3 ACETIQUE-(Z)

    Ensemble des dénominations

    BAN : SULINDAC

    CAS : 38194-50-2

    DCF : SULINDAC

    DCIR : SULINDAC

    USAN : SULINDAC

    bordereau : 2280

    dci : sulindac

    rINN : SULINDAC

    sel ou driv : INDOMETACINE

    Classes Chimiques


    Regime : liste I

    1. ANTIINFLAMMATOIRE (principale certaine)
    2. ANTIINFLAMMATOIRE NON STEROIDIEN (principale certaine)
    3. ANALGESIQUE (principale certaine)
    4. ANALGESIQUE PERIPHERIQUE (principale certaine)
    5. ANTIPYRETIQUE (principale certaine)
    6. ANTIAGREGANT PLAQUETTAIRE (secondaire certaine)
      A la dose de 200 mg, l’effet antiagrgant plaquettaire est faible et transitoire:
      – Lancet 1977;1:804.

    Mécanismes d’action

    1. principal
      Inhibition de la cyclo-oxygnase et de la synthse des prostaglendines.
      Effet du mtabolite sulfure probablement identique l’indomtacine; pas d’action du sulindac lui-mme sur le systme des prostaglandines synthtases.
      Action analgsique priphrique du type aspirine.
      Action anti-inflammatoire au stade aig de l’inflammation , explique en partie par l’inhibition de la biosynthse des prostaglandines.
      S’oppose l’action des mdiateurs chimiques de la douleur et de l’inflammation , en particulier inhibition de la synthse d’histamine et de la libration de srotonine plaquettaire.
      Inhibition des effets de la bradykinine.
      Inhibition de l’augmentation de la permabilit capillaire.
      Au stade cellulaire, inhibition partielle de la migration leucocytaire.
      L’activit prventive des cancers colo-rectaux pourrait tre lie l’accumulation d’acide arachidonique qui stimulerait la production de cramide capable d’induire une mort cellulaire par apoptose:
      – Proc Nat Acad Sci 1998;95:681-685.
      Le sulindac disulfide, mtabolite actif du sulindac, induirait l’apoptose et inhiberait la croissance des cellules msenchymateuses et pithliales issues de tumeurs colorectales. Ce mcanisme pourrait tre l’origine de l’activit prventive dcrite pour le sulindac dans les cancers colorectaux:
      – Eur J Pharmacol 1998;360:105-112.
      Certains mtabolites de sulindac seraient capables d’inhiber la croissance et de provoquer l’apoptose de cellules humaines de tumeurs de la prostate :
      – Biochem Pharmacol 1999;58:1097-1107.
      L’activit antitumorale dans le cancer colorectal pourrait tre indpendant de l’inhibition de la cyclooxygnase et li l’inhibition de l’activit de la PPAR (peroxisome proliferator-activated receptor) :
      – Cell 1999;99:335-345.
    2. secondaire
      Altration de l’agrgation plaquettaire, confirmer.
      Activit fibrinolytique.

    1. ANTIINFLAMMATOIRE (principal)
    2. ANTALGIQUE (principal)
    3. ANTIPYRETIQUE (accessoire)
      – Curr Ther Res 1979;26:828.

    1. POLYARTHRITE RHUMATOIDE (principale)
      – Ann Rheum Dis 1978;37:89-92.
    2. COXARTHROSE (principale)
      – Clin Pharm Ther 1977;22:358-363.
    3. GONARTHROSE (principale)
    4. SPONDYLARTHRITE ANKYLOSANTE (principale)
      – JAMA 1979;242:1885-1886.
    5. GOUTTE(TRAITEMENT DE LA CRISE) (secondaire)
      – Eur J Rheum Inflamm 1978;1:21-23.
    6. BURSITE (secondaire)
      Bursite de l’paule :
      – Eur J Rheum Inflamm 1978;1:24-26.
    7. TENDINITE (secondaire)
      Tendinite de l’paule :
      – Eur J Rheum Inflamm 1978;1:24-26.
    8. POLYPOSE COLIQUE ( confirmer)
      Etude en ouvert sur 10 cas :
      – Am J Surg 1989;157:175-189.
      L’effet serait faible ou absent en cas de polypes sporadiques (essai sur 4 mois) :
      – Gastroenterology 1995;108:1310-1314.
      Autre rfrence :
      – Gut 1996;38:578-581.
      Entrane une rgression dans les formes sporadiques (tude pilote) :
      – Gut 1997;40:344-349.
      Pourrait tre utile chez les patients dja oprs ou en cas de contrindication chirurgicale :
      – Therapie 1999;54:669-673.
    9. POLYPOSE ADENOMATEUSE FAMILIALE ( confirmer)
      Rgression de polypes rectaux (essai crois) :
      – Gastroenterology 1991;101:635-639.
      Effet incomplet, ne semblant pas pouvoir se substituer la colectomie :
      – N Engl J Med 1993;328:1313-1316.
      L’effet serait faible ou absent en cas de polypes sporadiques (essai sur 4 mois) :
      – Gastroenterology 1995;108:1310-1314.
      Le sulindac disulfide, mtabolite actif du sulindac, induirait l’apoptose et inhiberait la croissance des cellules msenchymateuses et pithliales issues de tumeurs colorectales. Ce mcanisme pourrait tre l’origine de l’activit prventive dcrite pour le sulindac dans les cancers colorectaux:
      – Eur J Pharmacol 1998;360:105-112.
    10. SYNDROME DE GARDNER ( confirmer)
      Polypes duodnaux, dans le cadre d’un syndrome de Gardner (un cas) :
      – Am J Gastroenterol 1993;88:93-94.

