ROSOXACINE
ROSOXACINE
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 9/12/1999
Etat : valide
- Identification de la substance
- Propriétés Pharmacologiques
- Mécanismes d’action
- Effets Recherchés
- Indications thérapeutiques
- Effets secondaires
- Effets sur la descendance
- Pharmaco-Dépendance
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Voies d’administration
- Posologie & mode d’administration
- Pharmaco-Cinétique
- Bibliographie
- Spécialités contenant la substance
Identification de la substance
Formule Chimique :
ACIDE ETHYL-1 OXO-4 (PYRIDYL-4)-7 DIHYDRO-1,4 QUINOLEINECARBOXYLIQUE-3Ensemble des dénominations
DCF : ROSOXACINE
DCIR : ROSOXACINE
autre dnomination : WIN 35213
bordereau : 2627
sel ou driv : CINOXACINE
sel ou driv : FLUMEQUINE
sel ou driv : NALIDIXIQUE ACIDE
sel ou driv : NORFLOXACINE
sel ou driv : OXOLINIQUE ACIDE
sel ou driv : PEFLOXACINE MESILATE
sel ou driv : PIPEMIDIQUE ACIDE
sel ou driv : PIROMIDIQUE ACIDEClasses Chimiques
- ANTIBIOTIQUE (principale certaine)
- ANTIBIOTIQUE ANTIBACTERIEN (principale certaine)
Le spectre antibactrien dtermin par la commission d’AMM est le suivant:* Espces habituellement sensibles:
Neisseria gonorrheae, EScherichia coli, salmonella, shigella, yersinia, aeromonas, Vibrio parahemolyticus, Campylobacter jejuni, staphylocoques coagulase+.* Espce rsistante:
Clostridium difficile.
Mécanismes d’action
- principal
Agit par inactivation de l’ADN gyrase (topoisomrase II).
- ANTIBIOTIQUE (principal)
- INFECTION A GERMES SENSIBLES (principale)
- GONOCOCCIE (principale)
Actif sur les urthrites et las cervicites aiges gonocoques, non compliques. - URETRITE (principale)
A gonocoques et chlamydia. - INFECTION INTESTINALE (principale)
- CRISE CONVULSIVE (CERTAIN )
Des convulsions ont t dcrites en cas desurdosage et aussi pour des posologies normales. Ces manifestations pourraient tre des une activit antagoniste de l’adnosine :
– Pharmacol Toxicol 1989:66:404-411. - ASTHENIE (CERTAIN RARE)
- ATTEINTE DIGESTIVE (CERTAIN RARE)
- NAUSEE (CERTAIN RARE)
- VOMISSEMENT (CERTAIN TRES RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
FORTES DOSES - TROUBLE NEUROPSYCHIQUE (CERTAIN FREQUENT)
Condition(s) Favorisante(s) :
FORTES DOSES - SOMNOLENCE (CERTAIN FREQUENT)
- VERTIGE (CERTAIN FREQUENT)
- CEPHALEE (CERTAIN RARE)
- ATTEINTE OPHTALMOLOGIQUE (CERTAIN TRES RARE)
- FLOU VISUEL (CERTAIN TRES RARE)
- RISQUE SUICIDAIRE (A CONFIRMER )
N’augmenterait pas le risque suicidaire:
– Br J Clin Pharmacol 1998;45:77-81.
- ALLAITEMENT
Information manquante. - INSUFFISANCE RENALE
- INSUFFISANCE HEPATOCELLULAIRE
- CONDUCTEUR DE VEHICULE
Risque de somnolence : prendre le mdicament au coucher. - UTILISATEUR DE MACHINE
Risque de somnolence : prendre le mdicament au coucher.
- HYPERSENSIBILITE AUX QUINOLONES
- GROSSESSE
- ENFANT
Information manquante. - DEFICIT EN G6PD
Voies d’administration
Posologie et mode d’administration
Dose usuelle par voie orale :
– dans le traitement de la gonococcie chez l’adulte:
Dose unique:
Trois cents milligrammes en une prise entre les repas; le traitement du partenaire est recommand.– dans le traitement des infections intestinales:
Trois
cents milligrammes en 2 prises par jour, pendant 5 jours.
Pharmaco-Cinétique
– 1 –
DEMI VIE
6.50
heure(s)
– 2 –
ELIMINATION
voie rnale
– 3 –
ELIMINATION
voie fcaleAbsorption
Rsorb par le tractus gastro-intestinal.
Taux plasmatique voisin de 6 microgrammes par millilitre, 2 heures et demi aprs une prise orale de 300 mg.
Répartition
Liaison aux protines plasmatiques:70%.
Demi-Vie
6 7 heures.
Métabolisme
Hpatique.
Elimination
Voie rnale:
75% de la dose administre sont limins par les urines en 24 heures sous forme de rosoxacine libre, de N-oxyde rosoxacine et de rosoxacine glycuroconjugue.
Voie fcale:
25%.
Bibliographie
– Pharmacotherapy 1988;8:301-314. (REVUE GENERALE)
– Drugs 1996;52,Suppl2:numro spcial. (Bons et mauvais usages des quinolones)*
Spécialités
Pour rechercher les spcialits contenant cette substance, consultez le site www.vidal.fr
Principe actif présent en constituant unique dans les spécialités étrangères suivantes :
-
Attention ! Donnes en date de janvier 2000.
- ERACINE (BELGIQUE)
- WINOXACIN (ITALIE)
- WINURON (ALLEMAGNE)