AUROTHIOMALATE SODIQUE
AUROTHIOMALATE SODIQUE
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 6/7/1999
Etat : valide
- Identification de la substance
- Mécanismes d’action
- Effets Recherchés
- Indications thérapeutiques
- Effets secondaires
- Pharmaco-Dépendance
- Contre-Indications
- Voies d’administration
- Posologie & mode d’administration
- Pharmaco-Cinétique
- Bibliographie
Identification de la substance
Formule Chimique :
sel disodique de l’acide 2-[or (I) mercapto]succiniqueEnsemble des dénominations
CAS : 12244-57-4
DCIR : AUROTHIOMALATE DE SODIUM
autre dnomination : AUROTHIOMALATE DISODIQUE
autre dnomination : GOLD SODIUM THIOMALATE
autre dnomination : SODIUM AUROTHIOMALATE
bordereau : 2418
rINN : SODIUM AUROTHIOMALATE
sel ou driv : AUROTHIOPROPANOL-SULFONATE DE SODIUMClasses Chimiques
Mécanismes d’action
- principal
Le mcanisme d’action reste confirmer: action au niveau de la synthse du collagne par inhibition de la glucosamine 6 phosphate synthtase.
Possibilit d’inhibition de la synthse d’enzymes lysosomiaux et/ou de modifications au niveau des macrophages et des polynuclaires.
- SEL D’OR (principal)
- ANTIINFLAMMATOIRE (principal)
- POLYARTHRITE RHUMATOIDE (principale)
Traitement de fond. - POLYARTHRITE CHRONIQUE DE L’ENFANT (principale)
- STOMATITE (CERTAIN RARE)
- GOUT METALLIQUE (CERTAIN RARE)
- PRURIT (CERTAIN RARE)
– Presse Med 1996;25:1555-1558. - ERUPTION CUTANEE (CERTAIN )
– Presse Med 1996;25:1555-1558. - ECZEMA (CERTAIN )
– Presse Med 1996;25:1555-1558. - PITYRIASIS ROSE (CERTAIN )
– Presse Med 1996;25:1555-1558. - DERMATITE EXFOLIATRICE (CERTAIN TRES RARE)
- ERUPTION LICHENOIDE (CERTAIN )
– Presse Med 1996;25:1555-1558. - ERUPTION PSORIASIFORME (CERTAIN TRES RARE)
- PHOTOSENSIBILISATION (CERTAIN TRES RARE)
- GLOSSITE (CERTAIN RARE)
- CHEILITE (CERTAIN RARE)
- EOSINOPHILIE (CERTAIN RARE)
- AGRANULOCYTOSE (CERTAIN TRES RARE)
- GRANULOPENIE (CERTAIN RARE)
- THROMBOPENIE (CERTAIN TRES RARE)
La thrombopnie peut apparatre brutalement ou aprs un long traitement. - APLASIE MEDULLAIRE (CERTAIN )
- ANEMIE APLASTIQUE (CERTAIN )
Il existe une relation effet-dose. Rversible l’arrt du traitement. - PROTEINURIE (CERTAIN RARE)
Plus frquente dans les polyarthrites rhumatodes sro-ngatives.
La dcouverte d’une protinurie au cours du traitement impose son arrt moins qu’une autre cause puisse tre formellement implique. - SYNDROME NEPHROTIQUE (CERTAIN TRES RARE)
- GLOMERULONEPHRITE EXTRAMEMBRANEUSE (CERTAIN TRES RARE)
Raction d’hypersensibilit de type 3. - REACTION VASOMOTRICE (CERTAIN TRES RARE)
Survient dans les minutes qui suivent la prise. - ICTERE (CERTAIN TRES RARE)
- BILIRUBINEMIE CONJUGUEE(AUGMENTATION) (CERTAIN TRES RARE)
- BSP(RETENTION) (CERTAIN TRES RARE)
- PHOSPHATASES ALCALINES(AUGMENTATION) (CERTAIN TRES RARE)
- HEPATITE CHOLESTATIQUE (CERTAIN TRES RARE)
Peut-tre par hypersensibilit. - COLITE HEMORRAGIQUE (CERTAIN TRES RARE)
La colite fulminante hmorragique touche les femmes d’ge moyen et est mortelle dans la moiti des cas.
Un cas :
– Br J Rheum 1989;28:272-273. - THESAURISMOSE (CERTAIN )
Un cas de thsaurismose aurique (chrysopexie) avec localisation cutane, chez un sujet trait par de faibles doses mais expos au soleil :
– J Am Acad Dermatol 1996;34:349-351. - DEPOT CORNEEN (CERTAIN )
- FIBROSE PULMONAIRE (CERTAIN )
– N Engl J Med 1976;294:919. - INFILTRAT PULMONAIRE (CERTAIN )
Quatre cas :
– Arthritis Rhumatism 1980;23:347 et 351. - PERIARTERITE NOUEUSE (A CONFIRMER )
- VASCULARITE (A CONFIRMER )
- ERYTHEME NOUEUX (A CONFIRMER )
- ERYTHEME (A CONFIRMER )
Erythme centrifuge. Deux cas aprs 6 mois et 5 ans d’utilisation par voie IM, rversibles deux mois aprs l’interruption du traitement :
– J Am Acad Dermatol 1992;27:284-287. - SURDITE (A CONFIRMER )
Un cas la suite d’une lsion bilatrale du tympan :
– Br J Dermatol 1997;136:479-480.
- NEPHROPATHIE
- HEPATOPATHIE
- ANEMIE SEVERE
- DIATHESE HEMORRAGIQUE
- HYPERTENSION ARTERIELLE SEVERE
- INSUFFISANCE CARDIAQUE
- URTICAIRE
- ECZEMA
- COLITE
- GROSSESSE
- SYNDROME DE LYELL
Condition(s) Exclusive(s) :
APLASIE MEDULLAIRE (ANTECEDENTS)Antcdent de syndrome similaire.
Voies d’administration
Posologie et mode d’administration
Non commercialis en France:
Dose usuelle par voie intramusculaire (injections raliser sur le sujet allong, rester allong quelques temps aprs) chez l’adulte:
Dbuter par dix milligrammes par semaine la premire semaine, puis vingt cinq milligrammes
par semaine la deuximeet la troisime semaine, puis cinquante milligrammes par semiane pendant 15 20 semaines.
Surveillance rnale, cutane, hmatologique et hpatique.
Pharmaco-Cinétique
– 1 –
ELIMINATION
voie rnaleAbsorption
Administration intramusculaire.
Taux srique maximal 3 6 heures aprs IM.
Répartition
Importante liaison aux protines plasmatiques.
Forte concentration au niveau des reins, du foie et de la rate.
Elimination
Voie rnale.
5% en 24h, 10% en 1 semaine.
Des traces d’or peuvent tre retrouves dans les urines pendant 1 an.
Bibliographie
– Med J Aust 1984;74.
– Schttenkirchner et Muller: Modern Aspects of Gold Therapy, vol 8 de la srie ‘Rheumatology’ 1983; Karger Ed.Pour rechercher les spcialits contenant cette substance, consultez le site www.vidal.fr
Principe actif présent en constituant unique dans les spécialités étrangères suivantes :
-
Attention ! Donnes en date de janvier 2000.
- MIOCRIN (ESPAGNE)
- MYOCHRYSINE (USA)
- MYOCRISIN (ANGLETERRE)
- TAUREODON (RFA)
- principal