    1. LITHIASE URINAIRE (CERTAIN TRES RARE)
      – Med Sci 1989.
      favorise par une baisse du dbit urinaire<240ml/h, et un PH urinaire <5,8.:
      – FDA Drug Bull 1989;19(1):4.
    2. FIEVRE (CERTAIN TRES RARE)
      Par hypersensibilit :
      – JAMA 1981;246:213-214.
    3. ASTHENIE (CERTAIN RARE)
    4. HYPERSUDATION (CERTAIN RARE)
    5. POIDS(AUGMENTATION) (CERTAIN RARE)
      Li la rtention hydrosode.
    6. OEDEME (CERTAIN TRES RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      FORTES DOSES

      Par rtention hydrosode.

    7. GLOMERULONEPHRITE EXTRAMEMBRANEUSE (CERTAIN )
      Rfrence :
      – JAMA 1996;276:466-469.
    8. SYNDROME NEPHROTIQUE (A CONFIRMER )
      Un cas rapport chez une malade traite pour un rhumatisme psoriasique :
      – N Engl J Med 1981;304:424.
    9. INSUFFISANCE RENALE (CERTAIN TRES RARE)
    10. CREATININEMIE(AUGMENTATION) (CERTAIN TRES RARE)
    11. ERUPTION CUTANEE (CERTAIN RARE)
      Par hypersensibilit, type d’rythme ou de maculo-papules.
    12. PRURIT (CERTAIN RARE)
    13. PURPURA (CERTAIN TRES RARE)
      Purpura ptchial, li une thrombopnie.
    14. SYNDROME DE STEVENS-JOHNSON (CERTAIN TRES RARE)
      Plusieurs cas rapports :
      – JAMA 1980;243:1262-1263.
      – J Rheumatol 1981;8:176.
    15. STOMATITE (CERTAIN TRES RARE)
    16. POCHITE (A CONFIRMER )
      Un cas aprs 3 mois de traitement :
      – Am J Gastroenterol 1996;91:2431-2432.
    17. NAUSEE (CERTAIN FREQUENT)
    18. VOMISSEMENT (CERTAIN RARE)
    19. DOULEUR EPIGASTRIQUE (CERTAIN FREQUENT)
    20. DIARRHEE (CERTAIN RARE)
    21. CONSTIPATION (CERTAIN RARE)
    22. ULCERE GASTRODUODENAL (CERTAIN TRES RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ANTECEDENTS ULCEREUX

      Risque de perforation ou d’hmorragie digestive. Ncessite l’arrt du traitement.

    23. GASTRITE (CERTAIN TRES RARE)
    24. HEMORRAGIE DIGESTIVE (CERTAIN TRES RARE)
      A type de melaena ou d’hmatmse, en rapport avec une gastrite ou un ulcre gastroduodnal. Sa survenue ncessite l’arrt du traitement.
    25. GASTRITE HEMORRAGIQUE (CERTAIN )
      Un cas fatal de gastrite hmorragique chez un nouveau n trait pour fermeture du canal artriel :
      – Acta Paediatr 1996;85:884-886.
    26. RECTORRAGIE (CERTAIN TRES RARE)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE RECTALE
    27. TOXICITE HEPATIQUE (CERTAIN TRES RARE)
      Le plus souvent, on n’observe qu’une lvation modre et transitoire des transaminases. Les hpatites symptomatiques sont rares :
      – Gastroenterol Clin Biol 1985;9:546-547.
    28. TRANSAMINASES(AUGMENTATION) (CERTAIN RARE)
      Elvation le plus souvent modre et transitoire.
    29. PHOSPHATASES ALCALINES(AUGMENTATION) (CERTAIN TRES RARE)
    30. ICTERE (CERTAIN TRES RARE)
      Parfois inaugural, il peut tre prcd d’une asthnie, de nauses, de vomissements. Il est souvent accompagn d’autres signes d’hypersensibilit (fivre, ruption cutane, arthralgies).
    31. BILIRUBINEMIE CONJUGUEE(AUGMENTATION) (CERTAIN TRES RARE)
    32. HEPATITE (CERTAIN TRES RARE)
      Bilan sur 91 cas rapports la FDA :
      50% d’hpatites cholestatiques, 25% d’hpatites cytolytiques, 12% d’hpatites mixtes et 13% de type indtermin. L’incidence serait suprieure chez la femme. Quatre cas mortels (3 cholestatiques et une cytolytique) :
      – Gastroenterology 1993;104:569-574.
    33. HEPATITE MIXTE (CERTAIN TRES RARE)
      A prdominance cholestatique, de survenue imprvisible, elle est rarement grave, rgressive l’arrt du traitement qu’elle impose. Elle est de mcanisme immuno-allergique :
      – Ann Intern Med 1979;91:656.
      – Gastroenterology 1981;80:585.
      – N Engl J Med 1979;300:735-736.
      – Am J Gastroenterol 1988;83:1429-1431.
    34. LITHIASE BILIAIRE (CERTAIN )
      Calculs de sulindac sulfone. 1 cas chez un insuffisant rnal chronique atteint d’amylodose :
      – Am J Gastroenterol 1999;94:2285-2288.
      Un autre cas dcrit (lithiase mdicamenteuse) :
      – Am J Gastroenterol 1999 ;94:2285-2288.
    35. AMYLASEMIE(AUGMENTATION) (CERTAIN TRES RARE)
    36. PANCREATITE AIGUE (CERTAIN TRES RARE)
      Cinq cas rapports la pharmacovigilance australienne depuis 1972 :
      – Aust Adv Drug React Bull 1995;14:15.
      Autre rfrence :
      – Ann Intern Med 1980;93:151 et 932.
    37. LEUCOPENIE (CERTAIN TRES RARE)
      – Lancet 1980;2:594.
      – Lancet 1981;2:523.
    38. NEUTROPENIE (CERTAIN TRES RARE)
      – Lancet 1981;2:523.
    39. THROMBOPENIE (CERTAIN TRES RARE)
      – Lancet 1980;2:594.
      – Ann Intern Med 1986;104,1:128.
    40. ANEMIE (CERTAIN TRES RARE)
    41. ANEMIE HEMOLYTIQUE AUTOIMMUNE (CERTAIN TRES RARE)
      Anmie hmolytique auto-immune :
      – Arch Intern Med 1985;145:1513-1514.
    42. APLASIE MEDULLAIRE (CERTAIN TRES RARE)
      – Ann Intern Med 1980;92:129 et 874.
      – Lancet 1980;2:802-803.
    43. EOSINOPHILIE (CERTAIN TRES RARE)
    44. CEPHALEE (CERTAIN RARE)
    45. VERTIGE (CERTAIN RARE)
    46. SOMNOLENCE (CERTAIN RARE)
    47. ACOUPHENE (CERTAIN TRES RARE)
    48. FLOU VISUEL (CERTAIN TRES RARE)
    49. PSYCHOSE AIGUE (CERTAIN TRES RARE)
      A type de dlire paranoaque :
      – JAMA 1980;243:1420 et 1630-1631.
      Quatre cas :
      – Arch Intern Med 1991;151:1309-1313.
    50. REACTION D’HYPERSENSIBILITE (CERTAIN RARE)
      Ractions cutanes, hpatiques, respiratoires, gnrales. Elles ncessitent l’arrt dfinitif du mdicament.
    51. MENINGITE ASEPTIQUE (CERTAIN TRES RARE)
      A type de mningite liquide clair :
      – Arch Intern Med 1982;142:165-166.
      – Ann Intern Med 1983;99:343-344.
      Un cas :
      – South Med J 1988;81:1463-1464.
      Un cas :
      – Clin Neurol Neurosurg 1989;91:257-260.
      Quatre cas :
      – Arch Intern Med 1991;151:1309-1313.
    52. GYNECOMASTIE (A CONFIRMER )
      Un cas rapport :
      – JAMA 1983;250:2284.
    53. HYPERTENSION ARTERIELLE(AGGRAVATION) (CERTAIN )
      Un cas :
      – Can Med Assoc J 1980;122:1273.
      Mta-analyse de plus de sept cents sujets hypertendus traits principalement par les bta-bloquants, la pression moyenne est leve de cinq millimtres de mercure :
      – Ann Intern Med 1994;121:289-300.
    54. SYNDROME DE LYELL (A CONFIRMER )
      Un cas :
      – Therapie 1985;40:67-68.
    55. ULCERATION OESOPHAGIENNE (A CONFIRMER )
      Un cas aprs prise au coucher avec une quantit d’eau insuffisante :
      – Am J Roentgenology 1991;156:955-956.
    56. PNEUMONIE A EOSINOPHILES (A CONFIRMER )
      Un cas :
      – Arch Intern Med 1992;152:1521-1524.

    1. INFORMATION MANQUANTE DANS L’ESPECE HUMAINE
    2. NON TERATOGENE CHEZ L’ANIMAL

    1. NON

    1. ULCERE GASTRODUODENAL(ANTECEDENT)
      Risque de rcidive.
    2. GASTRITE
    3. INSUFFISANCE CARDIAQUE
    4. INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
    5. INSUFFISANCE HEPATOCELLULAIRE
    6. GROSSESSE(TROIS PREMIERS MOIS)
      Absence d’tudes contrles chez la femme enceinte.
    7. ALLAITEMENT
      En raison de l’absence d’tudes chez l’homme sur le passage du mdicament dans le lait: une tude chez le rat montre un passage faible.

    1. ULCERE GASTRODUODENAL
    2. HEMORRAGIE DIGESTIVE
    3. HYPERSENSIBILITE A L’ASPIRINE
      Il existe une allergie associe entre l’aspirine et les antiinflammatoires non strodiens chez les sujets prsentant un syndrome de Fernand Widal (asthme, rhinite vasomotrice, polypes nasaux) dclench par l’aspirine.
    4. HYPERSENSIBILITE
      Hypersensibilit connue l’indomtacine ou au sulindac.
    5. ENFANT DE MOINS DE 15 ANS
      En raison de l’absence d’tudes contrles chez l’enfant.
    6. INSUFFISANCE RENALE SEVERE
      Risque d’accumulation du mtabolite actif et d’inhibition de la synthse des prostaglandines rnales.
      – J Clin Pharmacol 1989;29:1037-1042.
      Risque d’insuffisance rnale aigu :
      – Ann Intern Med 1990;112:568-576.
    7. INSUFFISANCE HEPATOCELLULAIRE SEVERE
    8. GROSSESSE(DERNIER TRIMESTRE)

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie et mode d’administration

    Dose usuelle par voie orale chez l’adulte:
    Deux trois cents milligrammes par jour en 2 prises au cours des reapas;
    Dose maximale: quatre cents milligrammes par jour.

    Surveillance du traitement:
    Surveillance clinique des signes d’hypersensibilit et
    d’intolrance digestive (ventuellement surveillance radiologique et fibroscopique): leur apparition ncessite l’arrt du traitement;
    Surveillance hmatologique si traitement prolong.

    Pharmaco-Cinétique

    – 1 –
    DEMI VIE
    5
    heure(s)

    – 2 –
    DEMI VIE
    16
    heure(s)

    – 3 –
    ELIMINATION
    voie rnale

    – 4 –
    ELIMINATION
    voie biliaire

    – 5 –
    REPARTITION
    lait

    Absorption
    Rsorption de 90% de la dose administre par voie orale.
    Taux plasmatique maximal 1 2 heures aprs ingestion, de 4 microgramme par ml de sulindac 1 heure aprs l’ingestion, de 3 microgramme par ml du driv sulfur actif 2 heures aprs ingestion d’une
    dose unique de 200 milligrammes.

    Répartition
    Liaison aux protines plasmatiques: 93% pour le sulindac; 95% pour le driv sulfur actif.
    Passage dans le lait non tudi chez l’homme.
    Passage dans le lait chez le rat: 10 20% de la concentration plasmatique maternelle.

    Demi-Vie
    5 heures
    Pour le sulindac, 3 7 heures selon les auteurs.
    Chez le sujet g, il n’y aurait ni modification de la demi-vie du sulindac, ni modification de celle de son mtabolite actif.
    – Therapie 1989;44:253-256.
    16 heures
    Pour le driv sulfur actif.

    Métabolisme
    Subit une oxydation donnant un sulfone ou une rduction donnant un sulfure ayant des proprits anti-inflammatoires;
    Cycle entro-hpatique probable.
    L’activit anti-inflammatoire analgsique et antipyrtique est de au mtabolite;
    – Drugs
    1983;24:519-542.

    Elimination
    Voie rnale:
    Sous forme inchange ou sous forme de sulfone, en grande partie aprs glycuroconjugaison.
    Voie bilaire.

    Bibliographie

    – J Clin Pharmacol 1989;29,1037-1042.
    – Drug Saf 1993;8:99-127. (INTERACTIONS)* Revue des interactions avec les AINS.

    Spécialités

    Pour rechercher les spcialits contenant cette substance, consultez le site www.vidal.fr

    Principe actif présent en constituant unique dans les spécialités étrangères suivantes :


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